Théâtre de P. Corneille, avec les commentaires de Voltaire, 11±ÇChes Bossange, Masson et Besson, 1797 |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
43°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
11 ÆäÀÌÁö
... hymen les prendre pour arbitres , Eux qui n'ont de leur trône ici que de vains titres , que vous ne laissez au nombre des vivans , Et Que pour traîner par - tout deux rois pour vos suivans ? AT TIL A. J'en puis résoudre seul , Octar ...
... hymen les prendre pour arbitres , Eux qui n'ont de leur trône ici que de vains titres , que vous ne laissez au nombre des vivans , Et Que pour traîner par - tout deux rois pour vos suivans ? AT TIL A. J'en puis résoudre seul , Octar ...
13 ÆäÀÌÁö
... hymen offert ont accepté les n©«uds Des princesses qu'ensuite elles en font le gage , L'une sera ma femme , et l'autre mon otage . Si j'offense par là l'un des deux souverains , Il craindra pour sa s©«ur qui reste entre mes mains . Ainsi ...
... hymen offert ont accepté les n©«uds Des princesses qu'ensuite elles en font le gage , L'une sera ma femme , et l'autre mon otage . Si j'offense par là l'un des deux souverains , Il craindra pour sa s©«ur qui reste entre mes mains . Ainsi ...
14 ÆäÀÌÁö
... hymen éviter ma fureur . La paix avec tous deux en même - tems traitée , Se trouve avec tous deux à ce prix arrêtée ; Et presque sur les pas de mes ambassadeurs Les leurs m'ont amené deux princesses leurs s©«urs . Le choix m'en ...
... hymen éviter ma fureur . La paix avec tous deux en même - tems traitée , Se trouve avec tous deux à ce prix arrêtée ; Et presque sur les pas de mes ambassadeurs Les leurs m'ont amené deux princesses leurs s©«urs . Le choix m'en ...
23 ÆäÀÌÁö
... hymen Honorie et ses droits . Ne vous opposez plus aux grandeurs d'Ildione , Souffrez en ma faveur qu'elle monte à ce trône ; Et si jamais pour vous je puis en faire autant ......... ARDARI C. Vous le pouvez , seigneur , et dès ce même ...
... hymen Honorie et ses droits . Ne vous opposez plus aux grandeurs d'Ildione , Souffrez en ma faveur qu'elle monte à ce trône ; Et si jamais pour vous je puis en faire autant ......... ARDARI C. Vous le pouvez , seigneur , et dès ce même ...
28 ÆäÀÌÁö
... hymen pourroit être , et sa perte , et la mienne , Mais je veux qu'Attila , pressé d'un autre amour , Endure telle insulte au milieu de sa cour . Ildione par là me verroit à sa suite ; A de honteux respects je m'y verrois réduite ; Et ...
... hymen pourroit être , et sa perte , et la mienne , Mais je veux qu'Attila , pressé d'un autre amour , Endure telle insulte au milieu de sa cour . Ildione par là me verroit à sa suite ; A de honteux respects je m'y verrois réduite ; Et ...
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
acte Adieu Aëtius aime ALBI amant amour ANTIOCH ANTIOCH U Antiochus ARDA ARDARI ARDARIC ARSA Arsace Aspar assez ATTI Attila auroit avoit BERE Bérénice charme choix ciel c©«ur Corbulon Corneille courroux cruel digne dire DOMITIAN Domitie douleur doux empereur étoit flâme FLAVIA FLAVIAN Flavie foiblesse frère fureur gloire grace haine Hélas heureux HONORI hymen ILDI Ildione IREN j'ai j'aime j'aurois j'en jaloux jamais jour JUSTINE l'aime l'ame l'amour l'empereur l'empire l'hymen l'univers laisse Léon long-tems m'aime m'en madame main maître malheur MARTIA MARTIAN mérite Mérouée moi-même n'en n'ose Néron NICE OCTA OCTAR parler Paulin Phénice plaire PLAUT PLAUTINE pleurs pourroit prince princesse PULCH É RI PULCHÉRI qu'à qu'un Racine rang reine rien rival rois Romains Rome s'il sais sang SCENE seigneur sénat sentimens seroit seul soins souffrir soupirs SPA R tems tendresse Théodose TITE TITU Titus tragédie trône Valamir veut veux v©«ux vois vous-même yeux
Àαâ Àο뱸
136 ÆäÀÌÁö - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
103 ÆäÀÌÁö - La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. Mais toutes ces règles sont d'un long détail, dont je ne leur conseille pas de s'embarrasser : ils ont des occupations plus importantes. Qu'ils se reposent sur nous de la fatigue d'éclaircir les difficultés de la poétique d'Aristote ; qu'ils se réservent le plaisir de pleurer et d'être attendris...
139 ÆäÀÌÁö - N'at-il que des états qu'il me puisse donner? Depuis quand croyez- vous que ma grandeur me touche? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un c©«ur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien': Tous vos moments sont-ils dévoués à l'empire?
130 ÆäÀÌÁö - Elle a mille vertus ; mais, seigneur, elle est reine. Rome, par une loi qui ne se peut changer, N'admet avec son sang aucun sang étranger Et ne reconnaît point les fruits illégitimes Qui naissent d'un hymen contraire à ses maximes.
124 ÆäÀÌÁö - Et ces lauriers encor témoins de sa victoire; Tous ces yeux qu'on voyoit venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence.... Ciel!
135 ÆäÀÌÁö - Bérénice me plut. Que ne fait point un c©«ur Pour plaire à ce qu'il aime , et gagner son vainqueur? Je prodiguai mon sang : tout fit place à mes armes : Je revins triomphant. Mais le sang et les larmes Ne me suffisaient pas pour mériter ses v©«ux : J'entrepris le bonheur de mille malheureux. On vit de toutes parts mes bontés se répandre ; Heureux , et plus...
169 ÆäÀÌÁö - Ah, seigneur ! songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous , Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ; Que le jour recommence, et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que, de tout le jour, je puisse voir Titus...
186 ÆäÀÌÁö - L'empire incompatible avec votre hyménée ; Me dit qu'après l'éclat et les pas que j'ai faits , Je dois vous épouser encor moins que jamais. Oui , madame , et je dois moins encore vous dire Que je suis prêt pour vous d'abandonner l'empire ; De vous suivre , et d'aller , trop content de mes fers, Spupirer avec vous au bout de l'univers.
294 ÆäÀÌÁö - Quoi ! des plus chères mains craignant les trahisons, J'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons, J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie.
184 ÆäÀÌÁö - Ah cruel ! par pitié montrez-moi moins d'amour. Ne me rappelez point une trop chère idée , Et laissez-moi du moins partir persuadée Que déjà de votre ame exilée en secret, J'abandonne un ingrat qui me perd sans regret.