Traité du vrai merite de l'homme, considéré dans tous les âges & dans toutes les conditions: avec des principes d'education, propres à former les jeunes gens à la vertu, 1권La Compagnie, 1738 - 269페이지 |
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affez aifé apelle aprendre auffi avez avoit beau befoin bon efprit c'eft c'eſt chofes choifir cœur complaifance confeils confolation connoître converfation De-là defirs délicat Dieu difgraces échapé efpéce eft vrai enfans eſt êtes étoit fage fageffe faint falut fans fanté fauffe fçai fçait fçauroit fçavoir fe trouve fecond fecours femme fens fentimens fentir feroit fervir feul fiécle fituation foibleffe foient foins foit fommes font fortune fouf fouffrir fous fouvent ftile fuis fujet fur-tout gens goût graces homme j'ai joüir jufqu'à jufte jufteffe juftice l'ame l'amour l'avare l'ef l'efprit l'homme l'ufage laiffe Langey maniéres mauvaiſe ment mérite modeftie monde n'eft n'eſt néceffaire paffe paffions parler penfer pere perfonne plaifir plaifirs plaiſirs politeffe prefque premiére puiffe qu'un Racan raifon raport reconnoiffance reffource réfléxion refpect refte Religion reux talens teffe tems tion tranquile ufage vertu vice voilà vraye vûë
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97 페이지 - Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre, Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
220 페이지 - Dans plus d'un réduit agréable , On voyoit venir tour à tour Tout ce qu'une superbe cour Avoit de galant et d'aimable : L'esprit , le respect et l'amour Y répandoient sur tout un charme inexplicable...
97 페이지 - Sa lumiere eft un verre, & fa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer.
176 페이지 - D'où jamais n'approcha la tristesse importune, Et dont le possesseur, tranquille et glorieux , Ne rougit point de sa fortune! Trop heureux qui du champ par ses pères laissé Peut parcourir au loin les limites antiques , Sans redouter les cris de l'orphelin chassé Du sein de ses dieux domestiques ! Sous des lambris dorés l'injuste ravisseur Entretient le vautour dont il est la victime.
177 페이지 - Agreables deserts, sejour de l'innocence, Où loin des vanitez, de la magnificence, Commence mon repos et finit mon tourment ; Valons, fleuves, rochers, plaisante solitude , Si vous fustes tesmoins de mon inquietude, Soyez-le desormais de mon contentement.
188 페이지 - Il en est peu de ce genre maudit, Mais trop encor pour mettre un cœur en cendre. QUAND une fois il leur plaît de nous rendre D'amoureux soins, qu'ils prennent un air tendre, On lit en vain tout ce qu'Ovide écrit Contre l'amour.
10 페이지 - Depuis que je lis je n'ai rien vu de plus beau dans la littérature que le livre de La Bruyère. De là vient que je le cite si souvent; mais il ne convient qu'à des hommes faits; moi j'ai essayé de faire un homme.
258 페이지 - Sénat & le peuple l'adorèrent avant même que fes funérailles fuflent achevées ; & comme fi c'eût été peu de chofe que de lui élever une ftatue d'or dans la chambre Julienne * , & de lui décerner tous les honneurs divins , on déclara facrileges ceux qui n'auroient pas dans leur maifon...
99 페이지 - Et qui , comptant après pour rien, , Le Romain, le Luthérien , Finit fa courfe vagabonde Par n'être pas même Chrétien. Rarement à courir le monde On devient plus homme de bien, ÉPISODES.
188 페이지 - ... Mais trop encor pour mettre un cœur en cendre. Quand une fois il leur plaît de nous rendre D'amoureux foins , qu'ils prennent un air tendre » On lit en vain tout ce qu'Ovide écrit Contre l'amour. De la raifon il ne faut rien attendre : Trop de malheurs n'ont fçu que trop apprendre , Qujelle n'eft rien dés que le cœur agit.