Poétique anglaise, 1±Çde l'Imprimerie de Valade; et se trouve chez T. Barrois fils, 1806 |
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19 ÆäÀÌÁö
... grec ou du latin , ou pris d'une langue vivante , du français , de l'ita- lien , de l'espagnol , de l'allemand , du hollandais . 2 * De quelle poussière nous sommes épris , quand c'est l'homme que nous aimons ! ( 1 ) Pour s'en ...
... grec ou du latin , ou pris d'une langue vivante , du français , de l'ita- lien , de l'espagnol , de l'allemand , du hollandais . 2 * De quelle poussière nous sommes épris , quand c'est l'homme que nous aimons ! ( 1 ) Pour s'en ...
72 ÆäÀÌÁö
... qu'elle résigne à Dieu chaque desir . " ** La colère du fils de Pélée , source terrible de tous les maux des Grecs , chante , ô déesse ! et annonce l'importance , la grandeur du sujet . Quelquefois 172 POÉTIQUE ANGLAISE .
... qu'elle résigne à Dieu chaque desir . " ** La colère du fils de Pélée , source terrible de tous les maux des Grecs , chante , ô déesse ! et annonce l'importance , la grandeur du sujet . Quelquefois 172 POÉTIQUE ANGLAISE .
87 ÆäÀÌÁö
... grecs et des latins . * De plusieurs fautes la rime est peut - être la cause : trop attachés à la rime nous négligeons de plus utiles lois . Mais à présent qu'Apollon et les neufs s©«urs déploient tous leurs rayons sur notre île fortunée ...
... grecs et des latins . * De plusieurs fautes la rime est peut - être la cause : trop attachés à la rime nous négligeons de plus utiles lois . Mais à présent qu'Apollon et les neufs s©«urs déploient tous leurs rayons sur notre île fortunée ...
98 ÆäÀÌÁö
... de ne compter que sept poëmes épiques - * Les poëmes héroïques ont une juste prétention à être le dernier effort de l'esprit humain . véritablement dignes de ce nom : en grec , l'Iliade 98 POÉTIQUE ANGLAISE . Poëmes épiques.
... de ne compter que sept poëmes épiques - * Les poëmes héroïques ont une juste prétention à être le dernier effort de l'esprit humain . véritablement dignes de ce nom : en grec , l'Iliade 98 POÉTIQUE ANGLAISE . Poëmes épiques.
99 ÆäÀÌÁö
Albin-Joseph-Ulpien Hennet. véritablement dignes de ce nom : en grec , l'Iliade ; en latin , l'Énéide ; en portugais , la Lusiade du Camoens ; en italien , la Jérusalem délivrée du Tasse ; en espagnol , l'Araucana d'Alonzo d'Er- cilla ...
Albin-Joseph-Ulpien Hennet. véritablement dignes de ce nom : en grec , l'Iliade ; en latin , l'Énéide ; en portugais , la Lusiade du Camoens ; en italien , la Jérusalem délivrée du Tasse ; en espagnol , l'Araucana d'Alonzo d'Er- cilla ...
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Àαâ Àο뱸
100 ÆäÀÌÁö - THREE Poets, in three distant ages born, Greece, Italy, and England did adorn. The first in loftiness of thought surpassed; The next in majesty •, In both the last. The force of Nature could no further go ; To make a third, she joined the former two.
283 ÆäÀÌÁö - Go, lovely Rose — Tell her that wastes her time and me, That now she knows, When I resemble her to thee, How sweet and fair she seems to be. Tell her that's young, And shuns to have her graces spied, That hadst thou sprung In deserts where no men abide, Thou must have uncommended died.
134 ÆäÀÌÁö - The sound must seem an echo to the sense. Soft is the strain when Zephyr gently blows, And the smooth stream in smoother numbers flows; But when loud surges lash the sounding shore, The hoarse, rough verse should like the torrent roar. When Ajax strives some rock's vast weight to throw, The line too labours, and the words move slow; Not so, when swift Camilla scours the plain, Flies o'er th' unbending corn, and skims along the main.
142 ÆäÀÌÁö - Hush'd in deep silence, sleep ye when 'tis calm ? When from the pallid sky the sun descends, With many a spot, that o'er his glaring orb Uncertain wanders, stain'd ; red fiery streaks Begin to flush around.
285 ÆäÀÌÁö - To all you ladies now at land We men at sea indite; But first would have you understand How hard it is to write: The Muses now, and Neptune too, We must implore to write to you — With a fa, la, la, la, la.
194 ÆäÀÌÁö - In every village mark'd with little spire, Embower'd in trees, and hardly known to fame, There dwells, in lowly shed and mean attire, A matron old, whom we Schoolmistress name : Who boasts unruly brats with birch to tame...
200 ÆäÀÌÁö - But Shadwell never deviates into sense. Some beams of wit on other souls may fall, Strike through and make a lucid interval; But Shadwell's genuine night admits no ray, His rising fogs prevail upon the day...
284 ÆäÀÌÁö - Tell her that's young, And shuns to have her graces spied, That hadst thou sprung In deserts where no men abide, Thou must have uncommended died. Small is the worth Of beauty from the light retired ; Bid her come forth, Suffer herself to be desired, And not blush so to be admired. Then die, that she The common fate of all things rare May read in thee ; How small a part of time they share, That are so wondrous sweet and fair.
14 ÆäÀÌÁö - The rules a nation, born to serve, obeys ; And Boileau still in right of Horace sways.
286 ÆäÀÌÁö - To pass our tedious hours away We throw a merry main, Or else at serious ombre play: But why should we in vain Each other's ruin thus pursue? We were undone when we left you — With a fa, la, la, la, la.