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II. ÉCRITS ET TRAVAUX

RELATIFS AUX OUVRAGES PARTICULIERS

DE CORNEILLE.

MÉLITE,

Représentée en 1629, imprimée en 1633.

Mélite, ou la première pièce de Corneille, nouvelle historique, par Dumersan.

Imprimée dans le Monde dramatique, le 6 juin 1837, t. IV, p. 337 et suiv. de ce recueil périodique.

Mélite, ou la première pièce de Corneille, comédie en un acte, en vers, par M. Dumersan, représentée sur le théâtre des Arts, à Rouen, le 29 juin 1837.

Non imprimée. C'est la mise à la scène de la nouvelle qui forme l'article précédent.

MÉDÉE,

Représentée en 1635, imprimée en 1639.

Parallèle des beautés de Corneille avec celles de plusieurs scènes de la MÉDÉE de Sénèque, par M. Guilbert.

Lu dans la séance de la Société libre d'Émulation de Rouen du 16 juin 1804.

L'ILLUSION COMIQUE,

Représentée en 1636, imprimée en 1639.

L'Illusion comique (remaniée par M. Ed. Thierry), représentée

sur le Théâtre-Français, pour la première fois, le 6 juin 1861, pour le deux cent cinquante-cinquième anniversaire de la nais sance de Corneille.

LE CID,

Représenté en 1636, imprimé en 1637.

Observations sur LE CID, tragédie de Corneille (par de Scudéry)'; Paris, 1637, in-8° 1.

Il existe une autre édition de cet écrit, sous le titre de : Les Fautes remarquées en la tragi-comédie du CID; à Paris, aux dépens de l'auteur, 1637, in-8°. La page 3 porte en tête : Observations sur LE CID. 1. On a attribué à Corneille un grand nombre des pièces et écrits auxquels la querelle causée par ces Observations donna lieu. Voici les trois seuls qui soient certainement de lui; il est à peu près certain que tout le reste ne l'a pas pour auteur:

1o Lettre apologétique du sieur Corneille, contenant sa réponse aux Observations faites par le sieur Scudéry sur LE CID; 1637, in-8°.

Nous avons vu des exemplaires portant: Lettre apologitique...

2o RONDEAU. Qu'il fasse mieux, ce jeune jouvencel, etc. (par Corneille); (1637,) un feuillet grand in-4°.

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La Défense du CID.

Voir t. I, p. 221, la note 7 du livre II.

L'auteur du vrai Cid espagnol à son traducteur français, sur une lettre en vers qu'il a fait imprimer, intitulée EXCUSE A ARISTE, où, après cent traits de vanité, il dit de soi-méme : Je ne dois qu'à moi seul toute ma renommée.

(Paris, 1637), in-8°.

Attribué par Corneille à Mairet. Voir t. I, p. 70.

Examen de ce qui s'est fait pour et contre LE CID, avec un Traité de la disposition du poëme dramatique et de la prétendue règle de vingt-quatre heures; Paris, imprimé aux dépens de l'auteur, 1637, in-8°.

Cet écrit porte, à la page 3, pour second titre : Discours à Cliton sur les OBSERVATIONS DU CID, avec un Traité de la disposition, etc. Les frères Parfait l'attribuent à Claveret. C'est à tort, selon nous. Voir t. I, p. 71, et note 11 du livre II, p. 197 du même volume. Lettre de M. de Scudéry à l'illustre Académie; Paris, Antoine de Sommaville, 1637, in-8°.

La Preuve des passages allégués dans les OBSERVATIONS SUR LE CID. A messieurs de l'Académie, par M de Scudéry; Paris, Antoine de Sommaville, 1637, in-8°.

Lettre du sieur Claveret au sicur Corneille, soi-disant auteur du CID; Paris, 1637, in-8°.

La page 3 porte pour titre : Lettre contre une invective du sieur Corneille, soi-disant auteur du CID.

Lettre du sieur Claveret à Monsieur de Corneille; (Paris, 1637,) in-8°.

L'Amy du CID à Claveret ; Paris, 1637, in-8°.

Attribué à tort à Corneille par Niceron. Voir t. I, p. 227, la note 14 du livre II.

Lettre à *** sous le nom d'Ariste.

Avec cette épigraphe :

Ce n'est donc pas assez, et, de la part des Muses,
Ariste, c'est en vers qu'il vous faut des excuses;
Mais la mienne pour vous n'en plaint pas la façon :
Cent vers lui coûtent moins que deux mots de chanson.

(Paris, 1637,) in-8°.

Attribuée par Niceron à Mairet. Voir t. I, p. 227, la note 14 du livre II.

Réponse de *** à ***, sous le nom d'Ariste; Paris, 1637, in-8°. Attribuée à tort à Corneille par Niceron. Voir t. I, p. 227, la note 14 du livre II.

Lettre pour M. de Corneille contre les mots de la lettre sous le nom d'Ariste: « Je fis donc résolution de guérir ces idolâtres » ; (Paris, 1637,) in-8°.

Attribuée à tort à Corneille par Niceron. Voir t. I, p. 227, la note 14 du livre II.

Épître familière du sieur Mairet au sieur Corneille sur la tra· gi-comédie du CID; Paris, Antoine de Sommaville, 1637, in-8°.

A la suite de cette Epitre, p. 30 à 48, se trouve une Réponse à l'Amy du CID sur ses invectives contre le sieur Claveret.

Lettre du désintéressé au sieur Mairet; (Paris, 1637,) in-8°.

Attribuée à tort à Corneille par Niceron. Voir t. I, p. 227, la note 14 du livre II.

Advertissement au Besançonnais Mairct; (Paris, 1637,) in-8°. Attribuée à tort à Corneille par Niceron. Voir t. I, p. 227, la note 14 du livre II.

Apologie pour Mairet contre les calomnies du sieur Corneille, en réponse à la pièce intitulée Advertissement AU BESANÇONNAIS MAIRET; 1637, in-8°.

Épitre aux poëtes du temps sur leur querelle du CID; Paris, 1637, in-8°.

Pour le sieur Corneille contre les ennemis du CID; Paris, 1637, in-8°.

Sonnet.

La voix publique à M. de Scudéry sur les OBSERVATIONS DU CID; Paris, 1637, in-8°.

L'inconnu et véritable ami de messieurs de Scudéry et Corneille; 1637, in-8°.

Signé D. R. Attribué à tort à Rotrou par Niceron et autres. Voir t. I, p. 227, la note 14 du livre II.

Le Souhait du Cid en faveur de Scudéry : une paire de lunettes pour faire mieux ses OBSERVATIONS; 1637, in-8°.

Le Jugement du Cin composé par un bourgeois de Paris, marguillier de sa paroisse; (Paris, 1637,) in-8°.

Réimprimé dans le Recueil de Dissertations sur plusieurs tragédies de Corneille et de Racine (publié par Granet), dans l'Esprit du grand Corneille, par François de Neufchâteau, et dans le Tableau de la littérature française au seizième siècle, par M. Sainte-Beuve, 2 vol. in-8°.

Lettre de M. l'abbé de Boisrobert à M. Mairet (datée du 5 octobre 1637).

Sur la querelle du Cid, imprimée pour la première fois dans le Recueil de Dissertations sur plusieurs tragédies de Corneille et de Racine, t. I, p. 114 et suiv,

Recueil des bonnes pièces pour et contre LE CID; Paris, Nicolas Trabouillet, 1637, in-8°.

Nous citons ce Recueil d'après une Vie de Corneille, manuscrit d'une date ancienne, qui faisait partie de la bibliothèque de M. de Soleinne. Était-ce une réimpression d'un choix des écrits dont nous avons donné les titres? ou n'était-ce que la réunion d'exemplaires de ces mêmes écrits, pour laquelle un libraire se serait borné à faire imprimer des titres collectifs? C'est ce que nous n'avons pas été à même de vérifier.

Les Sentiments de l'Académie française sur la tragi-comédie du CID; Paris, Camusat, 1638, in-8°.

Réimprimé en 1678, in-12.

Lettre de M. de Balzac à M. de Scudéry sur ses OBSERVATIONS DU CID, et la réponse de M. de Scudéry à M. de Balzac, avec la lettre de M. de Scudéry à messieurs de l'Académie fran

çaise sur le jugement qu'ils ont fait du Ciò et de ses OBSERVATIONS; Paris, Augustin Courbé, 1638, in-8°.

La Suite et le Mariage du CID, tragi-comédie en cinq actes, en vers (représentée en 1637, par Chevreau); Paris, Toussaint Quinet, 1638, in-4°.

Réimprimé la même année sous le titre de le Mariage du Cid; jouxte la copie imprimée à Paris, in-8°.

re

La vraie Suite du CID, tragi-comédie (en cinq actes et en vers, présentée en 1637, par Desfontaines); Paris, Antoine de Sommaville, 1638, in-4°.

L'innocence et le véritable amour de Chymène. Dédiée aux dames; imprimée cette année, 1638, (sans lieu),

in-12.

Défense modérée du Cid et du rôle qu'y joue Chimène entre son amant et la mémoire de son père. Bibliothèque de l'Arsenal.

L'Ombre du comte de Gormas et la Mort du Cid, par Chillac, juge des gabelles de S. M. en la ville de Beaucaire en Languedoc ; Paris, Cardin Besongne, 1639, in-4°.

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Non représentée. Réimprimée sur l'imprimé à Paris, chez Cardin Besongne, 1645, in-12 :- jouxte la copie imprimée à Paris, 1646, in-8°; et, sous le titre de la Mort du Cid et l'Ombre du comte de Gormas; Caen, J.-J. Godes, 1683, in-8°; et 1696, in-12. Chapelain décoiffé, ou Parodie de quelques scènes du CID (par Furetière); 1665, in-12.

Se trouve aussi dans beaucoup d'éditions des OEuvres de Boileau. Récit tiré des Mémoires de Michel Turretini, pasteur et professeur, de la discussion qui eut lieu entre le Conseil et la vénérable Compagnie, en 1681, au sujet de la représentation du CID.

Fait partie des Mémoires et documents publiés par la Société d'histoire et d'archéologie de Genève, t. 1, p. 80 et suiv.; Genève, 1841, in-8°.

Le Cid, tragédie de P. Corneille (arrangée par J.-B. Rousseau).

Représenté en 1728 et imprimé dans les Pièces dramatiques choisies et restituées par M. ***; Amsterdam, François Changuion, 1733, in-12.

C'est avec ces changements que le Cid est joué depuis ce temps à la Comédie-Française.

Le Cid, tragédie en cinq actes, de Pierre Corneille, changée sur les observations de l'Académie française; Lausanne, 1780, in-8°. Chimène ou le Cid, tragédie en trois actes (paroles de Guillard,

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