¨«uvres, avec notes par m. de Levizac, 2±Ç1804 |
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50 ÆäÀÌÁö
... à sa naissance , Vous les verriez toujours à ses ordres soumis : L'un jaloux de sa foi , va chez les ennemis Chercher , avec la mort , la peine toute prête ; D'un fils victorieux l'autre proscrit la tête ; L'autre , 50 BERENICE ,
... à sa naissance , Vous les verriez toujours à ses ordres soumis : L'un jaloux de sa foi , va chez les ennemis Chercher , avec la mort , la peine toute prête ; D'un fils victorieux l'autre proscrit la tête ; L'autre , 50 BERENICE ,
51 ÆäÀÌÁö
Jean Racine Jean Pons V. Lecoutz de Lévizac. D'un fils victorieux l'autre proscrit la tête ; L'autre , avec des yeux secs et presque indifférens , Voit mourir ses deux fils par son ordre expirans . Malheureux ! Mais toujours la patrie et ...
Jean Racine Jean Pons V. Lecoutz de Lévizac. D'un fils victorieux l'autre proscrit la tête ; L'autre , avec des yeux secs et presque indifférens , Voit mourir ses deux fils par son ordre expirans . Malheureux ! Mais toujours la patrie et ...
71 ÆäÀÌÁö
... fils de cet Ibrahim , et par conséquent neveu de Bajazet . Les particularités de la mort de Bajazet ne sont er- core dans aucune histoire imprimée . M. le comte de Cézy étoit ambassadeur à Constantinople lorsque cette aventure tragique ...
... fils de cet Ibrahim , et par conséquent neveu de Bajazet . Les particularités de la mort de Bajazet ne sont er- core dans aucune histoire imprimée . M. le comte de Cézy étoit ambassadeur à Constantinople lorsque cette aventure tragique ...
78 ÆäÀÌÁö
... fils , prit le nom de Sultane . ACOMAT . Il a fait plus pour elle , Osmin : il a voulu Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu . Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l ...
... fils , prit le nom de Sultane . ACOMAT . Il a fait plus pour elle , Osmin : il a voulu Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu . Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l ...
79 ÆäÀÌÁö
... fils naissant eût rassuré l'état , N'osoit sacrifier ce frère à sa vengeance , Ni du sang ottoman proscrire l'espérance . Ainsi donc pour un temps Arurat désarmé Laissa dans le serrail Bajazet enfermé . Il partit , et voulut que ...
... fils naissant eût rassuré l'état , N'osoit sacrifier ce frère à sa vengeance , Ni du sang ottoman proscrire l'espérance . Ainsi donc pour un temps Arurat désarmé Laissa dans le serrail Bajazet enfermé . Il partit , et voulut que ...
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ACHILLE ACOMAT ACTE ¨¡GINE AGAMEMNON aime Allez amant âme amour Amurat ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE assez ATALIDE avoit Bajazet Bérénice cacher Calchas CENONE cher chercher CLYTEMNESTRE c©«ur connois courroux crime cruel dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE esclave étoit expirer falloit fatal fille fils flamme foible foiblesse funeste fureur gloire Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen Ibid IPHIGÉNIE ISMENE j'ai jamais jour juste l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels Mycène Oh ciel OSMIN PANOPE parler paroître PAULIN pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHEDRE Phénice PHODIME pleurs pouvoit prince prompt puis-je Racine reine rien rival Romains Rome ROXANE sais sang SCENE secret seigneur sentimens serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THERAMENE Thésée Titus tragédie trépas Trézène triste trouble ULYSSE vais venger veux v©«ux vois vous-même XIPHARES yeux Zaïre ZATIME
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347 ÆäÀÌÁö - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
6 ÆäÀÌÁö - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
356 ÆäÀÌÁö - Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
321 ÆäÀÌÁö - Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
5 ÆäÀÌÁö - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
270 ÆäÀÌÁö - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigne
327 ÆäÀÌÁö - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
311 ÆäÀÌÁö - Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable. Je péris la dernière et la plus misérable.
235 ÆäÀÌÁö - L'honneur parle , il suffit; ce sont là nos oracles. Les dieux sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais , seigneur , notre gloire est dans nos propres mains.
347 ÆäÀÌÁö - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste c©«ur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...