HESPÉRIE Vous pensez m'abuser d'un entretien moqueur, Pour prendre mieux le temps de le mettre en mon c©«ur. Mais, ma s©«ur, croyez-moi, n'en prenez point la peine. En vain vous me direz que je suis inhumaine, Que je dois par pitié soulager ses amours... De l'art de la comédie - 356 ÆäÀÌÁöÀúÀÚ: Jean François Cailhava d'Estendoux - 1786 - 820 ÆäÀÌÁöÀüüº¸±â - µµ¼ Á¤º¸
| Claude Emmanuel Lhuillier Chapelle - 1708 - 504 ÆäÀÌÁö
...prendre mieux le temps de le mettre en mon c©«ur. Mais, ma f©«ur, croyez-moi, n'en prenez point l» En vain vous me direz que je fuis inhumaine: Que je dois par pitié foulager fes Amours: • -Cent foisle jourj'entensde femblables difcours, Je fuis de mille Amans fans cefle importunée; Et croi qu'à... | |
| M. de Cailhava (Jean François) - 1786 - 712 ÆäÀÌÁö
...jugez , ma C©«ur, quel confeil je dois prendre i Et fi je puis l'aimer , aimant un Alexandre. HESPERIE. Vous penfez m'abufer d'un entretien moqueur, Pour...de femblables difcours. Je fuis de mille amans fans ceffe importunée , Et crois qu'à ce rourment le Ciel m'a deftinée. La nuit, je n'en dors point;... | |
| Molière - 1858 - 736 ÆäÀÌÁö
...m'al>u>cr ;i'un entretien moi|ueur, Pour prendre mieux le temps de le mettre en mon c&ur : Mais, ma s©«ur, croyez-moi, n'en prenez point la peine; En vain vous me direz que je suis inhumaine; Que je doi<, par pitié, soulager ses amours: Cent lois le jour j'entends de semblables... | |
| French classics - 1867 - 252 ÆäÀÌÁö
...entretien moqueur, Pour prendre mieux le temps de le mettre en mon c©«ur ; Mais, ma s©«ur, croyez moi, n'en prenez point la peine ; En vain vous me direz que je suis inhumaine ; Que je dois, par pitié, soulager ses amours ; Cent fois le jour j'entends de semblables... | |
| Edouard Fournier - 1871 - 652 ÆäÀÌÁö
...entretien mocqueur, Pour prendre mieux le temps de le mettre en mon [c©«ur, Mais, ma s©«ur, croyez-moy, n'en prenez point la [peine. En vain vous me direz que je suis inhumaine : Que je dois par pitié soulager ses amours : Cent fois le jour j'entens de semblables... | |
| Tancrède Martel - 1888 - 466 ÆäÀÌÁö
...m'abuser d'un entretien moqueur, Pour prendre mieux le temps de le mettre enmon c©«ur. Mais, ma s©«ur, croyez-moi, n'en prenez point la peine. En vain vous me direz que je suis inhumaine : Que je dois par pitié soulager ses amours : Cent fois le jour j'entends de semblables... | |
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