Le philosophe sans le savoir: comédie en prose et en cinq actesHérissant, 1766 - 74ÆäÀÌÁö |
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Acteurs précédens affaire affure Allez aurois avez avois avoit befoin Bon foir c'eft c'eſt c'étoit chevaux chofe Ciel clefs demain DESPARVILLE fils DESPARVILLE pere diamans dire DOMESTIQUE donne la main eft forti Eft-ce embarraffé embraffe enfans eſt êtes étoit fage fallon fans doute fanté favez favoir fe battre feing fera feroit fervice fervir feul fieur figné fille f©«ur foit fommes fortis fon pere font frere fuis GENDRE Gentilhomme heures infulté j'ai j'étois J'y vais jufqu'à jufte rigueur l'ai l'embarras l'honneur l'inftant laiffer loix m'avez Madame Vanderk Mademoiſelle Meffieurs Defparville miférables Monfieur DESPARVILLE Monfieur Vanderk Monfieur votre fils n'eft n'en fais rien n'eſt nête homme noce parler pauvre Antoine perfonne peux piftolets préfent qu'à moi racon raifon refte reux réveiller Robe SCENE PREMIERE SCENE VIII SCENE X.
M. VANDERK SOPHIE tems troifieme VANDERK fils VANDERK pere Vas-t-en venois veux VICTORINE voici voilà voulez-vous
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23 ÆäÀÌÁö - Je ne connais que deux états au-dessus du commerçant (en supposant encore qu'il y ait quelque différence entre ceux qui font le mieux qu'ils peuvent dans le rang où le ciel les a placés), je ne connais que deux états, le magistrat qui fait parler les lois et le guerrier qui défend la patrie.
22 ÆäÀÌÁö - Quel état, mon fils, que celui d'un homme qui, d'un trait de plume, se fait obéir d'un bout de l'univers à l'autre! Son nom, son seing n'a pas besoin, comme la monnaie d'un souverain, que la valeur du métal serve de caution à l'empreinte ; sa personne a tout fait ; il a signé, cela suffit.
21 ÆäÀÌÁö - Dans l'âge où l'on ne choisit pas, j'ai eu le bonheur de bien choisir. Un jeune officier, venu en quartier d'hiver dans la province, trouva mauvais qu'un enfant de seize ans, c'était mon âge, attirât les attentions d'un autre enfant : votre mère n'avait pas douze ans.
55 ÆäÀÌÁö - On peut venir à l'instant, et je ne pourrais plus vous parler... Crois-tu, mon pauvre Antoine, crois-tu, mon vieux camarade, que je sois insensible ? N'est-ce pas mon fils ? N'est-ce pas lui qui fonde dans l'avenir tout le bonheur de ma vieillesse ? Et ma femme...
59 ÆäÀÌÁö - Antoine ! Le maître d'hôtel, les gens, les commis, tout le monde demande M. Antoine. Il faut que j'aie la peine de tout. Mon père est bien étonnant : je le cherche partout, je ne le trouve nulle part. Jamais ici il n'ya eu tant de monde, et jamais... Eh ?... Quoi ?... Hein ?... Antoine, Antoine...
35 ÆäÀÌÁö - DOMESTIQUE. J'ai cherché partout, sur la fenêtre, derrière la porte; j'ai tâté le long de la barre de fer; je n'ai rien trouvé; enfin j'ai réveillé le portier. M. VANDERK FILS. Eh bien?
27 ÆäÀÌÁö - Mon cher frère, m'écrit-elle, j'irai ; mais ne serait-il pas mieux que je ne passasse que pour une parente éloignée de votre femme, pour une protectrice de la famille ? » Elle appuie cela de tous les mauvais raisonnements qui... J'entends une voiture. M. VANDERK FILS Je vais voir.
22 ÆäÀÌÁö - ... son nom et son commerce. Le ciel a béni ma fortune, je ne peux pas être plus heureux, je suis estimé. Voici votre s©«ur bien établie; votre beau-frère remplit avec honneur une des premières places dans la robe. Pour vous, mon fils, vous serez digne de moi et de vos aïeux : j'ai déjà remis dans notre famille...
62 ÆäÀÌÁö - Non , parlons debout , j'aurai bientôt dit. Monsieur, je crois que le diable est après moi. J'ai depuis quelques jours besoin d'argent , et encore plus depuis hier, pour la circonstance...
42 ÆäÀÌÁö - Je lui ai dit à l'oreille qu'il n'y avoit qu'un malhonnête homme qui pût tenir de pareils propos : nous fommes fortis ; on nous a féparés. M. VANDERK PERE. Vous me permettrez de vous dire... M. VANDERK FILS. Ah ! je fçais, mon...