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11.

quarumdam arborum libris. L'ufage qu'on a fait des feuilles des plantes montre affez, d'où celles de papier & de parchemin ont emprunté leur nom.

Le P. Hugue (m) a recueilli plufieurs vers de Virgile & d'Ovide, pour conftater l'ancienne coutume d'écrire fur les fleurs. Mais ils prouvent seulement, que fur quelques-unes d'entr'elles les anciens aperçurent un jeu de la nature, & qu'il leur plut d'y déchifrer des lettres, relatives à leur Mythologie. Il y a cependant aux Indes orientales des peuples, qui par la difpofition, qu'ils donnent aux fleurs d'un bouquet en font une espèce de lettre, qu'on entend auffi bien, que fi elle étoit écrite avec des caractéres moins mystérieux.

VI. En général l'ufage de graver les lettres, ou de les écrire fans liqueur, femble avoir précédé toutes les autres écritures. Il fe trouve encore des nations, qui s'en tiennent à cette ancienne manière. Les montagnards de la province de Quei-cheu en Chine (2) ont leurs caractéres particuliers. Il ne les forment point avec l'encre, mais ils fe contentent, de les graver fur des tables d'un bois fort tendre.

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Pline guidé par Varron prétend, qu'avant l'invention du papier d'Egypte les volumes de plomb étoient (0) aux actes (0) Lib. 13. cap. publics, ce que ceux de linge ou les tables de cire étoient aux actes privés : c'est-à-dire que la deftination des uns avoit pour objet les monumens, qui intéreffoient l'Etat, & que celle des autres fe bornoit aux afaires des particuliers. Une chofe néan moins embaraffe ici. Mettre des toiles en rouleau, on le con çoit fans peine : mais comment plier & déplier continuellement des lames de plomb fans les caffer, du moins à la longue? Aufli ne montre-t-on, ni dans les archives ni dans les bibliothéques, nul rouleau de ce métal chargé d'écriture, & nul auteur n'atefte bien clairement, qu'on en ait jamais vu. Au contraire on n'en manque pas, qui nous font conoitre des volumes de toile; outre que la chofe en elle-même ne foufre point de dificulté. Les actes publics auroient donc été auffi mal confervés. fur les volumes de plomb, que les actes privés étoient en fureté fur ceux de toile. Le terme de volume en ce fens n'a donc pu être employé, que par abus, dans quelques écrits des anciens.

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Quant aux livres de linge, ils étoient d'un grand usage dans l'antiquité.

SEC. PARTIE
SECT. I.

СНАР. Е.

(p) Decad. 1.1.4.

num.

la

Goth.

(r) Mart. Capel 1. 2. Claudian. bellin, bit. nat. (5) Plin. hift.nas. 1. 13. cap. 11.

de

Tantiquité. Tite-live en fait (p) fouvent mention. Il cite Licinius Macer & Tuberon, comme ayant confulté les livres des Magiftrats & les anciennes annales de Rome, qui n'avoient pour matiére que de la toile. Vopifque (q) parle de quelques 1. 31. c. ouvrages écrits fur le linge, & confervés dans une des plus (q) In Aureliacélébres bibliothèques de fon fiècle. La toile fournissoit alors à l'écrivain la même matiére, qu'elle continue d'ofrir au peintre. Celle de lin (r) y étoit particulièrement employée. Les Parthes, au lieu de fe fervir du (s) papyrus, qu'ils auroient pu trouver en abondance à Babylone, faifoient avec l'aiguille des lettres fur leurs habits. Quand on emploie tant de tems, former quelques lettres; on ne doit pas fe promettre des progrès fort rapides dans les fciences. Les livres de linge étoient apellés (1) lintei, (u) carbafini. A Athènes on écrivoit fur le voile (x) de Minerve les noms de ceux, qui avoient été tués en combatant vaillamment pour la patrie. Les Indiens au raport de Philoftrate, dans fa vie d'Apollonius de Thyane, écrivoient fur des étofes, qu'il nomme fyndones. Symmaque, (y) après avoir dit deux mots des écrits fur le linge, rend témoignage à la coutume ancienne, & qui de fon tems étoit encore en vigueur, de faire transcrire fur des volumes de foie les pièces qu'on vouloit conferver précieusement, & pour lefquelles on avoit conçu la plus haute eftime. Si la chofe étoit fufceptible de quelque dificulté ; les thèses imprimées de nos jours fur le fatin, fufiroient, pour la faire difparoitre.

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(1) Tit. Liv. paffim. Plin. fupra. bello Gothic (x) Suidas. (y) Lib. 4. Epist.

34.

(u) Claudian.de &c.

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I.

Tablettes enduites de cire & d'autres matiéres.

"L

fi

Actes publics fur des tables de bois, enduites de cire ou de plâtre. Taconfervées jufqu'à

communément

blettes de cire,

'Ufage des tables de bois dans les actes publics eft bien atesté par les loix & les auteurs; qu'il feroit inutile de fe mettre en frais, pour apuyer un fait, dont la vérité eft au deffus de tout doute. La plupart de ces tables étant enduites de cire; il ne faloit qu'un style, pour y tracer des caractéres. A Paris la Bibliothèque du Roi, l'Abbaie de Saint présent. Germain des Prés, celle de Saint Victor & le Couvent des Tome I.

Mmm

SEC. PARTIE.
SECT. I.

CHAP. II.

(a) Lettera critica fopra un manuscritto in cera pag. 23. & 3.

Carmes Déchauffés poffèdent des tablettes ainfi écrites. Mais
elles ne font
d'un age
pas age fort reculé. Il fe trouve auffi, dans
le Tréfor royal des chartes, des tables de bois enduites de cire,
du commencement du XIV. fiècle ou environ. Aron-
dies par le haut, réuniffant la forme & la réalité d'un regître,
elles renferment le détail des charges ou dettes de l'Etat
les paimens des Oficiers, les dépenfes de la Cour, les aumô-
nes du Roi &c. Les pages de ces fortes de tablettes font quel-
quefois au nombre de plus de vingt. Des bandes de parche-
min, collées ensemble par le dos des feuillets, en font des
livres affez proprement reliés. On ne voit écrit fur celles du
Tréfor des chartes, que le recto des feuillets, dont la moitié
fupérieure demeure fans écriture. Celles de faint Germain
forment un caré oblong. Elles font écrites à l'ordinaire des
deux côtés, excepté la première & la dernière page, qui fer-

vent de couverture..

Les tablettes des RR. PP. Carmes portent les mêmes caractéres : mais elles font plus dans la forme des livres ordinaires, ainfi que celles de S. Victor. Ces dernières renferment les dépenfes faites par Philippe le Bel, pendant une partie de (1) fes voyages de 1301. Celle des la Bibliothèque du Roi

(1) Antoine Cocchi favant Médecin dItalic a publié à Florence en 1746. une lettre critique fur des tablettes femblables, & qui apartiennent à la même aunée 1301. Elles roulent fur les dépenfes, faites par Philippe le Bel & la Reine de Navarre fon époufe, durant leur voyage de Flandre. Elles commençent le 28. Avril, & finiffent le 28. Octobre. Pendant cet intervalle le Roi & fa Cour voyagèrent de plus en Picardie, en Normandie, dans P'Orléanois, la Touraine, le Maine, le Perche, 'I'Ile de France. Les tablettes de S. Victor continuent celles d'Italie. Par tour elles préfentent le même ordre & les mêmes articles. Il n'y a entr'elles nulle interruption. Les premières commencent le 29. Octobre 1301. & ne font terminées, qu'au dernier jour de Mars de l'an 1302. auquel on ne comptoir que

1301..

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Quant aux tablettes gardées à Florence, M. Cocchi (a) obferve, qu'elles font écrites de la main de Jean de S. Juft, en

caractéres très menus, avec des traits & des abréviations, qui en rendent la lecture extrèmement dificile: mais quand il ajoute, que c'est là cette petite écriture, apellée par les antiquaires Francogallique ; il ne paroit pas affez au fait de la matiére. Par Francogallique, les Savans entendent l'écriture Mérovingienne, très-diférente de celle des tablettes de Philippe le Bel.

Il faut pardoner à l'auteur d'avoir làpag. 30. in Lagio, pour in Logio, pag.32. Cenomonum pour Cenomanum, & plufieurs autres mécomptes, que nous ne nous amuferons pas à relever ; & dont quelques-uns ne font peutêtre, que des fautes d'impreffion, mais qu'on n'a pas eu foin de coriger par un errata.

Les mêmes tablettes, remarque M. Cocchi, furent lues & examinées à Piftoia par D. Mabillon en 1686. » San» Museum Italicum pag. 192. (lifez 190.) » porte, qu'elles renferment les dépen» fes journaliéres du Roi de France, dans "fon Voyage de Paris en Flandre › par

כל

roulent fur le même fujet, & font à peu près du genre SEC. PARTIE.

& du caractère des précédentes, ainsi que celles de Saint Germain des Prés. Tout ce qu'on peut tirer de plus curieux de ces monumens, ce font les voyages de quelques-uns

la vérité & de la fauffeté de leurs chartes,
ordonances & lettres, qu'on trouve ré-
pandues dans tant d'archives. Ne négli
geons donc pas au moins les Itinéraires
de Philippe le Bel, qui nous ont été con-
fervés fur des tablettes de cire. Nous pou-
vons fournir l'année 1301. prefque entié→
re; pourvu qu'on l'envifage, comme on
faifoit alors, d'une Pâque à l'autre.

Itinéraire de Philippe le Bel en 1301.
& 13.02.

Aniéres, Pontoise, Orcam, Saint Quenstin, Bapaume, Lille, Courtrai; & » de la Flandre en Touraine & autres pro»vinces du Royaume. Ces tablettes, continue le favant Bénédictin, commen» cent après l'an 1300. C'est pourquoi nous eftimons, qu'elles doivent être » raportées à Philippe IV. quoique le » nom du Roi n'y foit point exprimé. » Du refte elles ne contiennent rien, qui » mérite d'être remarqué, finon les noms » des militaires ou Gentilshommes de la » fuite du Roi. » Il n'étoit pas poffible, de donner en moins de paroles, un abrégé plus exact & plus jufte de ces tablettes. Cependant M. Cocchi le traite de fuperficiel. A l'entendre D. Mabillon n'a pas fu leur age précis. Comme s'il ne les faifoit pas commencer précisément après l'an 1300. qui ne dût finir qu'à Pâque, & comme fi notre auteur ne les fixoit pas lui-même à l'an 1301. date aifée à vérifier par les jours de la femaine, auxquels tombent plufieurs fêtes & vigiles de cette année. Mais ce qui a déplu fans doute à M. Cocchi; c'eft que D. Mabillon n'ait pas affez exalté les tablettes, que ce docte Italien a jugé dignes de fon aplication. Cela ne nous empêchera pas, de rendre justice au courage & au fuccès du Médecin antiquaire. Son travail feroit pourtant encore plus eftimable; fi au lieu de mettre au jour ces tablettes par extraits: il les eût publiées dans toute leur étendue, & fans en rien retrancher. Comme elles font l'unique objet de fa Lettre ou Dif-Reine mange à Aftene; deux jours : le 22. fertation; rien ne le forçoit, à nous en donner le texte par lambeaux, & avec des lacunes purement arbitraires. Ce qui femble peu utile aux uns, le paroit fouvent beaucoup à d'autres parcequ'ils n'envifagent pas les chofes fous le même point de vue.

Si l'on pouvoit donner un catalogue exact des divers voyages & féjours de nos Rois; rien ne feroit plus propre, pour faire juger avec une pleine affurance de

Les tablettes d'Italie & de l'Abbaie de S. Victor de Paris renferment les voyages & les féjours du Roi, depuis le 28. Avril 1301. jufqu'au 31. Mars 1302. Quoique la Reine acompagne le Roi, & que les tablettes faffent mention de fa préfence & de fon abfence; pour abréger nous pafferons ordinairement ce détail. Nous marquerons les noms des lieux, tels qu'ils font dans l'original, ou qu'on les a pu lire: lorfque nous aurons quelque fujet de douter, s'ils ont été bien lus. M. Cocchi fait féjourner Philippe le Bel3.jours à Aniéres, à commencer le 28.Avril. Le Roi se trouve le 1. Mai à S. Chriftophle en Halate, & la Reine au Pont Sainte Maxence, où ils paffent trois jours. De-là ils vont le 4. à Vorberic, où ils font un féjour égal. Ils font le 7. à Choifi: le 8. à Orcam: le 9. à Freniche: le 10. au Mont S. Quentin, où ils demeurent deux jours: le 12. à Bapaume: le 13. à Douai ; 3. jours : le 16. à Lille; deux jours: le 18. à Tournai :: le 19. à Courtrai: le 20. à Pétegem : la

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à Gand; fix jours: le 28. à Ardembourg:
le 29. à Bruges; 6. jours le 4. Juin à
Winedale; 9. jours le 13. à Ypres; 3.
jours le 16. à Arquinghen: le 17. à
Bétune: le 18. à Perne: le 19. à Hédin ;
2. jours: le 21. à Luchen; 2. jours : le 23.
en marche : le 24. à Poix; 2. jours: le 25.
à l'Abbaie de Baubec: le 26. à Fromeries:
le 27. à Bellofanne:le 28. le Roi se trouve
en un lieu, que M. Cocchi rend Foi. La
Coury féjourne 3. j. C'eft aparamment

SECT. 1.
CHAP. II.

SEC. PARTIE.

SECT. I.
СНАР. ІІ.

de nos Rois, les villes où ils ont féjourné, & par où ils ont paffe; leurs aumônes, les noms & les dignités de plufieurs de leurs. Oficiers & de divers Seigneurs, le prix des denrées & la valeur de l'argent, eftimée fur celle des chofes les plus néceffaires à la

:

:

bloit faire fes routes en chaffant. Le 3 1. à Megné ou Maigné. Les tablettes, felon l'éditeur, n'ofrent ici que le mot Mug. Le 1. Septembre le nom du lieu n'eft point marqué fur les tablettes. Le féjour y fut continué pendant 2. jours. Le 3. le Roi fa trouve à Beaugé, qu'on écrit Vang: le 4à la Fléche: le s. à la Fontaine S. Martin ; 6. jours le 11. à la Suze; 2. jours le 13. au Gué de Mauni ; tandis que la Reine va au Mans: le 14. le Roi fe trouve à un lieu, que les tablettes apellent Montem colam. C'eft Mont-colin. La Reine alla loger à Bonnétable ; 2 jours le 16, le Roi fe rend à Bellême: le 17. à Mauve : le 18. à Chênebrun: le 19. à Breteuil; 2. jours: le 21. à Avrilli: le z2. à Paci; 2. jours le 24. à Vernon: le 25. à Tourni: le 26. à Neufmarché; 6. jours: le z. Oc tobre à Neaufle: le 3. à Longueffe: le 4. à S. G. que M. Cocchi croir avec raifon

la Feuillée dans la forêt de Lions. Le
1. Juillet Philippe le Bel arive à Neu-
marché ; 2. jours. Il va le 3. à Vaumain.
La Reine mange à Gifors.Le 4. le Roi eft à
Maineville: le s. à Longchamp : le 6. à
Neaufle; 2. j. Ce doit être Neaufle proche
Gifors.Leg.il paffe leDimanche en un lieu,
que les tablertes apellent Vinolinum. C'est
peutêtre Vigni ou Vigneul. La terminaifon
latine demanderoit Vineul ou Vigneul.
Mais nous ne trouvons point de lieu de ce
nom dans cette contrée. Villen le Roi &
VillenS.Martin, qu'on y rencontre,ne pou-
roient-ils pas être rendus par Vinolinum?
Lero.le Roi va loger à Poiffi; 4. jours : le
14. il fe rend à Chilli : le 15. à l'Hôpital
proche Corbeil; 2. jours: le 17. à l'Ab-
baie du Lis auprès de Melun le 18. à
Fontainebleau: le 19. à Nemours : le 20.
à Paucour le 21. à une Abbaïe proche
Montargis, que M. Cocchi écrit Mol 2.
jours. Il y a quelques lieux apellés le Mou-être S. Germain en Laie: le s. à S. De-
lin entre Lorris & Montargis. Le 23. à
Lorris: le 24. à Chateauneuf; 3. jours: le
27. à Neuville en Loge ou aux Loges; 4.
jours. La Reine féjourne à Orléans pen-
dant fix jours. M. Cocchi a mis huit par
erreur. Elle ne fe réunit que le 2. Août
avec le Roi à l'Eglife de Citeaux, où ils
furent trois jours. Le Roi étoit à Buxeau
le 31. de Juillet & le 1. d'Août à Beau-
genci: le 2. à l'Abbaïe de Citeaux : lè s.à
Sarmoife: le 6. à Blois; 3. jours: le 9.
aux Monthis: le ro. à Mont-richard: le
11. à Villeloin : le 12. à Loches; 8.
jours le 20. à Villeloin; 2. jours :
le 23. à Bleré le 24. à Marmoutiers ; 2.
jours le 26. à Maillé. Il y a le 25. dans
M. Cocchi par faute d'impreffion. Le 27.
à Rillé le 28. le texte porte, apud Mon-
tem homin. felon M. Cocchi; 3. jours :
Nous n'avons trouvé dans ce canton qu'-
Hommes, qui ait raport au Latin: mais il
faudroit que le Roi fût prefque revenu
fur fes pas. Ce qui n'eft pas abfolument
impoffible. Car quelquefois il ne faifoit
que voltiger: & pour l'ordinaire il fem-

:

nis: le 6. à Vincennes: le. 10. à Aniéres : le 13. à... Il y a ici une lacune: le 14. à S.Chriftofle, & la Reine va réfider à Senlis, quoique M. Cocchi ne life que Sivas. S. Chriftofle est une Abbaïe dans la forêt de Halate, où le Roi étoit demeuré; fans doute pour chaffer, pendant quelques jours. Dans de pareilles circonftances la Reine fe retiroit toujours dans une ville du voisinage. Le favant Italien fait continuer le féjour à Sivas pendant cinq jours. Il faloit feulement faire durer l'ab fence du Roi pendant ce tems. Le 20. il le fait aler, ainfi que la Reine, à Silvas : c'eft toujours Senlis mal lû, où le Roi vint rejoindre la Reine. Ils y demeurèrent jus qu'au 28. fuivant les tablettes de Florence.

Mais celles de S. Victor de Paris, qui commencent le 29. font durer le féjour de Senlis Sylvanečtum, jufqu'au 6. de Novembre. Il part pour Bethyfi ou quel que autre lieu, marqué dans le texte par Beftis. ou Reftir. Le féjour y dure 3. jours Le 10. à Pierrefons; 5. jours: le 15. à la Croix S. Ouen ou S. Oyan; 2. jours : le:

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