Œuvres complettes de M. de Marivaux ...La veuve Duchesne, 1781 |
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affez ainfi auffi auroit avez avois avoit Beauffon befoin Bono c'eft c'eſt c'étoit carroffe caufe cauſe cher chofe cœur Comte de Dorfan connoiffance coufine crois Dame Damville devoit dévote Dieu difcours difoit dire dis-je dit-elle efprit eft-ce enſemble époufe épouſe eſt êtes étoient étoit falloit falut fans doute fçais fçait fçavoir fecret femme fens fentiments fera feroit fervice fervir feule fille fœur foit fonger fortune fouper fouvent fuis fur le champ fur moi garçon Génevieve j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois Jacob jeune homme jufqu'à l'efprit là-deffus laiffer m'avoit m'en Madame de Dorville Madame de Fécour Madame de Ferval Madame de Vambures Mademoiſelle Habert maiſon maitreffe Monfieur le Comte n'eft n'eſt paffer parler paroiffoit penfe perfonne plaifir pouvoit préfent Préfident premiere raifon reconnoiffance refte répondis-je réponſe repris-je reprit-il rien ſes ſon tendreffe Vallée venoit viſage voilà vouloit voyois yeux
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362 페이지 - Il ya bien des amours où le cœur n'a point de part; il y en a plus de ceux-là que d'autres, même, et dans le fond, c'est sur eux que roule la nature, et non pas sur nos délicatesses de sentiment qui ne lui servent de rien. C'est nous le plus souvent qui nous rendons tendres, pour orner nos passions; mais c'est la nature qui nous rend amoureux; nous tenons d'elle l'utile que nous enjolivons de...
202 페이지 - ... marchand, n'est-ce pas ? Je le serai peut-être ; ce sera encore boutique pour boutique. Vous autres demoiselles qui êtes ses filles, ce n'est donc que d'une boutique que vous...
202 페이지 - ... pas ? Je le serai peut-être; ce sera encore boutique pour boutique. Vous autres demoiselles qui êtes ses filles, ce n'est donc que d'une boutique que vous valez mieux que moi; mais cette boutique, si je la prends, mon fils dira : Mon père l'avait; et par là mon fils sera au niveau de vous.
80 페이지 - ... y toucher. On voyait ces dames se servir négligemment de leurs fourchettes; à peine avaient-elles la force d'ouvrir la bouche; elles jetaient des regards indifférents sur ce bon vivre. « Je n'ai point de goût aujourd'hui... — Ni moi non plus... — Je trouve tout fade... — Et moi tout trop salé.
92 페이지 - Ma chère demoiselle, écoutez-moi, dit-il à cette cadette ; vous savez avec quelle affection particulière je vous donne mes conseils à toutes deux. Ces dernières paroles, à toutes deux, furent partagées de façon que la cadette en avait pour le moins les trois quarts et demi pour elle, et ce ne fut même que par réflexion...