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" Ne vous inquiétez plus , leur dis-je , de la guérifon du malade ; je me flatte de remplir fon rôle à la fatisfaction de tout le monde , & même il peut mourir fi cela lui fait plaifir , je vous promets que perfonne n'y trouvera à redire. Je me mis... "
Mercure de France au dix-neuvième siècle - 161 ÆäÀÌÁö
1787
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L'Esprit des journaux françois et étrangers, 11-12±Ç

1787 - 880 ÆäÀÌÁö
...plus , leur dis- je , de la guérifon du malade ; je me Hatte de remplir fon rôle n la fatisfattion de tout le monde, & même il peut mourir fi cela lui t'ait plaifir , je vous promets que perlbnne n'y trouvera à redire. Je me mis donc à déclamer devant...
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L'Esprit des journaux, françois et étrangers, 12È£

1787 - 446 ÆäÀÌÁö
...camarades, qui n'é_toient plus mes maîtres, de l'étonnante revolution qui s'étoit opérée eu moi. Ne .vous inquiétez plus, leur dis-je, de la guérifon...que perfonne n'y trouvera à redire. Je me mis donc h déclamer devant eux ; je marchai à grands pas ; je tis un tapage du diable , je gefticulai comme...
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L'Esprit des journaux, françois et étrangers, 12±Ç

1787 - 442 ÆäÀÌÁö
...qui n'étoient plus mes maîtres, de l'étonnante révolution qui s'étoit opérée en moi. Ne YOUS inquiétez plus, leur dis-je, de la guérifon du malade...tout le monde, & même il peut mourir fi cela lui faitplaifir, je vous promets que perfonne n'y trouvera à redire. Je me mis donc à déclamer devant...
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