Répertoire du Théâtre français ...: composé des tragédies, comédies et drames des auteuers du second ordre, 31±Ç

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J. Didot ainé, 1825
 

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182 ÆäÀÌÁö - Ciel a béni ma fortune, je ne peux pas être plus heureux, je suis estimé, voici votre s©«ur bien établie, votre beau-frère remplit avec honneur une des premières places dans la robe. Pour vous, mon fils, vous serez digne de moi et de vos aïeux. J'ai déjà remis dans notre famille...
167 ÆäÀÌÁö - Je crois que voilà tout... Les magasins fermés, que personne n'y entre passé dix heures... Que quelqu'un reste -dans les bureaux et ferme la porte en dedans. ANTOINE. Ma fille y restera. M. VANDERK.
226 ÆäÀÌÁö - Je ne peux me confier qu'à vous, et je me fie à votre âge, à votre expérience, et je peux dire à votre amitié. Rendez-vous au lieu où ils doivent se rencontrer, derrière les petits remparts... Déguisez- vous do façon à n'être pas reconnu ; tenez-vous-en le plus loin que vous pourrez... ne soyez, s'il est possible, reconnu en aucune manière.
214 ÆäÀÌÁö - INFORTUNÉ ! comme on doit peu compter sur le bonheur présent ! je me suis couché le plus tranquille, le plus heureux des pères, et me voilà. Antoine. . .je ne puis avoir trop de confiance.
184 ÆäÀÌÁö - Quelques particuliers audacieux font armer les rois, la guerre s'allume, tout s'embrase, l'Europe est divisée; mais ce négociant anglais, hollandais, russe, ou chinois, n'en est pas moins l'ami de mon c©«ur ; nous sommes, sur la superficie de la terre, autant de fils de soie qui lient ensemble les nations et les ramènent à la paix par la nécessité du commerce : voilà, mon fils, ce que c'est qu'un honnête négociant.
184 ÆäÀÌÁö - Je ne connais que deux états au-dessus du commerçant (en supposant encore qu'il y ait quelque différence entre ceux qui font le mieux qu'ils peuvent dans le rang où le ciel les a placés), je ne connais que deux états, le magistrat qui fait parler les lois et le guerrier qui défend la patrie.
241 ÆäÀÌÁö - PÈRE. Tâchez de parler à madame en particulier; vous lui direz que je suis à l'instant forcé de sortir, que je la prie de ne pas s'inquiéter : mais qu'elle fasse en sorte qu'on ne s'aperçoive pas de mon absence; je serai peut-être... Mais vous pleurez , Victorine.
179 ÆäÀÌÁö - Si vous me trompez, prenez-y garde; je ferai cabale. M. VANDERK FILS : Je ne crains pas cela. Mais, mon père, on vient de lire le contrat de mariage de ma s©«ur; nous l'avons tous signé. Quel nom y avez-vous pris ? et quel nom m'avez-vous fait prendre ? M.
207 ÆäÀÌÁö - Ah ! mon père, vous me l'avez dit hier : vous aviez été insulté; vous étiez jeune; vous vous êtes battu; vous le feriez encore. Ah! que je suis malheureux! je sens que je vais faire le malheur de votre vie. Non... jamais... Quelle leçon!... Vous pouvez m'en croire...
183 ÆäÀÌÁö - Quel état, mon fils, que celui d'un homme qui, d'un trait de plume, se fait obéir d'un bout de l'univers à l'autre! Son nom, son seing n'a pas besoin, comme la monnaie d'un souverain, que la valeur du métal serve de caution à l'empreinte ; sa personne a tout fait ; il a signé, cela suffit.

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