Suite du Répertoire du Théâtre Français: Opéras-comiques en vers I-IIIPierre Marie Michel Lepeintre Chez Mme veuve Dabo, 1822 |
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21 ÆäÀÌÁö
... défunte mère ? La pauvre femme , hélas ! ANNETTE . D'où vient votre colère ? LE BAILLI . Vous a - t - elle ordonné d'écouter les garçons ? ANNETTE . Oh ! jamais cela ne m'arrive . LE BAILLI . Ne le croirait - on pas à SCÈNE V. 21.
... défunte mère ? La pauvre femme , hélas ! ANNETTE . D'où vient votre colère ? LE BAILLI . Vous a - t - elle ordonné d'écouter les garçons ? ANNETTE . Oh ! jamais cela ne m'arrive . LE BAILLI . Ne le croirait - on pas à SCÈNE V. 21.
47 ÆäÀÌÁö
... femme . Oui , pour le bien de mon ame ; Je ne me suis encor marié que trois fois , Et je veux essayer d'un quatrième ... femmes étaient veuves , Lorsque je SCÈNE XII . 47.
... femme . Oui , pour le bien de mon ame ; Je ne me suis encor marié que trois fois , Et je veux essayer d'un quatrième ... femmes étaient veuves , Lorsque je SCÈNE XII . 47.
48 ÆäÀÌÁö
Pierre Marie Michel Lepeintre. AIR . Mes trois femmes étaient veuves , Lorsque je les épousai ; De tenter d'autres épreuves Toujours je me proposai ; Mais ici , comme à la ville , Où trouver un c©«ur tout neuf ? Si j'étais si difficile ...
Pierre Marie Michel Lepeintre. AIR . Mes trois femmes étaient veuves , Lorsque je les épousai ; De tenter d'autres épreuves Toujours je me proposai ; Mais ici , comme à la ville , Où trouver un c©«ur tout neuf ? Si j'étais si difficile ...
84 ÆäÀÌÁö
... femmes . LA HIRE . Ah ! la chose Ne tournera donc pas si mal . Vous pouvez gagner votre cause ; Ce sexe est indulgent . ROBERT . Mon crime est capital . Notre valeur ne doit être occupée Qu'à protéger la vertu , la beauté ; C'est à l ...
... femmes . LA HIRE . Ah ! la chose Ne tournera donc pas si mal . Vous pouvez gagner votre cause ; Ce sexe est indulgent . ROBERT . Mon crime est capital . Notre valeur ne doit être occupée Qu'à protéger la vertu , la beauté ; C'est à l ...
86 ÆäÀÌÁö
... de l'arrêt du trépas : C'est une question qu'on me donne à résoudre , Et qui me jette en un grand embarras . LA HIRE . Est quelle est - elle ? ROBERT . C'est de dire Ce qui séduit les femmes en tout tems . LA 86 LA FÉE URGÈLE .
... de l'arrêt du trépas : C'est une question qu'on me donne à résoudre , Et qui me jette en un grand embarras . LA HIRE . Est quelle est - elle ? ROBERT . C'est de dire Ce qui séduit les femmes en tout tems . LA 86 LA FÉE URGÈLE .
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ACTE adieu aime ALCIN ALCINDOR ALINE Allons amans amant amour ANNETTE chante Annette et Lubin ardeur ARIETTE ARSÈNE ARTUR avez BAILLI beau Beaucaire beauté belle BERTHE bienfesant bonheur bourse BREDAU cabane chagrin CHARBONNIER charmes chère Annette chevalier CHOEUR ciel c©«ur COMTE DE BONGARS COMTE DE GARINS d'Arsène dames DOLIVAL douce doux enfans êtes EUGÉNIE FÉE URGÈLE femme fesant fille fleurs GENNEVOTE gens glaner Hélas heureux HIRE j'ai j'aime J'aurais j'en jeune jolie jour l'aime l'ame l'amour L'HUISSIÈRE laissez-moi m'aime m'en malheur MARCOU MAROTE MARTON mère mieux moissonner moissonneurs Monseigneur monsieur Candor mourir neveu NICOLE NICOLETTE NYMPHES OFFICIERS oncle Opéras-Com panier PATRE pauvre peine père plaire plaisir reine Berthe respect rien ROBERT ROBINETTE ROSINE RUSTAUT sais SCÈNE VII secours SEIGNEUR serait seul sire Aucassin sort t'aime tems tendre théâtre représente Théâtre-Italien TRINQUART trouve vais veux VICOMTE VIEILLARD VIEILLE v©«ux voilà vois yeux
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133 ÆäÀÌÁö - Est victime des gons qui ne servent ù rien. Quand vous avez au jeu perdu tout votre bien, Vous les pressurez tous pour payer vos sottises. Les excès où vous vous plongez Ferment vos c©«urs, les endurcissent. Les oisifs sont heureux , les travailleurs gémissent.
13 ÆäÀÌÁö - Les grands ne sont heureux qu'en nous contrefaisant : Chez eux la plus riche tenture Ne leur parait un spectacle amusant Qu'autant qu'elle rend bien nos champs, notre verdure. Nos danses sous l'ormeau, nos travaux , nos loisirs •. Ils appellent cela, je crois, un paysage.
28 ÆäÀÌÁö - ANNETTE. Va , laisse-moi : je ne suis plus tranquille ; Nous nous aimons comme à la ville , L'amour fera notre tourment. Je t'aime , et je voudrais t'en faire des reproches , Je tremble dès que tu m'approches , Je t'ai cru mon ami , tu n'es que mon amant. AIR : II est donc vrai , Lucile. Jeune et novice encore, J'aime de bonne foi. Cet amour que j'ignore Est venu malgré moi ; Je ne s ivais pas même Son nom jusqu'à ce jour.
12 ÆäÀÌÁö - Toutes ces maisons magnifiques Qu'à la ville on trouve partout Ne valent pas nos toits rustiques. Ces feuillages nouveaux sont bien plus de mon goût Que ces planchers pleins de dorure, Où l'on ne voit le bonheur qu'en peinture i.
51 ÆäÀÌÁö - C'était par amitié plutôt que par devoir. Je ne veux pas m'en prévaloir : Mais à votre bonté si j'ai droit de prétendre, Qu'Aimette seule en soit l'objet, Et j'en sentirai mieux le prix de ce bienfait. Ah! Monseigneur, daignez m'entendre, Quand vous voyez des malheureux , Vous vous intéressez pour eux ; Vous dites à part vous : ils sont ce que nous sommes. Oui , ces pauvres gens sont des hommes. LE SEIGNEUB, avec une vivacité qui tient du 'lépii. Lève-toi , Lubin , lève-toi. (A part....
29 ÆäÀÌÁö - Tes lèvres demi-closes Respirent un air frais ; Croyant sentir des roses, Je m'approche tout près. Eh ! mais , etc. Une abeille farouche . Un jour piqua ta main.
31 ÆäÀÌÁö - C'est un mal de haïr, c'est un bien que d'aimer. ANNETTE. Pour rendre l'amour légitime, II faut qu'on se marie. LUBIN. Eh bien! Marions-nous. ANNETTE. Comment faut-il s'y prendre? LUBIN. Comment ? Ma foi , je n'en sais rien ; Le bailli pourra nous l'apprendre. ANNETTE. N'y compte pas : c'est lui qui prétend m'épouser.
20 ÆäÀÌÁö - Votre cousin ! ANNETTE. Cousin, vous dis-je. Comment donc! cela vous afflige? Vous avez tort ; mais, monsieur le bailli , Que n'avez-vous une covisine aussi ? LE BAILLI.
40 ÆäÀÌÁö - Monseigneur, Lubin m'aime, Sauf votre bon plaisir ; Moi , je l'aime de même : II fait tout mon désir. Ensemble , dès l'enfance Nous étions de loisir ; Nous fîmes connaissance, Sauf votre bon plaisir. J'avais perdu ma mère , < Je me sens attendrir ; Lubin perdit son père ; Je l'entendais gémir : Nous voilà sans famille ; Hélas! que devenir? Moi surtout, pauvre f,lle!
121 ÆäÀÌÁö - Le théâtre représente un paysage ; à droite est une chaumière, à côté de laquelle est un banc de pierre; à gauche est un petit tertre couronné par un orme : il sort de cet endroit une source d'eau vive qui forme un bassin. Derrière est une chaîne de hautes montagnes qm se perd dans l'éloignement.