Théatre de Voltaire, 2±ÇChez Antoine-Augustin Renouard, 1809 |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
67°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
45 ÆäÀÌÁö
... frère à ses rivaux est vendu par ses frères ; Et sitôt qu'un grand roi penche vers son déclin , Ou son fils ou sa femme ont hâté son destin . Je hais de ces soupçons la barbare imprudence , Je crois que sur la terre il est quelque ...
... frère à ses rivaux est vendu par ses frères ; Et sitôt qu'un grand roi penche vers son déclin , Ou son fils ou sa femme ont hâté son destin . Je hais de ces soupçons la barbare imprudence , Je crois que sur la terre il est quelque ...
85 ÆäÀÌÁö
... frère , et qui ar- rête tous les chevaliers français . Cette rigueur inopinée était le fruit du conseil qu'on venait de tenir en présence d'Orosmane . La flotte de saint Louis était partie de Chypre , et on craignait pour les côtes de ...
... frère , et qui ar- rête tous les chevaliers français . Cette rigueur inopinée était le fruit du conseil qu'on venait de tenir en présence d'Orosmane . La flotte de saint Louis était partie de Chypre , et on craignait pour les côtes de ...
86 ÆäÀÌÁö
... frère serait alors parti , qu'elle aurait reçu le bap- tême , que Dieu lui donnerait la force de résister : elle se flattait même quelquefois que la religion chrétienne lui permettrait d'aimer un homme si tendre , si généreux , si ...
... frère serait alors parti , qu'elle aurait reçu le bap- tême , que Dieu lui donnerait la force de résister : elle se flattait même quelquefois que la religion chrétienne lui permettrait d'aimer un homme si tendre , si généreux , si ...
120 ÆäÀÌÁö
... frères ; Obligés de s'aimer , sans doute ils sont heureux . FATIME . Pourquoi donc aujourd'hui vous déclarer contre eux ? A la loi musulmane à jamais asservie , Vous allez des chrétiens devenir l'ennemie ; Vous allez épouser leur ...
... frères ; Obligés de s'aimer , sans doute ils sont heureux . FATIME . Pourquoi donc aujourd'hui vous déclarer contre eux ? A la loi musulmane à jamais asservie , Vous allez des chrétiens devenir l'ennemie ; Vous allez épouser leur ...
131 ÆäÀÌÁö
... frères . Seigneur , depuis ce temps , ce père des chrétiens , Resserré loin de nous , blanchi dans ses liens , Gémit dans un cachot , privé de la lumière , Oublié de l'Asie et de l'Europe entière . Tel est son sort affreux : qui ...
... frères . Seigneur , depuis ce temps , ce père des chrétiens , Resserré loin de nous , blanchi dans ses liens , Gémit dans un cachot , privé de la lumière , Oublié de l'Asie et de l'Europe entière . Tel est son sort affreux : qui ...
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
ADÉLAÏDE affreux aime ALCMÉON Allez amant âme amour ANTOINE-AUGUSTIN RENOUARD Argos autels barbare BERGERS bienfaits bonheur bras brave charmes CHATILLON cher CHOEUR chrétiens cieux c©«ur CORASMIN COUCY coupable courage courroux crains crime cruel d'Éryphile daigne DALILA DANGESTE déja destin Dieu dieux dois douleur ennemis époux ÉRYPHILE esclave EUPHORBE faiblesse FATIME flamme forfaits frémis frère funeste fureur gloire GRAND-PRÊTRE Hélas HERMOGIDE héros heureux hymen indigne j'ai jour l'amour l'horreur l'hymen larmes lieux Lusignan m'aimez madame mains maître malheureux Melpomène Memphis mort mortel NEMOURS Nérestan ô ciel OROSMANE Osiris OTOÈS outrage pardonne parler père perfide peuple PHANOR PHILISTINS pleurs POLÉMON prince punir Pylos rage reine rival rois SAMSON sang SCÈNE secret seigneur sérail seul soldats Solyme sort soudan TAÏSE Tanguy du Châtel TANIS temple tendre tendresse THÉANDRE théâtre trahir tremble trépas triste trône tyrans vais VENDÔME vengeance venger Vénus vertu veux v©«ux vois voix yeux Zaïre ZÉLIDE ZÉLONIDE
Àαâ Àο뱸
120 ÆäÀÌÁö - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
120 ÆäÀÌÁö - C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas, sans y trouver ton Dieu ; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire. Je te vois dans mes bras et pleurer et frémir ; Sur ton front pâlissant Dieu met le repentir : Je vois la vérité dans ton c©«ur descendue ; Je retrouve ma fille après l'avoir perdue, Et je reprends ma gloire et ma félicité En dérobant mon sang à l'infidélité....
120 ÆäÀÌÁö - C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie, C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire.
119 ÆäÀÌÁö - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire. J'ai vu tomber ton temple et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans, Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants; Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve...
99 ÆäÀÌÁö - Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance .. Forment nos sentiments, nos m©«urs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
134 ÆäÀÌÁö - II vaut mieux oublier jusqu'au nom de Zaïre Allons, que le sérail soit fermé pour jamais; Que la terreur habite aux portes du palais; Que tout ressente ici le frein de l'esclavage. Des rois de l'Orient suivons l'antique usage.
146 ÆäÀÌÁö - La force d'oublier l'amour qu'il a pour toi ! Qui, moi? que sur mon trône une autre fût placée! Non, je n'en eus jamais la fatale pensée. Pardonne à mon courroux, à mes sens interdits, Ces dédains affectés, et si bien démentis ; C'est le seul déplaisir que jamais, dans ta vie, Le ciel aura voulu que ta tendresse essuie. Je t'aimerai toujours... mais d'où vient que ton c©«ur, En partageant mes feux, différait mon bonheur ? Parle.
230 ÆäÀÌÁö - D'abandonner la France au fils de l'étranger. Je vois que de l'Anglais la race est peu chérie; Que leur joug est pesant; qu'on aime la patrie; Que le sang des Capets est toujours adoré. Tôt ou tard il faudra que de ce tronc sacré Les rameaux divisés et courbés par l'orage, Plus unis et plus beaux, soient notre unique ombrage.
69 ÆäÀÌÁö - Je sais bien que cette profession est méprisée de nos petitsmaîtres; mais vous savez aussi que nos petits-maîtres et les vôtres sont l'espèce la plus ridicule qui rampe avec orgueil sur la surface de la terre.
71 ÆäÀÌÁö - De Polyeucte la belle âme Aurait faiblement attendri, Et les vers chrétiens qu'il déclame Seraient tombés dans le décri, N'eût été l'amour de sa femme Pour ce païen son favori. Qui méritait bien mieux sa flamme Une son bon dé vol de mari.