Suite du Répertoire du Théâtre Français: Opéras-comiques en vers I-IIIPierre Marie Michel Lepeintre Chez Mme veuve Dabo, 1822 |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
40°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
11 ÆäÀÌÁö
... . Une vigne elle s'achète Avec le produit du lait ; Ensuite une maisonnette ; Un projet est bientôt fait . La voilà déjà fermière , Son bien elle fait valoir ; La voilà qui devient fière Du sort qu'elle doit avoir SCÈNE III . 11.
... . Une vigne elle s'achète Avec le produit du lait ; Ensuite une maisonnette ; Un projet est bientôt fait . La voilà déjà fermière , Son bien elle fait valoir ; La voilà qui devient fière Du sort qu'elle doit avoir SCÈNE III . 11.
12 ÆäÀÌÁö
Pierre Marie Michel Lepeintre. La voilà qui devient fière Du sort qu'elle doit avoir ; Elle saute d'allégresse ; Mais un caillou la fait choir , OEufs cassés , adieu richesse ; Ne comptons point sur l'espoir . Me voilà , je suis hors d ...
Pierre Marie Michel Lepeintre. La voilà qui devient fière Du sort qu'elle doit avoir ; Elle saute d'allégresse ; Mais un caillou la fait choir , OEufs cassés , adieu richesse ; Ne comptons point sur l'espoir . Me voilà , je suis hors d ...
15 ÆäÀÌÁö
... doit pas nous tenter : Ils peignent nos plaisirs , au lieu de les goûter . AIR : des fleurettes . Ces lits , où la mollesse S'unit avec les maux , Nourrissent la paresse Sans donner le repos . Sur nos gazons l'on sommeille ...
... doit pas nous tenter : Ils peignent nos plaisirs , au lieu de les goûter . AIR : des fleurettes . Ces lits , où la mollesse S'unit avec les maux , Nourrissent la paresse Sans donner le repos . Sur nos gazons l'on sommeille ...
19 ÆäÀÌÁö
... doit être bien beau . ( Pendant cette ariette , le Bailli écarte doucement les bran- ches , et passe sa tête au travers . ) LUBIN . AIR . Du Dieu des c©«urs On adore l'empire ; Lui seul avec des fleurs Enchaîne tout ce qui respire ...
... doit être bien beau . ( Pendant cette ariette , le Bailli écarte doucement les bran- ches , et passe sa tête au travers . ) LUBIN . AIR . Du Dieu des c©«urs On adore l'empire ; Lui seul avec des fleurs Enchaîne tout ce qui respire ...
47 ÆäÀÌÁö
... Ce n'est point une affaire ; Tout le passé ne m'inquiète pas : A l'usage du siècle un mari doit se faire ; Nous voyons tous les jours des gens moins délicats . AIR . Mes trois femmes étaient veuves , Lorsque je SCÈNE XII . 47.
... Ce n'est point une affaire ; Tout le passé ne m'inquiète pas : A l'usage du siècle un mari doit se faire ; Nous voyons tous les jours des gens moins délicats . AIR . Mes trois femmes étaient veuves , Lorsque je SCÈNE XII . 47.
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
ACTE adieu aime ALCIN ALCINDOR ALINE Allons amans amant amour ANNETTE chante Annette et Lubin ardeur ARIETTE ARSÈNE ARTUR avez BAILLI beau Beaucaire beauté belle BERTHE bienfesant bonheur bourse BREDAU cabane chagrin CHARBONNIER charmes chère Annette chevalier CHOEUR ciel c©«ur COMTE DE BONGARS COMTE DE GARINS d'Arsène dames DOLIVAL douce doux enfans êtes EUGÉNIE FÉE URGÈLE femme fesant fille fleurs GENNEVOTE gens glaner Hélas heureux HIRE j'ai j'aime J'aurais j'en jeune jolie jour l'aime l'ame l'amour L'HUISSIÈRE laissez-moi m'aime m'en malheur MARCOU MAROTE MARTON mère mieux moissonner moissonneurs Monseigneur monsieur Candor mourir neveu NICOLE NICOLETTE NYMPHES OFFICIERS oncle Opéras-Com panier PATRE pauvre peine père plaire plaisir reine Berthe respect rien ROBERT ROBINETTE ROSINE RUSTAUT sais SCÈNE VII secours SEIGNEUR serait seul sire Aucassin sort t'aime tems tendre théâtre représente Théâtre-Italien TRINQUART trouve vais veux VICOMTE VIEILLARD VIEILLE v©«ux voilà vois yeux
Àαâ Àο뱸
133 ÆäÀÌÁö - Est victime des gons qui ne servent ù rien. Quand vous avez au jeu perdu tout votre bien, Vous les pressurez tous pour payer vos sottises. Les excès où vous vous plongez Ferment vos c©«urs, les endurcissent. Les oisifs sont heureux , les travailleurs gémissent.
13 ÆäÀÌÁö - Les grands ne sont heureux qu'en nous contrefaisant : Chez eux la plus riche tenture Ne leur parait un spectacle amusant Qu'autant qu'elle rend bien nos champs, notre verdure. Nos danses sous l'ormeau, nos travaux , nos loisirs •. Ils appellent cela, je crois, un paysage.
28 ÆäÀÌÁö - ANNETTE. Va , laisse-moi : je ne suis plus tranquille ; Nous nous aimons comme à la ville , L'amour fera notre tourment. Je t'aime , et je voudrais t'en faire des reproches , Je tremble dès que tu m'approches , Je t'ai cru mon ami , tu n'es que mon amant. AIR : II est donc vrai , Lucile. Jeune et novice encore, J'aime de bonne foi. Cet amour que j'ignore Est venu malgré moi ; Je ne s ivais pas même Son nom jusqu'à ce jour.
12 ÆäÀÌÁö - Toutes ces maisons magnifiques Qu'à la ville on trouve partout Ne valent pas nos toits rustiques. Ces feuillages nouveaux sont bien plus de mon goût Que ces planchers pleins de dorure, Où l'on ne voit le bonheur qu'en peinture i.
51 ÆäÀÌÁö - C'était par amitié plutôt que par devoir. Je ne veux pas m'en prévaloir : Mais à votre bonté si j'ai droit de prétendre, Qu'Aimette seule en soit l'objet, Et j'en sentirai mieux le prix de ce bienfait. Ah! Monseigneur, daignez m'entendre, Quand vous voyez des malheureux , Vous vous intéressez pour eux ; Vous dites à part vous : ils sont ce que nous sommes. Oui , ces pauvres gens sont des hommes. LE SEIGNEUB, avec une vivacité qui tient du 'lépii. Lève-toi , Lubin , lève-toi. (A part....
29 ÆäÀÌÁö - Tes lèvres demi-closes Respirent un air frais ; Croyant sentir des roses, Je m'approche tout près. Eh ! mais , etc. Une abeille farouche . Un jour piqua ta main.
31 ÆäÀÌÁö - C'est un mal de haïr, c'est un bien que d'aimer. ANNETTE. Pour rendre l'amour légitime, II faut qu'on se marie. LUBIN. Eh bien! Marions-nous. ANNETTE. Comment faut-il s'y prendre? LUBIN. Comment ? Ma foi , je n'en sais rien ; Le bailli pourra nous l'apprendre. ANNETTE. N'y compte pas : c'est lui qui prétend m'épouser.
20 ÆäÀÌÁö - Votre cousin ! ANNETTE. Cousin, vous dis-je. Comment donc! cela vous afflige? Vous avez tort ; mais, monsieur le bailli , Que n'avez-vous une covisine aussi ? LE BAILLI.
40 ÆäÀÌÁö - Monseigneur, Lubin m'aime, Sauf votre bon plaisir ; Moi , je l'aime de même : II fait tout mon désir. Ensemble , dès l'enfance Nous étions de loisir ; Nous fîmes connaissance, Sauf votre bon plaisir. J'avais perdu ma mère , < Je me sens attendrir ; Lubin perdit son père ; Je l'entendais gémir : Nous voilà sans famille ; Hélas! que devenir? Moi surtout, pauvre f,lle!
121 ÆäÀÌÁö - Le théâtre représente un paysage ; à droite est une chaumière, à côté de laquelle est un banc de pierre; à gauche est un petit tertre couronné par un orme : il sort de cet endroit une source d'eau vive qui forme un bassin. Derrière est une chaîne de hautes montagnes qm se perd dans l'éloignement.