Lycée: ou, Cours de littérature ancienne et moderne, 12±Ç

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F. Didot, imprimeur du roi et de l'Institut, 1822

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113 ÆäÀÌÁö - Tu vois nos pressants dangers : Donne à ton nom la victoire ; Ne souffre point que ta gloire Passe à des dieux étrangers. UNE ISRAÉLITE, Seule. Arme-toi , viens nous défendre : Descends, tel qu'autrefois la mer te vit descendre.
217 ÆäÀÌÁö - ... J'entrevois vos mépris et juge à vos discours Combien j'achèterais vos superbes secours. De la Grèce déjà vous vous rendez l'arbitre ; Ses rois, à vous ouïr, m'ont paré d'un vain titre. Fier de votre valeur, tout, si je vous en crois, Doit marcher, doit fléchir, doit trembler sous vos lois. Un bienfait reproché tint toujours lieu d'offense.
278 ÆäÀÌÁö - Trop de repos nous engourdit , Trop de fracas nous étourdit, Trop de froideur est indolence , Trop d'activité turbulence. Trop d'amour trouble la raison , Trop de remède est un poison , Trop de.
296 ÆäÀÌÁö - Si des galants de la ville J'eusse écouté les discours, Ah! qu'il m'eût été facile De former d'autres amours ! Mise en riche demoiselle , Je brillerais tous les jours; De rubans et de dentelles Je chargerais mes atours.
393 ÆäÀÌÁö - Agréable colère! Digne ressentiment à ma douleur bien doux! Je reconnais mon sang à ce noble courroux; Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma honte, Viens me venger. DON RODRIGUE De quoi? DON DIÈGUE D'un affront si cruel Qu'à l'honneur de tous deux il porte un coup mortel: D'un soufflet.
123 ÆäÀÌÁö - SEULE Ton Dieu n'est plus irrité : Réjouis-toi, Sion, et sors de la poussière ; Quitte les vêtements de ta captivité, Et reprends ta splendeur première. Les chemins de Sion à la fin sont ouverts : Rompez vos fers, Tribus captives ; Troupes fugitives, Repassez les monts et les mers ; Rassemblez-vous des bouts de l'univers.
79 ÆäÀÌÁö - Présent des dieux, doux charme des humains, O divine amitié! viens pénétrer nos âmes. Les c©«urs éclairés de tes flammes Avec des plaisirs purs n'ont que des jours sereins. C'est dans tes n©«uds...
103 ÆäÀÌÁö - I'oreille du maréchal , qui était derrière le roi , il lui dit assez haut pour que tout le monde l'entendît: Trajan est-il content? Le maréchal ne répondit rien, et Louis XV, qu'on embarrassait aisément, laissa voir sur son visage son mécontentement de cette saillie poétique...
114 ÆäÀÌÁö - Arme-toi , viens nous défendre : Descends, tel qu'autrefois la mer te vit descendre. Que les méchants apprennent aujourd'hui A craindre ta colère. Qu'ils soient comme la poudre et la paille légère Que le vent chasse devant lui. TOUT LE CHOEUR. Tu vois nos pressants dangers : Donne à ton nom la victoire ; Ne souffre point que ta gloire Passe à des dieux étrangers.
466 ÆäÀÌÁö - Mais Florian a donné plus de charme à ses Arlequins qu'aucun de ceux qui l'avaient précédé ; il leur a donné une bonhomie naïve qui n'est altérée par aucun mélange, et tout l'esprit qui la relève n'est autre chose qu'un composé fort heureux de bon c©«ur, de bon sens et de bonne humeur. Ce caractère , qui est celui de toutes ses pièces, est bien aussi une sorte de création; et s'il n'a...

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