Suite du Répertoire du Théâtre Français: Comédies en prose I-XVIII

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Chez Mme veuve Dabo, 1823

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136 ÆäÀÌÁö - Sire, je vous en conjure, au nom de ce que vous avez de plus cher, pour le salut de la France, pour le vôtre, pour celui de ce cher enfant, oh! promettez-moi que s'il se présente jamais une pareille circonstance, et que vous ayez les moyens de vous éloigner, vous n'en laisserez pas échapper l'occasion. » Ce discours affecta le Roi profondément; sans rien...
188 ÆäÀÌÁö - ÉLISE. (Tout le rôle en petite-maîtresse.) Non, sans doute, Madame, puisque j'en jouis avec vous; mais convenez pourtant que jamais on n'a vu deux femmes se lever avant sept heures. C'est exposer inutilement sa santé.
206 ÆäÀÌÁö - Mademoiselle, le sentiment qui laisse la liberté du choix ne t'ait pas plus l'éloge de celle qui l'éprouve que du malheureux qui l'inspire. FIERVAL, à part , regardant Catherine. Cette femme a de l'originalité, je m'en occuperai. HENRI , qui l'observe. Plaît-il, Monsieur ? FIERVAL. Tais-toi.
21 ÆäÀÌÁö - Je le connais , moi. Quand je dis que je le connais , je ne l'ai jamais vu ; mais sa famille fut toujours amie de la mienne : j'ai partout entendu vanter sa valeur, ses lumières...
230 ÆäÀÌÁö - Quel est l'homme qui, dans sa vie, n'ait paseu à se reprocher le malheur d'une femme ? Quelle est la femme qui n'ait pas une fois été victime de sa sensibilité? Et l'on s'étonne qu'elles deviennent fausses, méchantes, coquettes... quelquefois pis encore!. ..Tout dépend du premier pas qu'elles font dans le monde ; trompées une fois , elles trompent à leur tour , et bientôt , entraînées par les conséquences déplorables de ce fatal égarement...
279 ÆäÀÌÁö - Partout où j'aurai le malheur d'attirer l'attention d'un homme , il n'y aura pas de demeure fixe pour moi. BONIFACE, la regardant. Hum !... s'il est ainsi , VOUS risquez de voyager long-tems. (Plus vivement,) Mais, que diable!... vous n'allez pas courir ainsi à l'aventure. Vous tenez à quelque chose dans le monde; vous arriviez de quelque part quand vous êtes venue ici; ce que vous possédez , vous l'avez hérité de quelqu'un . ou quelqu'un vous l'a donné.
296 ÆäÀÌÁö - Elise Mon cher oncle, excusez-moi, Si d'abord j'ai pu vous déplaire; A mon âge, on peut, je crois, Commettre une erreur passagère. Mais, grâce à cet heureux jour, Avant peu, j'aurai mon tour; Faire le bien, faire l'amour, C'est ce que je veux faire, A l'exemple de la fermière. VI.
19 ÆäÀÌÁö - Échec au Roi? Je vous le disais bien, Mademoiselle, Monsieur votre père se laissera vaincre. ( Feignant d'apercevoir seulement le Comte. ) Eh bien ! qu'est-ce, monsieur le Comte ? Vous quittez la partie? C'est avouer votre défaite. LE COMTE. Oui, je sais.... mais votre malaise m'a gagné. Et puis j'oubliais que voici l'heure où je dois donner une leçon.... de philosophie à ma fille, et je vais, si vous voulez bien le permettre.
74 ÆäÀÌÁö - Je n'étais pas sans espoir de réussir, quand le Duc, prenant une revanche assez légitime, s'est présenté ici sous mon nom. Ma première pensée a été de dévoiler sa feinte ; ma seconde a été de l'appuyer. Sans le savoir, il sert en effet mes projets à merveille. Le Duc vient en ces lieux, ainsi que moi, pour la jeune Comtesse. Si ses v©«ux, comme roi, sont rejetés...

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