Lycée, ou, Cours de littérature ancienne et moderne, 6±Ç |
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11 ÆäÀÌÁö
... fureur envoie aux deux bouts de la Terre . Attaquons dans leurs murs ces conquérans si fiers ; Qu'ils tremblent à leur tour pour leurs propres foyers . Annibal l'a prédit , croyons - en ce grand - homme : Jamais on ne vainera les ...
... fureur envoie aux deux bouts de la Terre . Attaquons dans leurs murs ces conquérans si fiers ; Qu'ils tremblent à leur tour pour leurs propres foyers . Annibal l'a prédit , croyons - en ce grand - homme : Jamais on ne vainera les ...
40 ÆäÀÌÁö
... fureur livrée en ce moment , Vous iriez à l'autel me chercher vainement ; Et d'un fer imprévu vous tomberiez frappée , En accusant mon nom qui vous aurait trompée ! Il faut , de ce péril , de cette trahison , Aux yeux de tous les Grecs ...
... fureur livrée en ce moment , Vous iriez à l'autel me chercher vainement ; Et d'un fer imprévu vous tomberiez frappée , En accusant mon nom qui vous aurait trompée ! Il faut , de ce péril , de cette trahison , Aux yeux de tous les Grecs ...
56 ÆäÀÌÁö
... fureur qu'après qu'elle a perdu tout espoir . Aussi perd - elle en même tems tout ménagement , et finit par se jeter sur sa fille comme une forcenée , et l'entraîne avec elle hors le spec- du théâtre . Cette marche me paraît en tout ...
... fureur qu'après qu'elle a perdu tout espoir . Aussi perd - elle en même tems tout ménagement , et finit par se jeter sur sa fille comme une forcenée , et l'entraîne avec elle hors le spec- du théâtre . Cette marche me paraît en tout ...
59 ÆäÀÌÁö
... fureur sourde et interne , pleins d'une ironie amere et sanglante : Vous ne démentez point une race funeste ; Oui , vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste . Bourreau de votre fille , il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mere un ...
... fureur sourde et interne , pleins d'une ironie amere et sanglante : Vous ne démentez point une race funeste ; Oui , vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste . Bourreau de votre fille , il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mere un ...
69 ÆäÀÌÁö
... fureur , Et toujours détournant ma vue avec horreur . Je le vis son aspect n'avait rien de farouche . Je sentis le reproche expirer dans ma bouche . Je sentis contre moi mon c©«ur se déclarer ; J'oubliai ma colere et ne sus que pleurer ...
... fureur , Et toujours détournant ma vue avec horreur . Je le vis son aspect n'avait rien de farouche . Je sentis le reproche expirer dans ma bouche . Je sentis contre moi mon c©«ur se déclarer ; J'oubliai ma colere et ne sus que pleurer ...
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Abner Absalon Achille Agamemnon aime Alceste amour Aricie Arnolphe assez Assuérus Athalie beautés Calchas caractere chose cinquieme acte Clytemnestre c©«ur comédie comique comte d'Essex Corneille Cours de littér crime d'Athalie d'Ériphile d'Hippolyte d'Iphigénie David dénoûment dessein Dieu dieux dire doit dramatique ennemis Euripide eût excuse faiblesse femme fille fils fureur genre gloire Grecs héros Hippolyte homme Horace Iphigénie j'ai jalousie jamais Joad Joas Josabeth l'amour l'auteur l'École des Femmes Ladislas larmes long-tems Madame main malheur maniere Manlius Mardochée Mathan Ménélas mérite mieux Misanthrope Mithridate m©«urs Moliere Monime mort Orgon ouvrage paraît parler passion pere personnages peuple Phedre piece Plaute pleurs poëte premiere prince princesse qu'un Racine raison reine reproche ridicule rien rire rois rôle sais sang scene Seigneur Séneque sentimens sentiment Servilius seul situation sort spectateur style sujet Sychée talent Tartuffe temple tems théâtral théâtre Thésée Thomas Corneille tragédie Tybérinus vengeance vérité veut Viriate Voltaire vrai Xipharès yeux دو