¨«uvres de Molière: Le mariage forcé, comédie. Les plaisirs de l'île enchantée, La princesse d'Elide. Le TArtuffe ou L'imposteur, comédie |
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acte acteurs AGLANTE ALCANTOR ALCIDAS Alcine âme amour ARBATE assez avoit ballet beau bigots chante chevaliers chose Ciel CLÉANTE c©«ur comédie comédiens DAMIS danse debout Dépit amoureux dessein dévotion dire divertissements donner Dorimène DORINE doute éditions ÉGYPTIENNE ELMIRE entrée entrées de ballet étoient étoit EURYALE femme fêtes fille frère gens GÉRONIMO Grange homme Ibidem intermède j'ai jouer jour l'édition de 1734 l'édition originale l'hypocrisie l'Ile enchantée Lettre livret Louis XIV Lully Lyciscas MADAME PERNELLE Majesté manuscrit Pbilidor Mariage forcé MARPHURIUS Messène Mlle Molière monde Monsieur MONSIEUR LOYAL MORON musique note Notice ORGON PANCRACE Panulphe parler pensée père personnage personne Philidor PHILIS pièce placet plaisir Plaisirs de l'Ile Port-Royal premier prince d'Ithaque Princesse d'Élide raison Reine représentation ridicule rien rôle Satyre scène Seigneur semble sentiments seroit seul SGANARELLE sieur sorte suivant Tartuffe théâtre Thorillière Tircis troupe trouve VALÈRE valet Versailles veux voyez ci-après Voyez ci-dessus
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469 ÆäÀÌÁö - Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable, Un malheureux pécheur, tout plein d'iniquité, Le plus grand scélérat qui jamais ait été. Chaque instant de ma vie est chargé de souillures...
409 ÆäÀÌÁö - II passa dans sa chambre au sortir de la table; Et dans son lit bien chaud il se mit tout soudain, Où, sans trouble, il dormit jusques au lendemain.
374 ÆäÀÌÁö - C'est une grande atteinte aux vices que de les exposer à la risée de tout le monde. On souffre aisément des répréhensions, mais on ne souffre point la raillerie. On veut bien être méchant, mais on ne veut point être ridicule.
413 ÆäÀÌÁö - II m'enseigne à n'avoir affection pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela.
417 ÆäÀÌÁö - Hé quoi? vous ne ferez nulle distinction Entre l'hypocrisie et la dévotion? Vous les voulez traiter d'un semblable langage...
418 ÆäÀÌÁö - Aussi ne vois-je rien qui soit plus odieux Que le dehors plâtré d'un zèle spécieux, Que ces francs charlatans, que ces dévots de place, De qui la sacrilège et trompeuse grimace Abuse impunément et se joue à leur gré...
417 ÆäÀÌÁö - Les hommes la plupart sont étrangement faits ! Dans la juste nature on ne les voit jamais: La raison a pour eux des bornes trop petites; En chaque caractère ils passent ses limites, Et la plus noble chose, ils la gâtent souvent Pour la vouloir outrer et pousser trop avant.
416 ÆäÀÌÁö - Voilà de vos pareils le discours ordinaire. Ils veulent que chacun soit aveugle comme eux ; C'est être libertin que d'avoir de bons yeux, Et qui n'adore pas de vaines simagrées N'a ni respect ni foi pour les choses sacrées.
420 ÆäÀÌÁö - Et leur âme est portée à juger bien d'autrui; Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre; On les voit pour tous soins, se mêler de bien vivre. Jamais contre un pécheur ils n'ont d'acharnement, Ils attachent leur haine au péché seulement, Et ne veulent point prendre, avec un zèle extrême, Les intérêts du Ciel, plus qu'il ne veut lui-même.
418 ÆäÀÌÁö - Ces gens, qui par une âme à l'intérêt soumise, Font de dévotion métier et marchandise, Et veulent acheter crédit et dignités, A prix de faux clins d'yeux, et...