Dictionnaire de pensées ingénieuses, tant en vers qu'en prose, des meilleurs écrivains françois: Ouvrage propre aux personnes de tout âge et de toute condition ...La veuve Duchesne, 1773 - 1121ÆäÀÌÁö |
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10 ÆäÀÌÁö
... Sous cet habit que vous paroiffez belle ! Pour vous gagner tous les c©«urs à la fois , C'étoit , fans doute , ô charmante Dubois ! Du Dieu d'Amour une rufe nouvelle . L'illufion couronna son deffein ; Tel qui n'étoit inftruir de ce ...
... Sous cet habit que vous paroiffez belle ! Pour vous gagner tous les c©«urs à la fois , C'étoit , fans doute , ô charmante Dubois ! Du Dieu d'Amour une rufe nouvelle . L'illufion couronna son deffein ; Tel qui n'étoit inftruir de ce ...
100 ÆäÀÌÁö
... coupable encens qu'à tes charmes Le fils de Priam présenta ! Sa patrie aux flammes en proie , Sous l'herbe la fameufe Troie Vit anéantir fon orgueil ; Et , Pyrrhus , bouillant 100 BEA BEA Autrefois, épris de tes charmes, ...
... coupable encens qu'à tes charmes Le fils de Priam présenta ! Sa patrie aux flammes en proie , Sous l'herbe la fameufe Troie Vit anéantir fon orgueil ; Et , Pyrrhus , bouillant 100 BEA BEA Autrefois, épris de tes charmes, ...
137 ÆäÀÌÁö
... Sous des lambris dorés l'injufte raviffeur Entretient le vautour dont il eft la victime . Combien peu de mortels connoiffent la douceur D'un bonheur pur & légitime ! Pan , Diane , Apollon , les Faunes , les Sylvains , Peuplent ici vos ...
... Sous des lambris dorés l'injufte raviffeur Entretient le vautour dont il eft la victime . Combien peu de mortels connoiffent la douceur D'un bonheur pur & légitime ! Pan , Diane , Apollon , les Faunes , les Sylvains , Peuplent ici vos ...
146 ÆäÀÌÁö
... a pas la puiffance D'écarter de leur présence Les foucis tumultueux , Noir effain qui les afflige , Et qui fans ceffe voltige Sous leurs lambris faftueux . ( Bertrand . ) CHANOINE S. Leur molleffe . On voit ici de ces 146 CHA CHA.
... a pas la puiffance D'écarter de leur présence Les foucis tumultueux , Noir effain qui les afflige , Et qui fans ceffe voltige Sous leurs lambris faftueux . ( Bertrand . ) CHANOINE S. Leur molleffe . On voit ici de ces 146 CHA CHA.
153 ÆäÀÌÁö
... Sous un chemin trompeur , où volant au carnage Le foldat valeureux fe fie à fon courage , On voit en un instant des abimes ouverts , De noirs torrents de foufre épandus dans les airs , Des bataillons entiers , par ce nouveau tonnerre ...
... Sous un chemin trompeur , où volant au carnage Le foldat valeureux fe fie à fon courage , On voit en un instant des abimes ouverts , De noirs torrents de foufre épandus dans les airs , Des bataillons entiers , par ce nouveau tonnerre ...
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affez ainfi amant amour auffi avoit beau beauté befoins belle bonheur Bourfault C'eft C'eſt Cailly charmes chofe ciel cieux connoître Corneille crime defirs deftin Deshoulieres Dieu Dieux difoit doux efprit encens eſt étoit fage fageffe faint fang fans art fans ceffe fecours fecret fein femme fens fent fert fervir feul fille foible foibleffe foins foit fombres fommes fon c©«ur font fortune fouffrir fous fouvent fuis fuit fujets funefte fuperbe fuprême gloire grace haîne Henriade Héros heureux homme hymen jamais jour jufqu'à jufte Juftice L'Abbé l'ame l'amour l'avare l'efprit l'homme l'Hymen l'univers laiffe loix Lorfque main malheureux mifere monde mort mortels n'eft n'eſt naiffance paffe paffions Pannard par-tout paroît pefant penfe pere perfonne plaifir plaifirs poffede préfent puiffance puiffant qu'un Racan raifon refpect Regnard richeffes rien Rois Rouffeau Rouſſeau Saint-Foix ſes ſon tems tendreffe terre tréfors trifte vertu vois voit Voltaire yeux Zaïre
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330 ÆäÀÌÁö - Ni l'or ni la grandeur ne nous rendent heureux. Ces deux divinités n'accordent à nos v©«ux Que des biens peu certains, qu'un plaisir peu tranquille : Des soucis dévorants c'est l'éternel asile ; Véritables vautours, que le fils de Japet Représente, enchaîné sur son triste sommet.
330 ÆäÀÌÁö - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
332 ÆäÀÌÁö - Qu'heureux est le mortel qui, du monde ignoré, Vit content de soi-même en un coin retiré ! Que l'amour de ce rien qu'on nomme renommée N'a jamais enivré d'une vaine fumée ; Qui de sa liberté forme tout son plaisir, Et ne rend qu'à lui seul compte de son loisir ! Il n'a point à souffrir d'affronts ni d'injustices, Et du peuple inconstant il brave les caprices.
257 ÆäÀÌÁö - II parle, et dans la poudre il les fait tous rentrer. Au seul son de sa voix, la mer fuit, le ciel tremble...
139 ÆäÀÌÁö - Sur tous mes frères morts se faisant un passage , Et , de sang tout couvert , échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs , songe aux cris des mourans Dans la flamme étouffés , sous le fer expirans...
307 ÆäÀÌÁö - Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.
40 ÆäÀÌÁö - Beauté, gloire, vertu, je trouve tout en elle. Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
253 ÆäÀÌÁö - Du Dieu qui nous créa la clémence infinie, Pour adoucir les maux de cette courte vie, A placé parmi nous deux êtres bienfaisants, De la terre à jamais aimables habitants, Soutiens dans les travaux, trésors dans l'indigence, L'un est le doux sommeil, et l'autre est l'espérance...
399 ÆäÀÌÁö - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
492 ÆäÀÌÁö - Ma cruauté se lasse, et ne peut s'arrêter; Je veux me faire craindre, et ne fais qu'irriter. Rome a pour ma ruine une hydre trop fertile : Une tête coupée en fait renaître mille; Et le sang répandu de mille conjurés Rend mes jours plus maudits, et non plus assurés.