Coresus et Calirrhoé, tragediepar la Compagnie des libraires associés., 1747 |
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4 ÆäÀÌÁö
... n'est qu'une con- tinuation de celle , dont vous avez déja bien voulu l'honorer . Ce me feroit en même temps une occafion bien naturelle de fatisfaire les Sentimens de ma reconnoissance , en faisant l'é- loge de mon Protecteur , & de ...
... n'est qu'une con- tinuation de celle , dont vous avez déja bien voulu l'honorer . Ce me feroit en même temps une occafion bien naturelle de fatisfaire les Sentimens de ma reconnoissance , en faisant l'é- loge de mon Protecteur , & de ...
5 ÆäÀÌÁö
... n'est pas befoin que je l'explique ici plus au long , & il eft ailé de diftinguer ce que j'ai trouvé dans la Fable , d'avec ce que l'Art m'a fourni . Mon entreprife , à la vérité , a été bien hardie pour un coup d'effai . J'avois lieu d ...
... n'est pas befoin que je l'explique ici plus au long , & il eft ailé de diftinguer ce que j'ai trouvé dans la Fable , d'avec ce que l'Art m'a fourni . Mon entreprife , à la vérité , a été bien hardie pour un coup d'effai . J'avois lieu d ...
32 ÆäÀÌÁö
... N'est - ce pas elle , enfin , qui pour nous perdre mieux Appuyant fes projets du pouvoir de vos yeux , Trouva l'art de nous faire un ennemi perfide De Telephe , d'un Roi Fils d'un Grec , Fils d'Al- cide Que dis - je ? Achille même ...
... N'est - ce pas elle , enfin , qui pour nous perdre mieux Appuyant fes projets du pouvoir de vos yeux , Trouva l'art de nous faire un ennemi perfide De Telephe , d'un Roi Fils d'un Grec , Fils d'Al- cide Que dis - je ? Achille même ...
83 ÆäÀÌÁö
... n'est point un fonge ! De quel abyme affreux , fous quels maux abattu , A quel comble de gloire , ô fort m'éleves - tu ! Quoi , ma belle Princeffe , au moment redoutable , Que je vois votre mort prochaine , inévitable , Quand mon unique ...
... n'est point un fonge ! De quel abyme affreux , fous quels maux abattu , A quel comble de gloire , ô fort m'éleves - tu ! Quoi , ma belle Princeffe , au moment redoutable , Que je vois votre mort prochaine , inévitable , Quand mon unique ...
86 ÆäÀÌÁö
... n'est point de retour pour eux en leur patrie . Hé bien , vivez , afin qu'ils n'y retournent pas ; Mais vivez en régnant fur moi , fur mes Etats . Qui peut mieux que mon trône affurer votre vie ? En vain vous y craignez le fort de la ...
... n'est point de retour pour eux en leur patrie . Hé bien , vivez , afin qu'ils n'y retournent pas ; Mais vivez en régnant fur moi , fur mes Etats . Qui peut mieux que mon trône affurer votre vie ? En vain vous y craignez le fort de la ...
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affez affurer Agamemnon AGENOR Ainfi ALBIN AMINTA amour ANAXILE ANTINOUS ARBAS Arcas auffi avoit bleffe bonheur bras bruit C'eft C'eſt CALIRRHOE Calydon ceffe charmes Ciel coeur colere Coréfus courroux crime cruel deffein deftin déja Dieux difcours doux effort efprit Eft-ce EGE'E enfin ERIXEN eſpoir eſt fang fans fauver fçai fecond fecours fecret fein femble fens fent fervir fes yeux feul feux fincere foins foit fonge font foudain fouffrir fouhaits foupçons fous frapé fuis fuite fuivre fujet funefte fureur gloire grace Grecs haine Hymen ISMENE j'ai j'en jour jufte l'amour laiffe lieux loix LYCAS m'en Madame main malheur MANLIUS mort n'eft Pallantide Pere périls pleurs POLIXEN preffe PREMIERE Princeffe puiffe PYRRHUS raifons refte RUTILE SCENE Seigneur Sénat SERVILIUS ſes ſon STHENELUS TELEPHE tendreffe THAMIRE THRASILE tranſport trépas trifte trouble ULYSSE VALERIE vengeance venger veux v©«ux vois zéle
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117 ÆäÀÌÁö - C'est moi , c'est mon appui qui les conserve à Rome. Vous demandez d'où vient qu'un Romain, un seul homme, Des misères d' autrui soigneux de se charger, Offre à tous une main prompte à les soulager. D'une pitié si juste est-ce à vous de vous plaindre? Si c'est une vertu qu'en moi l'on doive craindre , Si du peuple par elle on se fait un appui, Pourquoi suis-je le seul qui l'exerce aujourd'hui? Que ne m'enviez-vous un si noble avantage ? Pourquoi chacun de vous, pour être exempt d'ombrage,...
156 ÆäÀÌÁö - Et lorsqu'à nos regards les feux elle carnage De nos fureurs partout étaleront l'ouvrage ; Du fruit de nos travaux tous ces palais formés, Par les feux dévorants pour jamais consumés; Ces fameux tribunaux où...