Histoire naturelle des religions, 2±Ç

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O. Doin, 1885

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77 ÆäÀÌÁö - Seigneur et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton c©«ur, de toute ton âme et de toute ta force.
52 ÆäÀÌÁö - Cet écoulement ne nous paraît pas seulement impossible , il nous semble même très injuste ; car qu'y at-il de plus contraire aux règles de notre misérable justice que de damner éternellement un enfant incapable de volonté , pour un péché où il paraît avoir si peu de part, qu'il est commis six mille ans avant qu'il fût en être...
52 ÆäÀÌÁö - Car il est sans doute qu'il n'ya rien qui choque plus notre raison que de dire que le péché du premier homme ait rendu coupables ceux qui, étant si éloignés de cette source, semblent incapables d'y participer.
40 ÆäÀÌÁö - Toutes choses m'ont été données par mon Père : et nul ne connaît le Fils, si ce n'est le Père; et nul ne connaît le Père, si ce n'est le Fils, et celui à qui le Fils aura voulu le révéler.
78 ÆäÀÌÁö - Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas la charité, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit.
204 ÆäÀÌÁö - Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.
217 ÆäÀÌÁö - En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes : et la lumière luit dans les ténèbres et les ténèbres ne l'ont point comprise.
165 ÆäÀÌÁö - Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi, ou les Prophètes : je ne suis pas venu les abolir, mais les accomplir*.
217 ÆäÀÌÁö - ... ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu même.
115 ÆäÀÌÁö - Mais je me trompe en disant une république chrétienne : chacun de ces deux mots exclut l'autre. Le christianisme ne prêche que servitude et dépendance. Son esprit est trop favorable à la tyrannie, pour qu'elle n'en profite pas toujours. Les vrais chrétiens sont faits pour être esclaves (*) ; ils le savent, et ne s'en émeuvent guère ; cette courte vie a trop peu de prix à leurs yeux.

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