zne, muqu il reçoit tous la feule 2an coure la grace pleine &

navite u Sacrement, & que le fi

envitere demeure tout entier. Si l'elence du Sacrement de a Mare Sacracite requeroit abfolurent es teix epeces, il s'enfuivroit F 20TH Metroit de recevoir l'efrece un tans a tinte Commu207, Tu je pourroit par quelqu'acment fertur, prendre l'è pece du Vin, Arrveroir, is- e, que ce particulier Katemanez savoir rien reçû Life Tac, ce qui teroit abfurde, Referees du in denotte autant Srem a fourrure de l'ame, Tumen des deles avec

Dušas, que fapece du Vin la i doit pas juger de

ག ལ ་

at a grace & fon ettet, ne des lignes ou fymbo esgrace font inteparables, Pas e es lymboles font divili

Penge a vertu de J:sus

rea.nons chances; c'est

za der Sacrement de date Schrite z et point divisée NILI YAss. Pain & du Vin, & jer mi spac le Corps & le Sang 44

imparablement

inféparablement à caufe de l'unité de JESUS-CHRIST qui eft vivant & résuscité; de même on reçoit auffi l'efficacité de la grace, & la vertu du Corps & du Sang adorable de ce Divin Sauveur, par l'unité du mérite & de l'action de JESUS-CHRIST. En un mot, je le répere, ce ne font pas les efpeces qui couvient & enveloppent le Corps & le Sang du Fils de Dieu qui produifent dans nos ames l'effet & la grace; mais c'eft JESUS-CHRIST lui-même qui nous favorife de ce gratuit bien-fait. Par conféquent il ne nous manque rien lorfque nous avons reçu la fainte Euchariftie, ou fous la feule efpece du Pain, ou fous la feule efpece du Vin, puifque chaque efpece en fon particulier contient abfolu ment réellement le Corps, le Sang, Seff. 13. l'ame & la divinité de notre Divin San

Veur .

que

a Le premier qui s'eft avifé d'enfeigner que le Sacrement de la fainte Euchariftie n'étoit du Corps & du Sang de Jefus-Chrift, eft un nommé la figure Berenger, Archidiacre d'Angers, & enfuite Tréforier de faint Martin de Tours, dont il étoit natif. Il vivoit dans le x 1. fiecle en réputation cependant de pieté & de fcience. Brunon, Evêque d'Angers, & plufieurs autres particuliers embrafferent cette doctrine qu'ils publierent en France, en Italie & en Allemagne: mais Durant Evêque de Liege, & Adelman fon difciple, depuis Evêque de Breffe, arrêterent le Cours de cette héréfie par de doctes écrits, que le Roy de France, Henry premier, protegea de fon autorité, N

Conc. Trid.

avoit

e tuns in tàcheu ter & isinex dans sma Puré de

He de la Loire,

et environ dix

SETTE IS DUS redes, après Free 6. Janvier inst Sage de Rome. te pom-être pour

Crazy antes qu'un Cal

mole pulence réelle

mua Berenger avoit

To ans aupara cenk the Berenger fe oumit à its tremens: au lieu JA TEE as fon opiniâtreté emmet, qursqu'il fut entiere

IN A CHR

2o. Comment pourroit-on garder &conferver le faint Viatique des malades, fous les deux efpeces, & communier à toutes heures les peuples qui se présentent en foule à la fainte Table. 3°. On priveroit de la confolation de ce grand Sacrement, les habitans des Païs qui non-feulement ne produifent point de vin, mais où l'on ne peut encore y en porter que très-difficilement, & même en petite quantité pour offiir uniquement le faint Sacrifice de la Meffè. 4°. On ne pourroit donner fans profanation l'efpece du Vin à ceux qui n'en ont jamais pû boire par la grande averfion qu'ils portent à cette liqueur. Ce

pour

que Meffieurs les Prétendus Réformez pratiquent auffi la même raifon, fuivant le chap. 12. de l'article 7. de leur difcipline rapporté cy-deffus. C'est pourquoi JESUS CHRIST n'a point obligé à l'impoffible, en inftituant le saint Sacrement de la fainte Euchariftie fous les deux efpeces, c'eft un choix au contraire dont ce divin Sauveur a bien voulu nous laiffer la liberté pour aller au devant de nos befoins, & nous ôter tous prétextes.

Il eft vrai que le Fils de Dieu dit à fes Difciples: Buvez en tous, mais il Matth. eb,

v. 27.

coupe, puifqu'il reçoit fous la feule efpece du Pain toute la grace pleine & indivifible du Sacrement, & que le figne mystérieux y demeure tout entier. En effet, fi l'eflence du Sacrement de la fainte Euchariftie requeroit abfolument les deux efpeces, il s'enfuivroit que celui qui viendroit de recevoir l'ef pece du Pain dans la fainte Communion, & qui ne pourroit par quelqu'accident fortuit, prendre l'efpece du Vin, il arriveroit, dis-je, que ce particulier retourneroit chez lui fans avoir rien reçû à la fainte Table, ce qui feroit abfurde, parce que l'efpece du Pain dénotte autant en elle-même la nourriture de l'ame, par la grace & l'union des fideles avec JESUS-CHRIST, que l'efpece du Vin la fignifie; car on n'en doit pas juger de même touchant la grace & fon effet, que l'on en pente des fignes ou fymboles. L'effet & la grace font inféparables, mais les fignes ou fymboles font divilibles: ainfi quoique la vertu de JESUSCHRIST foit une en elle-même, les elpeces font néanmoins diftinctes; c'eft pourquoi la grace du Sacrement de la fainte Euchariftie n eft point divisée par les deux efpeces du Pain & du Vin, & comme on reçoit le Corps & le Sang infeparablement