Mémoires pour l'histoire des sciences & des beaux arts. Jan. /févr. 1701-avril 1718, 34권1712 |
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affez affûre ainfi auffi auroit Auteurs avoient avoit c'eft c'eft à dire c'eſt caufe chaffe chofe Chrétiens compofé Confeffeur conferver confiderables Crefci deffein deffus Dieu differentes differtation Eccléfiaftique efprit Eglifes enfuite eſt étoient étoit Evêque facrez faifoit fainte falut fang fans feconde fectes felon femble fens fentiment feroit fervir feulement fiécle fion foient foin foit folide fomme font fous fouvent François Frezier fuivant fujet fuppofe Gallien generale Grecs Gregoire Hebreu hiftoire ipfa Jefuites jufqu'à jufte l'Abbé l'Auteur l'Ecriture l'efprit l'Eglife l'hiftoire laiffer Leftocq livre maniere medailles Medecine Memoires ment merite Monfeigneur n'eft n'étoit neceffaire obfervations paffages paffer païs paroît penfer Pere perfonnes Philiftins Philon plan d'Aups plufieurs plûtôt pofé Poffevin prefent prefque premiere Prince propofe raifon refpiration refte Rois s'eft Saint Firmin Sainte Baume Samaritain tems tion tître toifes toûjours trachées troifiéme verité vûë دو رو
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1335 페이지 - Villehardouin, en parlant du jeune Alexis, héritier de l'empire d'Orient, ne le nomme que le varle.t de...
1326 페이지 - Rois ; afin d'intericfler des gens à les foûtenir , ils donnèrent à leurs Officiers pour eux & leurs defcendans , une partie des biens Royaux qui fe trouvèrent dans les Provinces dont ils venoient de fe rendre maîtres, & permirent à ces Officiers de gratifier à même titre d'une portion de ces mêmes biens les Soldats qui feroient fous eux.
1341 페이지 - C'eft là que fe donnoient les plus grands coups , pour enlever le penon Royal , ou pour le défendre : car on n'étoit point cenfë vainqueur fi on ne s'en rendoit le maître , ni vaincu qu'on ne l'eût perdu. Outre cette bannière , qui étoit proprement la bannière de France, nos Rois! faifoient encore porter celle du Saint le plus célèbre qu'on réclamât dans leurs Etats. Il n'eft fait mention dans nos hiftoires de la...
1309 페이지 - François les fondèrent fans qu'il leur en coûtât beaucoup ; on cedoit à des Moines autant de terres incultes qu'ils pouvoient en mettre en valeur. Ces troupes pénitentes ne s'étant point données à Dieu pour mener une vie oifive , travailloient de toutes leurs forces à deffécher...
928 페이지 - A quel prix vous régnez, fur nous ? Ce Dieu veut qu'un feul lui réponde De la félicité de tous. Il veut que vos fujets tranquilles» Pour vous , enfans toujours dociles , Vous trouvent des pères pour eux : En vain portez-vous le tonnerre, Vous n'êtes les Dieux de la terre , Qu'autant que nous femmes heureax.
981 페이지 - ... qui demande beaucoup de nous, qui gêne nos inclinations, qui nous menace de grands maux, et contre le jugement terrible duquel il faut se précautionner. Voilà ce que pensent ceux qui font des réflexions sérieuses sur la religion ; encore sont-ils en bien petit nombre. On dit : C'est une personne qui craint Dieu : en effet, elle ne fait que le craindre sans l'aimer, comme des enfants...
1315 페이지 - à l'occasion d'un mariage ou d'un • autre sujet de joie extraordinaire; • tantôt dans leurs palais, tantôt dans « quelque grande ville; quelquefois en « pleine campagne, toujours en un lieu « commode pour y loger les grands sei
1329 페이지 - Dreux , parce que le comte fon mari n'étoit encore qu'écuyer quand malheureufe'ment il fut tué dans un tournoi, fix heures après leur mariage. Le roi fe faifoit honneur d'être chevalier , & les chevaliers...
1342 페이지 - ... Si on en croit quelques Hiftoriens, elle fut apportée du Ciel à Clovis , ou à Charlemagne , & elle y remonta du tems de Charles feptiéme. Ce petit conte fe trouve avec beaucoup d'autres dans nos vieilles hiftoires. L'Oriflamme n'étoit autre chofe que la bannière qu'on portoit aux Procédions de Saint Denis, & dans les guerres particulières que les Moines de cette Abbaye avoient contre leurs voifins. L'Avoué de ces Moines , qui étoit le Comte de Vexin , alloit la prendre dans leur Eglife...
910 페이지 - Elle use des citoyens comme d'une garnison,' les faisant passer, dans certains cas déterminés à l'avance, ou de la ville à la campagne, ou de la campagne à la ville...