La comédie en France au XVIIIe siècle, 1권Hachette et cie, 1888 - 446페이지 |
기타 출판본 - 모두 보기
자주 나오는 단어 및 구문
Acte aime amant amour amusant Angélique Araminte Arlequin assez auteurs Baronne beau bientôt Boileau bourgeois caractère charmante Chaussée Chevalier chose Cléanthis Cléon cœur comédie Comédie-Française comique Comte coquette Crispin croit d'Alembert dames Dancourt déclare Destouches Diderot dix-huitième siècle Dorante Dorval dramatique drame Dufresny Éraste esprit famille farce Fausses Confidences femme fille fils folle fortune Frontin gaieté genre gens Géronte goût Gresset homme honnête jeune jouer Joueur jour l'amour l'art l'auteur l'esprit laisse larmoyant Lisette littéraire Lucile lui-même Madame maître maîtresse mariage Marivaux Méchant mêle Ménechme Métromanie Mme Argante Mme Patin mœurs Molière monde morale œuvres Oronte parfois PASQUIN passé passion pathétique père personnages philosophe pièce Piron plaisir Plaute poète pourtant qu'un raison Regnard reste rire rôle Sage Sainville scène VII semble sent sera seul Silvia société songe sort soubrette Strabon style succès talent Tartufe Térence théâtre Théâtre Italien tion tragédie trouve Tufière Turcaret Valère valet Voltaire vrai
인기 인용구
319 페이지 - La tête d'un Langrois est sur ses épaules comme un coq d'église au haut d'un clocher : elle n'est jamais fixe dans un point; et si elle revient à celui qu'elle a quitté, ce n'est pas pour s'y arrêter. Avec une rapidité surprenante dans les mouvements, dans les désirs, dans les projets, dans les fantaisies, dans les idées, ils ont le parler lent.
166 페이지 - Que la nature donc soit votre étude unique , Auteurs qui prétendez aux honneurs du comique. Quiconque voit bien l'homme, et, d'un esprit profond, De tant de cœurs cachés a pénétré le fond; Qui sait bien ce que c'est qu'un prodigue, un avare, Un honnête homme, un fat, un jaloux, un bizarre, Sur une scène heureuse il peut les étaler, Et les faire à nos yeux vivre , agir et parler.
270 페이지 - Connaissez-vous sur l'Hélicon L'une et l'autre Thalie? L'une est chaussée et l'autre non, Mais c'est la plus jolie. L'une a le rire de Vénus, L'autre est froide et pincée : Honneur à la belle aux pieds nus, Nargue de la chaussée.
134 페이지 - ... d'une seule volupté, qui est celle d'acquérir ou de ne point perdre ; curieuses et avides du denier dix ; uniquement occupées de leurs débiteurs ; toujours inquiètes sur le rabais ou sur le décri des monnaies ; enfoncées et comme abîmées dans les contrats , les titres , et les parchemins.
1 페이지 - Sous ce tombeau gisent Plaute et Térence, Et cependant le seul Molière y gît. Leurs trois talents ne formoient qu'un esprit, Dont le bel art réjouissoit la France. Ils sont partis! et j'ai peu d'espérance De les revoir. Malgré tous nos efforts, Pour un long temps, selon toute apparence, Térence et Plaute et Molière sont morts.
251 페이지 - La parenté m'excède, et ces liens, ces chaînes De gens dont on partage ou les torts ou les peines, Tout cela préjugés, misères du vieux temps; C'est pour le peuple enfin que sont faits les parents.
234 페이지 - ... du droit, Plus grave, plus sensé, plus noble qu'on ne croit. La fraude impunément, dans le siècle où nous sommes, Foule aux pieds l'équité, si précieuse aux hommes : Est-il, pour un esprit solide et généreux, Une cause plus belle à plaider devant eux ? Que la fortune donc me soit mère ou marâtre, C'en est fait : pour barreau, je choisis le théâtre ; Pour client, la vertu ; pour lois, la vérité ; Et pour juges, mon siècle et la postérité.
295 페이지 - Je remarque aujourd'hui qu'il n'est plus du bon air D'aimer une compagne à qui l'on s'associe. Cet usage n'est plus que chez la bourgeoisie : Mais ailleurs on a fait de l'amour conjugal Un parfait ridicule , un travers sans égal.
377 페이지 - Oui-da; cela est pardonnable. SILVIA : De beauté et de bonne mine, je l'en dispense: ce sont là des agréments superflus. LISETTE : Vertuchoux ! si je me marie jamais, ce superflu-là sera mon nécessaire.
188 페이지 - Qu'est-ce qu'un philosophe ? Un fou , dont le langage N'est qu'un tissu confus de faux raisonnements ; Un esprit de travers, qui, par ses arguments, Prétend, en plein midi, faire voir des étoiles; Toujours, après, l'erreur , courant à pleines voiles, Quand il croit follement suivre la vérité ; Un bavard, inutile à la société, Coiffé d'opinions , et gonflé d'hyperboles , Et qui , vide de sens , n'abonde qu'en paroles.