Chefs-d'©«uvre des auteurs comiques, 6±Ç

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Firmin-Didot et cie, 1892 - 22ÆäÀÌÁö

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62 ÆäÀÌÁö - Interdit à madame ici la concurrence : Elle ne voudra point, par un bruyant débat, Me préparer l'honneur d'un triomphe d'éclat.
19 ÆäÀÌÁö - Ce discours a fort bonne grâce. Qu'un empereur turc est galant ! Prenez-vous ce ton-là pour être aimé des femmes ? Vous devez enchanter leurs âmes. En vérité, c'est avoir du talent : Mais, mais je vous trouve excellent. (Montrant Osmia.) Et de vos volontés voilà donc le ministre?
18 ÆäÀÌÁö - D'en sortir, sous peine exemplaire : Elle me prend par le bras poliment, Me chasse, rit de ma colère, Et me suit pour goûter deux plaisirs à la fois : Pour se plaindre de moi devant vous, et pour faire Ce que je lui défends. Mais, seigneur, je la vois. . SCÈNE X.
56 ÆäÀÌÁö - M'apporter tristement leurs plaintes réciproques , Me conter leurs chagrins, dont je rirai bien fort, Et m'appeler en tiers pour maudire leur sort : Je les attends; surtout cet orgueilleux Clitandre Qui vent me corriger, dit-il, qui veut m'apprendre A devenir aimable.
19 ÆäÀÌÁö - Jaloux, non pas pour lui, qui sans cesse nous gronde ; Qui, pour nous désoler, nuit et jour fait sa ronde, Et nous renferme ici comme dans un bercail.
50 ÆäÀÌÁö - ... Il faut qu'à ses yeux je répare Mon injustice et mes torts envers vous; Que devant elle je déclare Que nous sommes unis par les n©«uds les plus doux. Témoin du bonheur de ma vie, Qu'elle sente le prix de ce qu'elle a perdu , ( Plus vivement.
55 ÆäÀÌÁö - D'un maître que vous irritez. ROXELANE, d'un Ion plus grave. Oui, vous êtes mon maître; à vous on m'a vendue; Mais vous at,on donné quelque droit sur mon c©«ur? Et, de mon gré, me suis-je enfin rendue? Essayez de me vaincre, employez la rigueur : Qui ne craint rien n'est point dans l'esclavage. SOLIMAN.
15 ÆäÀÌÁö - Vous aimer, vous chérir, est mon plaisir unique ; Et vous me tenez lieu de tout. Si vous m'aimiez de même... SOLIMAN. Ah! c'est me faire injure. ELMIRE. Vous ne formeriez point, seigneur, d'autre désir. SOLIMAN.
17 ÆäÀÌÁö - ... c'est là , c'est du sein de son château qu'un bon gentilhomme voit se fertiliser sous ses yeux la terre qu'il a souvent aidé à défricher lui-même. Les arbres qu'il a plantés s'élèvent sous sa vue , sa joie s'accroît avec eux.
65 ÆäÀÌÁö - At-il ledroit de gêner votre c©«ur? Vous le rendez heureux ; il vous défend de l'être ! Est-ce à lui de borner les désirs de son maître, De lui marquer le degré du bonheur?

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