Histoire de l'église de France: composée sur les documents originaux et authentiques, 11006±Ç

¾ÕÇ¥Áö
J. Renouard & Cie., 1854
 

¼±ÅÃµÈ ÆäÀÌÁö

ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®

Àαâ Àο뱸

89 ÆäÀÌÁö - ne veut pas la mort du pécheur, mais qu'il se convertisse et qu'il vive ', » prolonge souvent le temps de la pénitence.
114 ÆäÀÌÁö - C'est une nonne que j'ai là, ce n'est pas une reine ». Et en effet, pour cette âme froissée par tous les liens qui l'attachaient au monde, il n'y avait qu'un seul refuge, la vie du cloître. Radegonde y aspirait de tous ses v©«ux; mais les obstacles étaient grands, et six années se passèrent avant qu'elle osât les braver. Un dernier malheur de famille lui donna ce courage. Son frère, qui avait grandi à la cour de Neustrie...
xxiv ÆäÀÌÁö - Froissard pour trouver un narrateur qui. égale Grégoire de Tours dans l'art de mettre en scène les personnages et de peindre par le dialogue. Tout ce que la conquête de la Gaule avait mis en regard ou en opposition sur le même sol, les races, les classes, les conditions diverses, figure pêle-mêle dans ses récits, quelquefois plaisants, souvent tragiques, toujours vrais et animés.
266 ÆäÀÌÁö - Je vous conjure, hommes et femmes qui êtes « ici présens, gardez-moi une fidélité inviolable et ne me « tuez pas comme vous avez tué dernièrement mes frères. « Que je puisse au moins pendant trois ans élever mes « neveux, que j'ai faits mes fils adoptifs, de peur qu'il « n'arrive, ce que veuille détourner le Dieu éternel! qu'a...
224 ÆäÀÌÁö - Vous savez que la Pâque se fera dans deux jours et que le Fils de l'homme sera livré pour être crucifié.
291 ÆäÀÌÁö - Gloire a exposé doit être regardé comme juste et véritable. Mais que pouvonsnous faire quand le peuple s'abandonne à toutes sortes de vices, quand tous les hommes se complaisent dans l'iniquité? Nul ne craint le roi, nul ne respecte le duc ou le comte.
120 ÆäÀÌÁö - J'ai pleuré mes parents morts, et il faut aussi que je pleure ceux qui sont restés en vie. — Quand mes larmes cessent de couler, quand mes soupirs se taisent, mon chagrin ne se tait pas. — Lorsque le vent murmure, j'écoute s'il m'apporte quelque nouvelle; mais l'ombre d'aucun de mes proches ne se présente à moi.
240 ÆäÀÌÁö - ... frayeur, et rendant attaque pour attaque, répondit : « Dieu ne se marie pas, il n'en a aucun « besoin, il ne lui naît point de progéniture , et il ne
389 ÆäÀÌÁö - ... parfums. Examinant donc ma conscience et les péchés de mon c©«ur , songeant au compte que j'aurai à rendre à ce roi suprême , j'ai redouté son jugement et craint de subir les peines qui attendent les malheureux mortels; j'ai désiré aussi la gloire immense des justes, et n'ai pas voulu que le dernier jour qui me sera accordé par la volonté du Seigneur me trouvât coupable d'un criminel oubli des saints , et de tous ceux qui ont besoin de consolation.
120 ÆäÀÌÁö - J'ai vu les femmes traînées en esclavage, les mains liées et les cheveux épars; l'une marchait nu-pieds dans le sang de son mari, l'autre passait sur le cadavre de son frère. — Chacun a eu son sujet de larmes, et moi j'ai pleuré pour tous. — J'ai pleuré mes parents morts, et il faut aussi que je pleure ceux qui sont restés en vie. — Quand mes larmes cessent de couler, quand mes soupirs se taisent, mon chagrin ne se tait pas.

µµ¼­ ¹®ÇåÁ¤º¸