Pensées théologiques, relatives aux erreurs du temps;De l'Imprimerie de Landriot. Et se trouve à Paris, chez Belin, Libraire, rue Saint-Jacques., 1798 - 372ÆäÀÌÁö |
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xii ÆäÀÌÁö
... cùm sanam doctrinam non susti- nebunt ; sed ad sua desideria coacervabunt sibi magistros , prurientes auribus ; et à veritate quidem auditum avertent , ad fabulas autem convertentur . II Tim . cap . 4 , v . 3 , 4 . ( b ) Nil mortalibus ...
... cùm sanam doctrinam non susti- nebunt ; sed ad sua desideria coacervabunt sibi magistros , prurientes auribus ; et à veritate quidem auditum avertent , ad fabulas autem convertentur . II Tim . cap . 4 , v . 3 , 4 . ( b ) Nil mortalibus ...
4 ÆäÀÌÁö
... cùm calum suspeximus , c©¡lestiaque contemplati sumus , quàm esse aliquod numen pr©¡stantissim©¡ mentis quo h©¡c regantur ? Cic . lib . II , de natura Deorum . r ? pu- VII . Le spectacle de l'univers est un livre blic , ouvert aux ignorans ...
... cùm calum suspeximus , c©¡lestiaque contemplati sumus , quàm esse aliquod numen pr©¡stantissim©¡ mentis quo h©¡c regantur ? Cic . lib . II , de natura Deorum . r ? pu- VII . Le spectacle de l'univers est un livre blic , ouvert aux ignorans ...
42 ÆäÀÌÁö
... Cùm penè omnibus dominaretur gentibus , omnium gen- tium serviebat erroribus ; et magnam sibi videbatur assump- sisse religionem , quia nullam respuebat falsitatem . Sanct . Leo magnus , serm . 1 , natal . apost . Petri et Pauli . VI ...
... Cùm penè omnibus dominaretur gentibus , omnium gen- tium serviebat erroribus ; et magnam sibi videbatur assump- sisse religionem , quia nullam respuebat falsitatem . Sanct . Leo magnus , serm . 1 , natal . apost . Petri et Pauli . VI ...
64 ÆäÀÌÁö
... Cùm itaque rei fortiter instaret Alyp- pius , juvaretque provinci©¡ rector , metuendi globi flamma- rum , prope fundamenta crebris assultibus erumpentes , fecere locum , exustis aliquoties operantibus , inaccessum ; hocque modò elemento ...
... Cùm itaque rei fortiter instaret Alyp- pius , juvaretque provinci©¡ rector , metuendi globi flamma- rum , prope fundamenta crebris assultibus erumpentes , fecere locum , exustis aliquoties operantibus , inaccessum ; hocque modò elemento ...
71 ÆäÀÌÁö
... cùm se ad ©¡ternam ignis condemnationem proficisci sciret , sed sese omninò contineret ac virtute exornaret , tum ad bona quae à Deo promittuntur consequenda , tum adfugienda supplicia . Neque enim qui peccant , ii , propter positas à ...
... cùm se ad ©¡ternam ignis condemnationem proficisci sciret , sed sese omninò contineret ac virtute exornaret , tum ad bona quae à Deo promittuntur consequenda , tum adfugienda supplicia . Neque enim qui peccant , ii , propter positas à ...
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apôtres autem autorité avoit bened caractère de divinité catholica choses chré Christ c©«ur concile connoissance connoître crime croire culte cùm d©¡mones déisme déiste Deus dicit Dieu dieux disoit doctrine dogmes doit ecclesia edit enfans enim Ephes epist esprits forts etiam étoient étoit etsi évêques Ézéchias fidelles fides foiblesse Greg h©¡c hérésies hérétiques Hieron hommes humain impies incrédules Jean-Jacques Rousseau Jesus Jesus-Christ juger l'église catholique l'erreur l'esprit l'évangile l'homme lois Marcion matière ment miracles m©«urs monde mystères nature nemo Nestorius nihil nisi nolite omnes omnia Ouï parole pasteurs penser père personne peuple philosophes pontife potest preuves prince principes prophète puissance qu'un qu©¡ quàm quandò quid quis quod raison reconnoître religion chrétienne révélation sagesse saint Augustin saint Jérôme sauroit sens sentimens serm seroit seul Socrate sunt super témoignage Tertull Tertullien tion tolérantisme verbis veritatis vérité verò VIII vraie religion XVII XXII
Àαâ Àο뱸
88 ÆäÀÌÁö - Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire ? Quelle douceur, quelle pureté dans ses m©«urs, quelle grâce touchante dans ses instructions, quelle élévation dans ses maximes, quelle profonde sagesse dans ses discours, quelle présence d'esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses, quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation...
89 ÆäÀÌÁö - La mort de Socrate, philosophant tranquillement avec ses amis, est la plus douce qu'on puisse désirer: celle de Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate, prenant la coupe empoisonnée, bénit celui qui la lui présente et qui pleure; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
223 ÆäÀÌÁö - Le n©«ud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.
69 ÆäÀÌÁö - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
37 ÆäÀÌÁö - Un prince qui aime la religion et qui la craint est un lion qui cède à la main qui le flatte ou à la voix qui l'apaise; celui qui craint la religion et qui la hait est comme les bêtes sauvages qui mordent la chaîne qui les empêche de se jeter sur ceux qui passent; celui qui n'a point du tout de religion est cet animal terrible qui ne sent sa liberté que lorsqu'il déchire et qu'il dévore.
88 ÆäÀÌÁö - Quand Platon peint son juste imaginaire, couvert de tout l'opprobre du crime et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie , et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
354 ÆäÀÌÁö - Sous le hautain prétexte qu'eux seuls sont éclairés, vrais, de bonne foi, ils nous soumettent impérieusement à leurs décisions tranchantes, et prétendent nous donner pour les vrais principes des choses les inintelligibles systèmes qu'ils ont bâtis dans leur imagination.
90 ÆäÀÌÁö - Mon ami, ce n'est pas ainsi qu'on invente ; et les faits de Socrate, dont personne ne doute, sont moins attestés que ceux de Jésus-Christ.
88 ÆäÀÌÁö - Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe, qu'ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre à la fois si sublime et si simple soit l'ouvrage des hommes? Se peut-il que Celui dont il fait l'histoire , ne soit qu'un homme lui-même? Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire?
354 ÆäÀÌÁö - Du reste, renversant, détruisant, foulant aux pieds tout .ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux...