tion, & j'en ai vérifié à mesure tous les calculs. Je devois ce foin à l'amitié dont l'Auteur m'honoroit, & à la confiance qu'il m'a témoignée particuliérement au fujet de cet Ouvrage. TABLE. Divers moyens de mesurer la Lumiere; avec plufieurs applications de ces moyens. PREMIERE SECTION. I Moyens de trouver le rapport qu'il y a entre les forces de deux différentes Lumieres. 3 ARTICLE I. Ufages des Bougies ou Lampes pour mefurer la Lumiere. ibid. Usages des Verres & Miroirs ardents pour mefurer la lumiere. 6 ART. II. Détail des précautions qu'il faut prendre pour comparer deux lumieres. 8 ART. III. Moyen de tirer d'un feul flambeau ou d'une feule bougie, dans plufieurs expériences, les lumieres qu'on doit comparer. 16 Seconde difpofition de la bougie, lorfqu'on veut rendre la 19. lumiere fort oblique. Déterminer combien la lumiere s'affoiblit en traverfant un corps diaphane. 21 ART. IV. Second moyen de tirer d'un feul flambeau ou d'une feule bougie, les lumieres qu'on doit comparer. 22 ART. V. Réfoudre la plupart des problêmes précédents, en introduifant quelque partie de la lumiere du jour dans une chambre obfcure. 27 ART. VI. Construction d'un Lucimetre, ou inftrument propre à mesurer la force de la lumiere, lequel jouit de plufieurs propriétés de la chambre obfcure. ART. VII. Second moyen de fe fervir des verres lenticulaires Defcription d'un autre Inftrument pour mefurer la lumiere. 31 ou des 35 ibid. 37 ART. VIII. Qu'en fe fervant des Inftruments représentés dans les figures b 10 & 11, on mesure immédiatement l'intensité de la lumiere, & ART. IX. Comparaifon des moyens précédents de mefurer la lumiere, folution de plufieurs problêmes d'Optique. ART. I. Observations faites pour déterminer quelle force il faut qu'ait une lumiere, pour qu'elle en faffe difparoître une autre plus foible. 51 ART. III. Obfervations fur la tranfparence du verre & de la glace. ART. IV. Expériences fur la tranfparence de l'Eau de mer. ART. V. Observations faites fur la lumiere réfléchie par les furfaces ART. VI. Obfervations fur la quantité de lumiere que nous réfléchit chaque ART. VIII. Trouver combien la lumiere du Soleil eft plus forte que celle que nous renvoye une grande portion du ciel visible, ou combien elle eft plus forte que l'ombre des corps expofés au grand jour. 75 ART. IX. Trouver combien la lumiere des aftres augmente ou diminue par les changements de leurs hauteurs au-deffus de l'horizon. ART. X. Ufage des obfervations précédentes, pour découvrir la tranfpa- LIVRE SECON D. Recherches fur la quantité de Lumiere que réfléchiffent les furfaces tant polies que brutes. Page 97 Remarques fur la réflection que cauferoient des furfaces infiniment polies qui n'éteindroient aucun rayon. ART. I. Du foyer virtuel par réflection des furfaces planes, & de l'intenfité de la lumiere qu'elles renvoyent. 98 99 ART. II. Du foyer virtuel par réflection des lignes courbes. 100 Réfléxion fur l'incertitude de certaines obfervations aftronomiques. 103 ART. IV. De la force qu'a la lumiere réfléchie par une furface fphérique convexe infiniment polie. 105 ART. V. Que la lumiere réfléchie de toutes parts par le globe, eft exactement de même force, lorfqu'on la reçoit à une très-grande distance, & que le point lumineux eft auffi très-éloigné du globe. 107 ART. VI. De la quantité de lumiere réfléchie par les furfaces, fur lefquelles de petits hemifpheres parfaitement polis, tiendroient lieu de rugofités ou d'afpérités. III 117 ART. VII. De la lumiere réfléchie par un globe dont la furface eft couverte d'une infinité de petits hémifpheres parfaitement polis. ART. VIII. De la lumiere que nous renverroient les Planetes & particuliérement la Lune dans les deux hypothefes précédentes; favoir: 1°, en fuppofant que leur furface eft parfaitement polie: 2°, qu'elle est couverte d'une infinité de petits hémispheres parfaitement polis. 118 SECONDE SECTIO n. Recherches fur la quantité de lumiere que réfléchiffent effectivement les corps phyfiques dont la furface eft polie. ART. I. Que dans la réflection, il y a toujours une partie de la lumiere qui eft comme éteinte. 123 ART. II. Que le nombre des rayons réfléchis n'a pas un rapport conftant avec le nombre des rayons incidents dans les différentes inclinai fons. 125 . Difficultés d'en faire l'expérience fur la furface du vif-argent. 127 bij ART. III. Des différentes forces de la réflection produite par la furface de l'eau, felon les différentes incidences de la lumiere. Page 131 ART. IV. Conftruction d'une Table qui marque les quantités de lumiere réfléchie par l'eau dans toutes les différentes inclinaifons. 134 Table des quantités de lumiere réfléchie par la furface de l'eau. 136 ART. V. Conftruction de la Table des quantités de lumiere réfléchie par la glace dont on fait les miroirs. Table des réflections produites par les glaces. 136 137 ART. VI. Comparaifon des lumieres réfléchies par les furfaces de l'eau & du mercure, lorsque ces deux liqueurs font contenues dans le même vafe. 138 ART. VII. De la quantité de lumiere réfléchie dans les moindres inclinaifons par la furface intérieure du corps diaphane, lorfque la lumiere fe préfente pour en fortir. 144 ART. VIII. De la quantité de la lumiere réfléchie par la furface intérieure dans les plus grandes incidences. 150 ART. IX. De la lumiere abforbée ou éteinte par les furfaces des corps tranfparents, indépendamment des réflections. 156 De la Réflection de la Lumiere fur les furfaces mattes ou brutes. ARTICLE I. Que les petits hémifpheres polis ne fuffifent pas pour calculer l'intensité de la lumiere réfléchie fur les furfaces mattes. ART. II. Moyen d'obferver les diverfes intenfités de la lumiere réfléchie par les furfaces qu'on regarde dans la même direction qu'elles font éclairées. 161 162 Table de l'éclat de la furface de l'argent mat, du plâtre fin, & du papier de Hollande, ou de l'intensité de la lumiere réfléchie furces surfaces. 165 ART. III. De la diftribution des petites afpérités déduites des expériences précédentes. ibid. Table des rapports des afpérités des furfaces de l'argent mat, du plâtre & du papier de Hollande. 168 ART. IV. De l'expreffion des petites afpérités par les ordonnées d'une ligne courbe, qui fera appellée, la Numératrice des Afpérités. 169 ART. V. De l'intenfité de la lumiere, ou de la couleur des furfaces brutes, lorfqu'elles font éclairées & vues felon deux directions abfolument différentes: Théorême important. ART. VI. Corollaires du Théorême précédent. 174 177 La pofition de l'oeil étant donnée, trouver la direction fur laquelle il faut mettre le corps lumineux, pour que la furface foit le plus éclairée qu'il eft poffible. 178 |