Éphémérides du citoyen, 5-6±ÇFeltrinelli Reprint, 1768 |
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22 ÆäÀÌÁö
... Société . L'agriculture eft ce point central & de réunion des forces , de l'industrie , de l'intelligence & des richeffes mobiliaires de l'homme ; à l'effet de tirer du fein de la terre , par le moyen de fon travail , les produits ...
... Société . L'agriculture eft ce point central & de réunion des forces , de l'industrie , de l'intelligence & des richeffes mobiliaires de l'homme ; à l'effet de tirer du fein de la terre , par le moyen de fon travail , les produits ...
28 ÆäÀÌÁö
... Société affurée par la force ainfi jufques - là il n'y a point encore de Société ; & la Société ne commence qu'avec l'excédent du pro- duit de la moiffon par- delà la portion du Cultivateur & de la femence , & n'a rien du tout à ...
... Société affurée par la force ainfi jufques - là il n'y a point encore de Société ; & la Société ne commence qu'avec l'excédent du pro- duit de la moiffon par- delà la portion du Cultivateur & de la femence , & n'a rien du tout à ...
29 ÆäÀÌÁö
... Société naiffante après la culture . Conféquemment , la feconde part fur la totalité de la moif- fon , eft due à l'entretien de cette force furveillante , après la premiere ci - deffus prélevée . 11 ¡Æ . Cette force fe trouve naturelle ...
... Société naiffante après la culture . Conféquemment , la feconde part fur la totalité de la moif- fon , eft due à l'entretien de cette force furveillante , après la premiere ci - deffus prélevée . 11 ¡Æ . Cette force fe trouve naturelle ...
30 ÆäÀÌÁö
... Société , conviennent de contribuer d'une por- tion de leur revenu , à l'établiffement & au maintien d'une puiffance tutélaire de la Société . 13 ¡Æ . Le Cultivateur affuré de jouir des fruits de fon travail , redouble d'ef- fort & de ...
... Société , conviennent de contribuer d'une por- tion de leur revenu , à l'établiffement & au maintien d'une puiffance tutélaire de la Société . 13 ¡Æ . Le Cultivateur affuré de jouir des fruits de fon travail , redouble d'ef- fort & de ...
33 ÆäÀÌÁö
... Société devient , par le concours des hommes , de leur travail , de leur force , de leur industrie & de leurs richeffes mobiliaires , une fqurce féconde & intarriffable de pro- duits toujours renaiffants avec accroît , diftribués avec ...
... Société devient , par le concours des hommes , de leur travail , de leur force , de leur industrie & de leurs richeffes mobiliaires , une fqurce féconde & intarriffable de pro- duits toujours renaiffants avec accroît , diftribués avec ...
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abfolue affez affure ainfi auffi auroit avoit bafe befoin bled c'eft c'eſt Chine Chinois chofe choſes ciété Cochinchine conféquent confervation confommation conftante conftitution connoiffances Cultivateur culture défordre defpotifme denrées dépenfes devoir difponible doit effence effentiel efpece eſt étoit exclufifs exif fage fans ceffe fans doute favoir feconde felon fent feptiers feroient feroit ferve feul fifc fimple fociété foient foit font force fource fous fouvent fubfiftance fuis fuivant fujet fuppofant fureté Gouvernement grains hommes inftitution injufte jouiffance jufte juftice juſtice l'Abbé l'autorité l'efprit l'évidence l'ordre focial l'ordre naturel laiffer liberté Mably Magiftrats maniere marché ment mobiliaires Monfieur moral n'eft n'eſt Nation néceffaire néceffité paffer paffions parceque paroît perfonne perfonnelle Peuple Philofophes phyfique plufieurs poffible portion pourroit préfente premiere produit profpérité Propriétaires propriété fonciere puiffance puiffe Quai de Conti raifon refpect richeffes richeſſes ſes Souverain tems terre tion voifins دو رو
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209 ÆäÀÌÁö - Gardes de l'Empereur, le troifieme eft réfervé à tous les laboureurs de la province , qui accourent pour voir leur art honoré & pratiqué par le chef de l'Empire ; les mandarins occupent le quatrième. L'Empereur entre feul dans le champ, fe profterne & frappe neuf fois la tête contre terre pour adorer le Tien, c'eft-à-dire, le Dieu du Ciel; il prononce...
233 ÆäÀÌÁö - Souverains qui la partagent, ou fous le joug deftrufteur des loix féodales. Enfin , l'extrémité Orientale du continent de l'Afie , habitée par la nation Chinoife, donne une idée raviflante de ce que feroit toute la terre , fi les loix de cet Empire étoient également celles de tous les peuples. Cette grande nation agricole réunit à l'ombre de fon agriculture , fondée fur une liberté raifonnable , tous les avantages différents des peuples policés & de ceux qui font fauvages. La bénédiction...
206 ÆäÀÌÁö - Ils ne font pas même dans l'ufage de faire tirer leurs bateaux par des chevaux ; ils ne fe fervent que de la voile , & fur-tout de la rame , qu'ils font valoir avec un art fingulier , même pour remonter les rivières. Dans tout ce que les hommes peuvent faire à un prix modique , on n'employe pas des animaux.
233 ÆäÀÌÁö - ... lieues pour trouver un champ défriché, mais mal cultivé ; lorfqu'enfin , arrivé à quelque peuplade, je ne voyois dans le marché public , que quelques mauvaifes racines ; alors je ne doutois plus d'être chez un peuple malheureux, féroce ou efclave. Il ne m'eft jamais arrivé d'être dans le cas de réformer cette première idée...
210 ÆäÀÌÁö - ... une charrue attelée d'une paire de b©«ufs magnifiquement ornés. Le Prince quitte fes habits Impériaux , faifit le manche de la charrue , & ouvre plufieurs filions dans toute l'étendue du champ; puis d'un air aifé , il remet la charrue aux principaux Mandarins qui labourent fucceffivement ; fe piquant les uns & les autves de faire ce travail honorable avec plus de dextérité*.
230 ÆäÀÌÁö - Septante , & qui qui en cette qualité préfidoit au labourage , tous les Empereurs , fans exception jufqu'à ce jour , fe font fait gloire d'être les premiers laboureurs de leur Empire. L'hiftoire chinoife a confervé...
210 ÆäÀÌÁö - ... à l'Empereur une charrue attelée d'une paire de b©«ufs magnifiquement ornés. Le Prince quitte fes habits impériaux, faifit le manche de la charrue & ouvre plufieurs filions dans toute l'étendue du champ , puis il remet la charrue aux principaux mandarins qui labourent fucceflivement ; fe piquant les uns & les autres de faire ce travail honorable avec plus de dextérité.
200 ÆäÀÌÁö - ... journaliers faits à la nature humaine dans nos colonies , en permettant d'y avilir les hommes au point de les regarder abfolument comme des bêtes de charge ? La loi de l'efclavage a été aufli contraire à fes intérêts , qu'à la loi naturelle & à fon honneur : je l'ai remarqué plufieurs fois.
236 ÆäÀÌÁö - Il eft appelle le fils du Tien , il eft la vraie , la plus parfaite image du ciel dont il imite la bienfaifance. Enfin fon peuple reconnoiffant l'adore comme un Dieu , parce qu'il fe conduit comme un homme.
192 ÆäÀÌÁö - Le peuple cochinchinois eft doux , hofpitalier , frugal , laborieux. On ne voit aucun mendiant dans le pays,' on n'y entend parler ni de vols , ni de meurtres.