 | Victor Cousin - 1843 - 534 페이지
...M. Descartes! Comme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenoit avec ses amis les plus particuliers, insensiblement cela se répandit partout,...et cette solitude, dans les heures d'entretien, ne retentissoit plus que de ces discours. Il n'y avoit guère de solitaire qui ne parlât d'automate.... | |
 | Victor Cousin - 1844 - 610 페이지
...M. Descartes! Comme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenoit avec ses amis les plus particuliers, insensiblement cela se répandit partout,...et cette solitude, dans les heures d'entretien, ne retentissoit plus que de ces discours. Il n'y avoit guère de solitaire qui ne parlât d'automate.... | |
 | Victor Cousin - 1849 - 558 페이지
...M. Descartes! Comme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenoit avec ses amis les plus particuliers , insensiblement cela se répandit partout,...et cette solitude, dans les heures d'entretien. ne retentissoit plus que de ces discours. Il n'y avoit guère de solitaire qui ne partât d'automate.... | |
 | Victor Cousin - 1849 - 558 페이지
...Descartes ! Comme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenoit avec ses amis les plus particuliers, insensiblement cela se répandit partout,...et cette solitude, dans les heures d'entretien, ne retentissoit plus que de ces discours. Il n'y avoit guère de solitaire qui ne parlât d'automate.... | |
 | Francisque Bouillier - 1854 - 634 페이지
...(3). Il faut faire cependant une (1) Mémoires de Fabbê Trublet sur Fontenelle, 1 vol. in-12. (2) « Il n'y avait guère de solitaire qui ne parlât d'automate....des coups de bâton, et on se moquait de ceux qui les plaignaient comme si elles eussent senti de la douleur. On disait que c'etaient des horloges, que... | |
 | Francisque Bouillier - 1854 - 632 페이지
...Il faut faire cependant une (1) Mémoires de l'abbé Trublet sur Fontenelle, 1 vol. in-12. (2) «II n'y avait guère de solitaire qui ne parlât d'automate....des coups de bâton, et on se moquait de ceux qui les plaignaient comme si elles eussent senti de la douleur. On disait que c'étaient des horloges,... | |
 | Émile Saisset - 1865 - 494 페이지
...M. Descartes. Gomme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenait avec ses amis les plus particuliers, insensiblement cela se répandit partout,...parlât d'automate. On ne faisait plus une affaire de battre un chien. On lui donnait fort indifféremment des coups de bâton, et on se moquait de ceux... | |
 | Émile Edmond Saisset - 1865 - 496 페이지
...M. Descartes. Comme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenait avec ses amis les plus particuliers, insensiblement cela se répandit partout,...parlât d'automate. On ne faisait plus une affaire de battre un chien. On lui donnait fort indifféremment des coups de bâton, et on se moquait de ceux... | |
 | Émile Edmond Saisset - 1865 - 496 페이지
...M. Descartes. Comme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenait avec ses amis les plus particuliers, insensiblement cela se répandit partout,...parlât d'automate. On ne faisait plus une affaire de battre un chien. On lui donnait fort indifféremment des coups de bâton, et on se moquait de ceux... | |
 | Émile Saisset - 1865 - 514 페이지
...M. Descartes. Comme M. Arnauld, dans ses heures de relâche, s'en entretenait avec ses amis les plus particuliers, insensiblement cela se répandit partout,...parlât d'automate. On ne faisait plus une affaire de battre un chien. On lui donnait fort indifféremment des coups de bâton, et on se moquait de ceux... | |
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On ne faisait plus une affaire de battre un chien. On lui donnait fort indifféremment des coups de bâton et on se moquait de ceux qui plaignaient ces bêtes comme si elles eussent senti de la douleur. 
