Dictionnaire portatif des poètes franc̜ais morts depuis 1050 jusqu'à 1804: précédé d'une histoire abrégée de la poésie franc̜aiseCapelle et Renand, 1805 - 464ÆäÀÌÁö |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
93°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
xi ÆäÀÌÁö
... chansons : il est im- possible dé n'en omettre aucun . Ceux même qui ont donné leurs re- cueils au public ne sont souvent pás moins obscurs : où trouver des détails sur le capitaine Lasphrise , par exem- ple , sur l'auteur de la Muse ...
... chansons : il est im- possible dé n'en omettre aucun . Ceux même qui ont donné leurs re- cueils au public ne sont souvent pás moins obscurs : où trouver des détails sur le capitaine Lasphrise , par exem- ple , sur l'auteur de la Muse ...
21 ÆäÀÌÁö
... distraire , des soldats pour s'animer aux combats , des buveurs pour s'exciter et s'égayer sons la treille , ont dû , sans avoir de modèles , faire des chansons où 1 la rime tenait lieu de raison et de poésie . DE LA POÉSIE FRANÇAISE . 21.
... distraire , des soldats pour s'animer aux combats , des buveurs pour s'exciter et s'égayer sons la treille , ont dû , sans avoir de modèles , faire des chansons où 1 la rime tenait lieu de raison et de poésie . DE LA POÉSIE FRANÇAISE . 21.
27 ÆäÀÌÁö
... chansons , les fêtes que donnaient les souverains à leurs vassaux , et les chevaliers à leurs dames . Pour rendre ces solennités plus complettes les jongleurs se joignaient aux Troubadours , et remplissaient ,. par leurs tours , leurs ...
... chansons , les fêtes que donnaient les souverains à leurs vassaux , et les chevaliers à leurs dames . Pour rendre ces solennités plus complettes les jongleurs se joignaient aux Troubadours , et remplissaient ,. par leurs tours , leurs ...
28 ÆäÀÌÁö
... chansons de ces Orphées de Provence ou de Languedoc ne roulèrent que sur l'Amour : ils agitaient même des questions de galanterie ; et ces sortes de pièces de vers se nommaient tensons . On les appelait retrouanges , si elles étaient à ...
... chansons de ces Orphées de Provence ou de Languedoc ne roulèrent que sur l'Amour : ils agitaient même des questions de galanterie ; et ces sortes de pièces de vers se nommaient tensons . On les appelait retrouanges , si elles étaient à ...
31 ÆäÀÌÁö
... chansons galantes : Tel fut , sous Philippe - Auguste , cet Hely- nand , d'abord homme de cour , puis moine de Citeaux , duquel il ne nous reste d'important que son poème sur la Mort : Tel fut encore , sous Saint - Louis , ce DE LA ...
... chansons galantes : Tel fut , sous Philippe - Auguste , cet Hely- nand , d'abord homme de cour , puis moine de Citeaux , duquel il ne nous reste d'important que son poème sur la Mort : Tel fut encore , sous Saint - Louis , ce DE LA ...
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
abbé âgé aimable aime Almanachs des Muses amour assez auteur avocat beauté beaux belle Boileau Caen çaise célèbre chansons chants Charles Charles IX charmes c©«ur comédies comte contes Corneille couplets dame desirer écrits épigrammes Epitre épîtres esprit fables faibles femme fit imprimer fleurs Fontaine Fontenelle François Ier genre gens goût Harpe Henri Henri IV heureux homme intitulé JEAN jésuite Jeux Floraux jolies jour L'abbé MASSIEU l'Académie fran l'Académie française l'ami l'Amour l'auteur l'esprit laissé Landine latins long-tems Louis Louis XIV Lyon madame mademoiselle madrigaux Malherbe Marot médiocres mérite mieux Molière mort mourut Muses naquit odes ouvrages parlement Parnasse patrie père pièces de théâtre PIERRE plaisir poème poésie poésie française poète poétiques prose provençal Provence quatrains Racine recueil rien rimes rimeur roman Ronsard Rouen satires seul siècle sonnets souvent stances style succès syllabes talent tems teur tion titre Toulouse tragédies Troubadours trouve versification vivait Voltaire
Àαâ Àο뱸
47 ÆäÀÌÁö - Villon sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers.
374 ÆäÀÌÁö - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque.
63 ÆäÀÌÁö - La troupe de leurs nourrissons ; Tous leurs v©«ux seront de te plaire ; Et si ta faveur tutélaire Fait signe de les avouer, Jamais ne partit de leurs veilles Rien qui se compare aux merveilles Qu'elles feront pour te louer.
342 ÆäÀÌÁö - L'astre éclatant de l'univers. Cris impuissants ! fureurs bizarres ! Tandis que ces monstres barbares Poussaient d'insolentes clameurs, Le dieu, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs.
61 ÆäÀÌÁö - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir.
282 ÆäÀÌÁö - Las d'espérer et de me plaindre Des muses, des grands, et du sort, C'est ici que j'attends la mort, Sans la désirer ni la craindre.
20 ÆäÀÌÁö - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
401 ÆäÀÌÁö - Pour mériter un cachet si joli, Si bien gravé, si brillant, si poli, II faudrait avoir, ce me semble, Quelque joli secret ensemble ; Car enfin les jolis cachets Demandent de jolis secrets, Ou du moins de jolis billets ; Mais comme je...
61 ÆäÀÌÁö - L'art de faire des vers, dût-on s'en indigner, Doit être à plus haut prix que celui de régner.
265 ÆäÀÌÁö - L'Aurore déployait l'or de sa tresse blonde Et semait de rubis le chemin du Soleil; Enfin ce dieu venait au plus grand appareil Qu'il soit jamais venu pour éclairer le monde : Quand la jeune Philis au visage riant, Sortant de son palais plus clair que l'Orient, Fit voir une lumière et plus vive et plus belle. Sacré flambeau du jour n'en soyez point jaloux; Vous parûtes alors aussi peu devant elle Que les feux de la nuit avaient fait devant vous.