Histoire de la poësie françoiseÉditeur non identifié, 1706 - 336페이지 |
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... s'en amufer quelques momens verra que cette Poëfie a été long- tems prefque inconnue ; Qu'elle a fouffert des changemens confide- rables ; Que ce n'est que par les Elle reflexions de plufieurs fiecles , qu'elle a été conduite au point ...
... s'en amufer quelques momens verra que cette Poëfie a été long- tems prefque inconnue ; Qu'elle a fouffert des changemens confide- rables ; Que ce n'est que par les Elle reflexions de plufieurs fiecles , qu'elle a été conduite au point ...
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... s'en effacent plus difficilement , les mots étant comme liez les uns aux autres leur Theologie , leur Philofo- phie , leurs Loix & leurs Coutu mes furent mifes en Vers . Les Perfes s'appliquerent plus- . que tous les autres Poëtes Afia ...
... s'en effacent plus difficilement , les mots étant comme liez les uns aux autres leur Theologie , leur Philofo- phie , leurs Loix & leurs Coutu mes furent mifes en Vers . Les Perfes s'appliquerent plus- . que tous les autres Poëtes Afia ...
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... s'en ' reffentit bien- tôt : elle ne fut plus qu'un amas de pointes recherchées , & fou- vent obfcenes : les Chrétiens , qui en trouvoient la lecture op pofée : aux bonnes mœurs , n'ou blioient rien pour la décrier , & ils fe fervoient ...
... s'en ' reffentit bien- tôt : elle ne fut plus qu'un amas de pointes recherchées , & fou- vent obfcenes : les Chrétiens , qui en trouvoient la lecture op pofée : aux bonnes mœurs , n'ou blioient rien pour la décrier , & ils fe fervoient ...
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... s'en fer- voient pour faire des enchante- mens , qui bien fouvent étoient la reffource inutile des Maris jaloux , & des Amans malheu- reux . * L'imperieufe Rome ne fe contentoit pas d'impofer fes * S . Auguftin , Cité de Dieu . loix aux ...
... s'en fer- voient pour faire des enchante- mens , qui bien fouvent étoient la reffource inutile des Maris jaloux , & des Amans malheu- reux . * L'imperieufe Rome ne fe contentoit pas d'impofer fes * S . Auguftin , Cité de Dieu . loix aux ...
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... s'en étoit peut - être apperçu quand il dit , Je fuis venu , j'ai vu , j'ai vaincu . Dés que la belle Poëfie fut fur fon déclin , les Poëtes qui n'avoient pas affez de génie pour remplir leurs Ou vrages de penfées ingénieufes & de ...
... s'en étoit peut - être apperçu quand il dit , Je fuis venu , j'ai vu , j'ai vaincu . Dés que la belle Poëfie fut fur fon déclin , les Poëtes qui n'avoient pas affez de génie pour remplir leurs Ou vrages de penfées ingénieufes & de ...
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자주 나오는 단어 및 구문
affez agréable ainfi appelloit auffi Auteur avoient avoit beaux Efprits belles bien-tôt aprés Bouts-rimez c'eft c'eſt celebre Chan Chanfons chanter chofe choſe Comédie compofa crire crû d'efprit Defportes Defpreaux déja délors differentes donna donnoit Dulot efpece enfuite Epique eſt Etienne Jodelle étoient étoit faifoient faifoit fans fe font fens fent férieux fervit fes amis fes Ouvrages feul feur fiecle firent foient foin foit fous le nom fouvent fpectacles François Frere Lubin ftile fuite fujets gens d'efprit gloire Grecs Heros ingénieufes jufques l'amour laiffa Latins lefquels long-tems aprés Lully Mademoiſelle merite Moliere Mufes n'avoient n'avoit n'eft naiffance obferva paffa paffions Parnaffe paroître penfée perfonne Phocide Pieces plaifir plufieurs Poë Poëfie Poëme Dramatique Poëtes pofa Pontus de Thyard pouvoit prefenter prefque premiere prit raifon reçû rent reprefentation rimes Ronfard s'étoit Satyres Sonnet tems tems-là Theatre tion toûjours tres veritable vrages
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249 페이지 - Je me flattais toujours d'une espérance vaine, Faisant le chien couchant auprès d'un grand seigneur. Je me vis toujours pauvre, et tâchai de paraître ; Je vécus dans la peine, espérant le bonheur, Et mourus sur un coffre, en attendant mon maître.
113 페이지 - Frère Lubin le fera bien : On a beau dire je le tien, Et le presser de satisfaire. Jamais ne vous en rendra rien, Frère Lubin ne le peult faire.
324 페이지 - Roy parle. A fa parole , Plus vite qu'un trait ne vole , On voit nager nos Guerriers : Et leur ardeur eft fi vive , Que déjà fur l'autre rive Ils ont cueilli des lauriers.
248 페이지 - Coquin! ce me dit-il d'une arrogance extrême! Va chercher tes coquins ailleurs, coquin toi-même! Ici tous sont égaux; je ne te dois plus rien : Je suis sur mon fumier comme toi sur le tien.
118 페이지 - C'étoit donner toute la terre ronde , Car seulement au cœur on se prenoit; Et si par cas à jouir on venoit, Savez-vous bien comme on s'entretenoit ? Vingt ans , trente ans ; cela duroit un monde Au bon vieux temps.
151 페이지 - Cela serait touchant, si l'on y pouvait croire. Il est plus probable que Ronsard fut pris d'ennui ; on le comprend de reste en essayant la lecture du poème. Outre l'absurdité de la conception, le style rebute et fatigue l'attention la plus courageuse. Comment admettre ce héros fantastique, Francus...
301 페이지 - Nous attendions de Chapelain, Ce noble et fameux écrivain, Une incomparable Pucelle. La cabale en dit force bien ; Depuis vingt ans on parle d'elle ; Dans six mois on n'en dira rien.
253 페이지 - L'Aurore déployoit l'or de fa trefle blonde , Et femoit de rubis le chemin du Soleil : Enfin ce Dieu venoit au plus grand appareil Qu'il foit jamais venu pour éclairer le Monde. Quand la jeune Philis au vifage riant , Sortant de fon palais plus clair que l'orient , Fit voir une lumière & plus vive & plus belle.