Revue des deux mondes, 81±ÇFrançois Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1887 |
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704 ÆäÀÌÁö - Après les Fleurs du mal, il n'ya plus que deux partis à prendre pour le poète qui les fit éclore : ou se brûler la cervelle... ou se faire chrétien ! j.
203 ÆäÀÌÁö - Je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement dans le royaume des deux. Je vous le dis encore il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.
499 ÆäÀÌÁö - Je vois avec joie que la souveraine à qui je devais le plus d'estime veut être la bienfaitrice des nations. Les rois ne peuvent aspirer chez eux qu'à la gloire de faire la félicité de leurs sujets; vous ferez celle des rois et de leurs peuples. Les vôtres, Madame, en voyant que vous travaillez au bonheur des autres, sentiront augmenter, s'il se peut, leur vénération pour leur souveraine; et votre règne en sera plus heureux, quand les acclamations de l'Europe redoubleront les bénédictions...
704 ÆäÀÌÁö - La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.
758 ÆäÀÌÁö - Après cela, pour vous dire le mal comme le bien, j'ai remarqué une habitude, trop tôt acquise, de voir tranquillement sur le champ de bataille des morts nus, des ennemis agonisants, des plaies fumantes. Pour moi, j'avouerai que le c©«ur me manqua et que j'eus besoin d'un flacon.
403 ÆäÀÌÁö - Tous les sujets, y disait le roi, qui seront proposés pour être nommés à des sous-heutenances dans les régiments d'infanterie française, de cavalerie, de chevau-légers , de dragons et de chasseurs à cheval , seront tenus de faire les mêmes preuves que ceux qui...
416 ÆäÀÌÁö - Te souvient-il du parc où nous errions si tristes? Dans un sentier tout jonché de lilas La solitude alanguissait nos pas, Le crépuscule aux fleurs mêlait ses améthystes. Où sombrait le soleil, dans un lointain pays, Nos c©«urs rêvaient une patrie absente... Quand une note au ciel retentissante Comme un trait d'or soudain s'éleva du taillis; Une autre, puis une autre, en sonores fusées Par temps égaux jaillirent de ce bois; Puis, d'un essor qui s'essayait, la voix Préluda vaguement par...
756 ÆäÀÌÁö - Ils ont été bien battus. Je me porte bien et mon fils aussi. Je n'ai pas le temps de vous en dire davantage, étant bon, je crois, de rassurer Versailles et Paris. Le plus tôt que je pourrai, je vous enverrai le détail.
294 ÆäÀÌÁö - La première vue que vous vous y proposâtes fut de rétablir cette réputation de bonne foi et de candeur qui ne devrait jamais abandonner notre nation. La couronne de France est aujourd'hui trop grande, trop arrondie et trop bien située pour le commerce, pour préférer encore les acquisitions à la bonne réputation : elle ne doit plus viser qu'à une noble prépondérance en Europe, qui lui procure repos et dignité. Toutes nos maximes politiques devraient se réduire aux plus justes lois de...
758 ÆäÀÌÁö - Votre ami M. de Richelieu est un vrai Bayard. C'est lui qui a donné le conseil et qui l'a exécuté de marcher à...