(XXVIII, 582 p.)chez Le Normant, 1808 |
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vi ÆäÀÌÁö
... besoin de son aveu et du leur . Avec quelle bonté il accueillit nos excuses et notre v©«u ! De nouveau il applaudit à l'idée et à l'exécution de ce Recueil ( 1 ) ; il se rappela avec ( 1 ) Il nous engagea encore , comme il l'avait fait ...
... besoin de son aveu et du leur . Avec quelle bonté il accueillit nos excuses et notre v©«u ! De nouveau il applaudit à l'idée et à l'exécution de ce Recueil ( 1 ) ; il se rappela avec ( 1 ) Il nous engagea encore , comme il l'avait fait ...
xviii ÆäÀÌÁö
... les institutrices , les pères et mères de famille qui ont le loisir ou le besoin de s'occuper eux - mêmes dans leurs foyers de l'éducation de leurs enfants . L RÈGLES DE L'ART D'ÉCRIRE . Il s'est trouvé , xviij PRÉFACE .
... les institutrices , les pères et mères de famille qui ont le loisir ou le besoin de s'occuper eux - mêmes dans leurs foyers de l'éducation de leurs enfants . L RÈGLES DE L'ART D'ÉCRIRE . Il s'est trouvé , xviij PRÉFACE .
8 ÆäÀÌÁö
... besoin ce n'est pas qu'il manquât de génie ; ses lumières égalaient son courage ; mais il n'avait jamais été instruit par la mauvaise fortune ; ses maîtres avaient empoisonné par la flatterie son bon naturel ; il était enivré de sa ...
... besoin ce n'est pas qu'il manquât de génie ; ses lumières égalaient son courage ; mais il n'avait jamais été instruit par la mauvaise fortune ; ses maîtres avaient empoisonné par la flatterie son bon naturel ; il était enivré de sa ...
34 ÆäÀÌÁö
... besoins . A la disette enfin succède la famine , fléau terrible sur lä terre , mais plus terrible mille fois sur le vaste abîme des eaux : car au moins sur la terre quelque lueur d'espérance peut abuser la douleur et soutenir le courage ...
... besoins . A la disette enfin succède la famine , fléau terrible sur lä terre , mais plus terrible mille fois sur le vaste abîme des eaux : car au moins sur la terre quelque lueur d'espérance peut abuser la douleur et soutenir le courage ...
39 ÆäÀÌÁö
... besoin du sommeil fatiguait ma paupière , je luttai quelque temps enfin , je fus obligé de céder je m'assoupis ; mais dans cet intervalle je crus avoir un songe . Il me sembla voir dans un vaste portique une mul- titude d'hommes ...
... besoin du sommeil fatiguait ma paupière , je luttai quelque temps enfin , je fus obligé de céder je m'assoupis ; mais dans cet intervalle je crus avoir un songe . Il me sembla voir dans un vaste portique une mul- titude d'hommes ...
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Adraste aime arts Athéniens BARTHÉLEMY beau beauté BERNARDIN DE SAINT-PIERRE bonheur Bossuet brillant caractère cesse choses Cicéron ciel citoyens c©«ur Colbert Corneille corps courage crime Démosthène Dieu Dieux Diphile dire discours donne douleur Duguay-Trouin élevé Éloge enfin ennemis esprit Euripide FÉNÉLON force funèbre génie gloire goût graces grandeur Grecs Henri IV heureux Hippias hommes humain idées J. J. ROUSSEAU j'ai jamais jour l'ame l'autre l'esprit l'homme l'univers laisse larmes ligue du Péloponnèse Louis Louis XIV lui-même lumière main malheureux Marc-Aurèle MASSILLON maux milieu m©«urs monde mort mourir nation nature par-tout parcequ'il parceque parle passe passions patrie pensées père Périclès peuple philosophie Pisistrate plaisir plaisirs pleure poëte premier presque prince Protésilas qu'un quelquefois Racine raison regards règne rien sage sang secret semble sentiment sera seul siècle Socrate soleil Sophocle sort souvent style sublime sujet Sully sur-tout talents Télémaque terre THOMAS tombeau trouve Turenne vérité vertu victoire voilà yeux
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xxvii ÆäÀÌÁö - Or, un beau style n'est tel en effet que par le nombre infini des vérités qu'il présente : toutes les beautés intellectuelles qui s'y trouvent, tous les rapports dont il est composé, sont autant de vérités aussi utiles, et peut-être plus précieuses pour l'esprit humain que celles qui peuvent faire le fond du sujet.
273 ÆäÀÌÁö - Que l'homme contemple donc la Nature entière dans sa haute et pleine majesté ; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent ; qu'il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'Univers ; que la terre lui paraisse comme un point, au prix du vaste tour que cet astre décrit ; et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point très délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent.
172 ÆäÀÌÁö - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les c©«urs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
543 ÆäÀÌÁö - CORNEILLE ne peut être égalé dans les endroits où il excelle : il a pour lors un caractère original et inimitable ; mais il est inégal. Ses premières comédies sont sèches, languissantes, et ne laissaient pas espérer qu'il dût ensuite aller si loin ; comme ses dernières font qu'on s'étonne qu'il ait pu tomber de si haut.
393 ÆäÀÌÁö - Servez donc ce roi immortel et si plein de miséricorde , qui vous comptera un soupir et un verre d'eau donné en son nom plus que tous les autres ne feront jamais tout votre sang répandu...
494 ÆäÀÌÁö - Un homme s'est rencontré d'une profondeur d'esprit incroyable, hypocrite raffiné autant qu'habile politique, capable de tout entreprendre et de tout cacher, également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre, qui ne laissait rien à la fortune de ce qu'il pouvait lui ôter par conseil et par prévoyance, mais au reste si vigilant et si prêt à tout, qu'il n'a jamais manqué les occasions qu'elle lui a présentées ; enfin un de ces esprits audacieux qui semblent être nés pour changer...
172 ÆäÀÌÁö - Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les c©«urs en sa main ; tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride, et par là il remue tout le genre humain. Veut-il faire des conquérants ? il fait marcher l'épouvante devant eux, et il inspire à eux et à leurs soldats une hardiesse invincible.
xxvii ÆäÀÌÁö - Les ouvrages bien écrits seront les seuls qui passeront à la postérité : la quantité des connaissances, la singularité des faits, la nouveauté même des découvertes ne sont pas de sûrs garants de l'immortalité ; si les ouvrages qui les contiennent ne roulent que sur de petits objets, s'ils sont écrits sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances, les faits et les découvertes s'enlèvent aisément, se transportent et gagnent même à être mis en...
558 ÆäÀÌÁö - ... la démarche ferme et délibérée^; il parle avec confiance, il fait répéter celui qui l'entretient, et il ne goûte que médiocrement tout ce qu'il lui dit; il déploie un ample mouchoir et se mouche avec grand bruit; il crache fort loin et il éternue fort haut; il dort le jour, il dort la nuit, et profondément; il ronfle en compagnie. Il occupe à table et à la promenade plus de place qu'un autre...
259 ÆäÀÌÁö - ... l'infidélité louable, sitôt qu'on soutient tout cela le fer à la main ; qu'un affront est toujours bien réparé par un coup d'épée, et qu'on n'a jamais tort avec un homme, pourvu qu'on le tue. Il ya, je l'avoue, une autre sorte d'affaire où la gentillesse se mêle à la cruauté, et où l'on ne tue les gens que par hasard : c'est celle où l'on se bat au premier sang.