L'Illusion comique: comédie

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Larousse, 1970 - 176페이지

Dans L'Illusion comique, en 1636, Corneille met en scène Pridamant, un père à la recherche de son fils, Clindor. Il assiste, grâce au magicien Alcandre, à la représentation des aventures mouvementées de cet enfant prodigue...

À chaque acte, on change de registre. Péripéties sentimentales, rebondissements comiques, fin tragique ?

Non, tout cela n'était que du théâtre !

Alors, vive le jeu et que le spectacle continue...

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저자 정보 (1970)

1606 - 1684. Avocat, il débute au théâtre par des comédies (Mélite, 1629; la Galerie du Palais, 1632 - 1633; la Place Royale, 1633 - 1634; l'Illusion comique, 1635 - 1636) et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque une querelle littéraire. Sensible aux critiques, il se consacre alors à la tragédie « régulière » (Horace, 1640; Cinna, 1642; Polyeucte, 1643), sans abandonner la comédie à la mode espagnole (le Menteur, 1643; Don Sanche d'Aragon, 1650) et les divertissements de cour (Andromède, 1650). Évoluant vers une utilisation systématique du pathétique et des intrigues plus complexes (la Mort de Pompée, 1643; Rodogune, 1644 - 1645; Nicomède, 1651), il connaît avec Pertharite (1651) un échec qui l'éloigne du théâtre pendant sept ans. Il traduit en vers l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) et s'occupe de l'édition de son théâtre, dont il définit les principes dans les Examens de ses pièces et trois Discours (1660). Revenu à la scène (Oedipe, 1659; Sertorius, 1662; Sophonisbe, 1663; Attila, 1667), il voit le public lui préférer Racine (Tite et Bérénice, 1670). Corneille peint des héros « généreux » pour qui l'honneur et la gloire méritent tous les sacrifices. Le drame cornélien atteint le « sublime », mais refuse le « tragique », puisqu'il est le fait d'ètres libres qui décident toujours de leur destin. (Académie française.)

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