MélangesSalmon, 1825 |
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7 ÆäÀÌÁö
... avez pas faits . HÉROSTRATE . Il est facile de vous prouver le droit que j'avais de brûler le temple d'Éphèse . Pourquoi l'avait - on bâti avec tant d'art et de magnificence ? Le dessein de l'ar- chitecte n'était - il pas de faire vivre ...
... avez pas faits . HÉROSTRATE . Il est facile de vous prouver le droit que j'avais de brûler le temple d'Éphèse . Pourquoi l'avait - on bâti avec tant d'art et de magnificence ? Le dessein de l'ar- chitecte n'était - il pas de faire vivre ...
11 ÆäÀÌÁö
... avez bien été d'Anubis . PAULINE . Non , pas tout - à - fait . Je me doutais un peu qu'Anu- bis pouvait être un simple mortel . CALLIRHÉE . Et vous l'allâtes trouver ? cela n'est PAULINE . pas excusable . Que voulez - vous ? J'entendais ...
... avez bien été d'Anubis . PAULINE . Non , pas tout - à - fait . Je me doutais un peu qu'Anu- bis pouvait être un simple mortel . CALLIRHÉE . Et vous l'allâtes trouver ? cela n'est PAULINE . pas excusable . Que voulez - vous ? J'entendais ...
18 ÆäÀÌÁö
... guerres qui aient peut - être jamais été : vous celle d'Antoine et d'Auguste , et moi celle de Troie ? FULVIE . Mais il y a cette différence , que vous avez causé la guerre de Troie par votre beauté , et moi celle 18 DIALOGUES.
... guerres qui aient peut - être jamais été : vous celle d'Antoine et d'Auguste , et moi celle de Troie ? FULVIE . Mais il y a cette différence , que vous avez causé la guerre de Troie par votre beauté , et moi celle 18 DIALOGUES.
19 ÆäÀÌÁö
... avez un autre avantage sur moi ; c'est que votre guerre est beaucoup plus plaisante que la mienne . Mon mari se venge de l'affront qu'on lui a fait en m'aimant , ce qui est assez naturel ; et le vôtre vous venge de l'affront qu'on vous ...
... avez un autre avantage sur moi ; c'est que votre guerre est beaucoup plus plaisante que la mienne . Mon mari se venge de l'affront qu'on lui a fait en m'aimant , ce qui est assez naturel ; et le vôtre vous venge de l'affront qu'on vous ...
24 ÆäÀÌÁö
... avez - vous peur que je n'avale votre taureau ? Cette sottise déconcerta toutes ces gravités contrefaites : on éclata de rire ; le sacrifice fut troublé , et la raison ne revint point aux Tirinthiens . Ils eurent grand tort , après que ...
... avez - vous peur que je n'avale votre taureau ? Cette sottise déconcerta toutes ces gravités contrefaites : on éclata de rire ; le sacrifice fut troublé , et la raison ne revint point aux Tirinthiens . Ils eurent grand tort , après que ...
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agréable aimable aime aisé amans amant amour anciennes comédies APICIUS Arétin Aristophane ARTEMISE assez assurément aurait avaient avez beau beauté belle bonheur CANDAULE caractères chose Cinna Cléon Cléopâtre c©«ur comédie Corneille croire crois d'être dame DÉMÉTRIUS Dialogues dieux dire donner enfin Eschyle espèce esprit êtes Euripide eût fables femmes fût GALILÉE gens Gigès Grecs héros heureux Homère hommes idées j'ai j'en j'eusse jamais Jodelle jolie l'amour l'autre l'esprit laisser long-temps m'en madame Mademoiselle malheur MARGUERITE D'ÉCOSSE mari MARIE STUART maux ment mérite mieux MOLIÈRE monde MONSIEUR mort n'avait n'en n'était naturel PARACELSE parler passer passion penser personnages personne Pertharite peut-être philosophie pièce plaire plaisir plaisirs Pluton poètes présent qu'à qu'un quelquefois raison ridicule rien Rodogune Roxelane s'il sage sais SCARRON semble SÉNÈQUE sentimens sentiment serait seulement siècle songe sortes sottises spectateur sujets tendresse théâtre tion tout-à-fait tragédie trouve vérité vertu veut voilà vois voulait vrai yeux
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228 ÆäÀÌÁö - Lampérière) .Le cardinal voulut que ce père si difficile vînt lui parler à Paris. Il y arriva tout tremblant d'un ordre si imprévu, et s'en retourna bien content d'en être quitte pour avoir donné sa fille à un homme qui avait tant de crédit.
235 ÆäÀÌÁö - Toute la question de la prééminence entre les anciens et les modernes, étant une fois bien entendue, se réduit à savoir si les arbres qui étaient autrefois dans nos campagnes étaient plus grands que ceux d'aujourd'hui.
243 ÆäÀÌÁö - Descartes, on raisonnait plus commodément; les siècles passés sont bien heureux de n'avoir pas eu cet homme-là. C'est lui, à ce qu'il me semble, qui a amené cette nouvelle méthode de raisonner, beaucoup plus estimable que sa philosophie même, dont une bonne partie se trouve fausse ou fort incertaine, selon les propres règles qu'il nous a apprises.
239 ÆäÀÌÁö - Les anciens ont tout inventé , c'est sur ce point que leurs partisans triomphent; donc ils avaient beaucoup plus d'esprit que nous : point du tout ; mais ils étaient avant nous.
227 ÆäÀÌÁö - M. Corneille, encore fort jeune, se présenta un jour plus triste et plus rêveur qu'à l'ordinaire devant le cardinal de Richelieu, qui lui demanda s'il travaillait. Il répondit qu'il était bien éloigné de la tranquillité nécessaire pour la composition, et qu'il avait la tête renversée par l'amour. Il en fallut venir à un plus grand éclaircissement ; et il dit au cardinal qu'il aimait passionnément une fille ' du lieutenant général des Andelys , en Normandie , et qu'il ne pouvait l'obtenir...
6 ÆäÀÌÁö - Je suis d'avis que vous vous plaigniez de l'injustice qu'on vous a faite de détester une si belle action , et de la loi par laquelle les Ephésiens défendirent que l'on prononçât jamais le nom d'Hérostrate.
9 ÆäÀÌÁö - Si la raison dominoit sur la terre , il ne s'y passerait rien. On dit que les pilotes craignent au dernier point ces mers pacifiques où l'on ne peut naviger, et qu'ils veulent du vent , au hasard d'avoir des tempêtes. Les passions sont chez les hommes des vents qui sont nécessaires pour mettre tout en mouvement, quoiqu'ils causent souvent des orages.
289 ÆäÀÌÁö - ... laisserons des droits sur nous? Ceux dont il y aura plus à espérer qu'à craindre. Il n'est question que de calculer, et la Sagesse doit toujours avoir les jetons à la main. Combien valent ces plaisirs-là, et combien valent les peines dont il faudrait les acheter, ou qui les suivraient? On ne saurait disconvenir que selon les différentes imaginations les prix ne changent, et qu'un même marché ne soit bon pour l'un et mauvais pour l'autre. Cependant il ya à peu près un prix commun pour...
221 ÆäÀÌÁö - Othon, ouvrage où Tacite est mis en ©«uvre par le grand Corneille, et où se sont unis deux génies si sublimes.
25 ÆäÀÌÁö - Elle a mis les hommes au monde pour y vivre ; et vivre , c'est ne savoir ce que l'on fait la plupart du temps. Quand nous découvrons le peu d'importance de ce qui nous occupe et de ce qui nous touche, nous arrachons à la nature son secret; on devient trop sage, et ou n'est pas assez homme; on pense, et on ne veut plus agir, voilà ce que la nature ne trouve pas bon.