Petite encyclopédie poétique; ou, Choix de poésies dans tous les genres, 14±ÇCapelle et Cie., 1805 |
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recueil , ou dont les poésies sont peu répandues . Heureux si par - là nous avons trouvé le secret de diminuer la sécheresse de notre ouvrage , et de le faire parcourir avec une sorte d'agré- ment ! Plusieurs Français paraissent avoir ...
recueil , ou dont les poésies sont peu répandues . Heureux si par - là nous avons trouvé le secret de diminuer la sécheresse de notre ouvrage , et de le faire parcourir avec une sorte d'agré- ment ! Plusieurs Français paraissent avoir ...
18 ÆäÀÌÁö
... heureux mélange , pour communiquer à leurs vers plus de légèreté ou plus d'harmo- nie . M. l'abbé d'Olivet , dans sa Prosodie française , a fait sur ces tems de nos syllabes des observations qui ont plus de finesse que d'utilité ...
... heureux mélange , pour communiquer à leurs vers plus de légèreté ou plus d'harmo- nie . M. l'abbé d'Olivet , dans sa Prosodie française , a fait sur ces tems de nos syllabes des observations qui ont plus de finesse que d'utilité ...
35 ÆäÀÌÁö
... heureux d'une vieille femme qui devient l'amie d'un jouvenceau , ou d'un vieillard qui a une jeune amie ? ... Vaut - il mieux avoir pour maîtresse une femme ou une demoiselle ? Quel est le signe d'amour le plus expressif , serrer DE LA ...
... heureux d'une vieille femme qui devient l'amie d'un jouvenceau , ou d'un vieillard qui a une jeune amie ? ... Vaut - il mieux avoir pour maîtresse une femme ou une demoiselle ? Quel est le signe d'amour le plus expressif , serrer DE LA ...
57 ÆäÀÌÁö
... heureux , et mérita le titre de père du peuple , laissant à Fran- çois Ier celui de père des savans . Ce dernier règne fut la véritable époque de la régénération de notre poésie . M. l'abbé Massieu parle ainsi des rimeurs qui avaient ...
... heureux , et mérita le titre de père du peuple , laissant à Fran- çois Ier celui de père des savans . Ce dernier règne fut la véritable époque de la régénération de notre poésie . M. l'abbé Massieu parle ainsi des rimeurs qui avaient ...
60 ÆäÀÌÁö
... heureux , les pensées fines , le ba- dinage du meilleur ton , et la morale assai- sonnée de ce sel qui lui ôte sa fadeur.Boileau , après avoir dit : Marot bientôt après fit fleurir les ballades , Tourna des triolets , rima des ...
... heureux , les pensées fines , le ba- dinage du meilleur ton , et la morale assai- sonnée de ce sel qui lui ôte sa fadeur.Boileau , après avoir dit : Marot bientôt après fit fleurir les ballades , Tourna des triolets , rima des ...
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209 ÆäÀÌÁö - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
63 ÆäÀÌÁö - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir.
20 ÆäÀÌÁö - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
60 ÆäÀÌÁö - Marot bientôt après fit fleurir les ballades, Tourna des triolets, rima des mascarades, A des refrains réglés asservit les rondeaux Et montra pour rimer des chemins tout nouveaux. Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque.
266 ÆäÀÌÁö - Quand vos lumières étoient calmes, Permettez-lui de vous guérir, Et ne différez point les palmes Qu'il brûle de vous acquérir. Le temps d'un insensible cours, Nous porte à la fin de nos jours; C'est à notre sage conduite, Sans murmurer de ce défaut, De nous consoler de sa fuite, En le ménageant comme il faut.
284 ÆäÀÌÁö - Las d'espérer et de me plaindre Des muses, des grands, et du sort, C'est ici que j'attends la mort, Sans la désirer ni la craindre.
382 ÆäÀÌÁö - Dieux, allez leur prescrire Le mouvement et le repos. Tenez-les renfermés chacun dans son empire. Coulez, ondes, coulez. Volez, rapides feux. Voile azuré des airs, embrassez la nature. Terre, enfante des fruits, couvre-toi de verdure. Naissez, mortels, pour obéir aux dieux.
65 ÆäÀÌÁö - La troupe de leurs nourrissons ; Tous leurs v©«ux seront de te plaire ; Et si ta faveur tutélaire Fait signe de les avouer, Jamais ne partit de leurs veilles Rien qui se compare aux merveilles Qu'elles feront pour te louer.
63 ÆäÀÌÁö - L'art de faire des vers, dût-on s'en indigner, Doit être à plus haut prix que celui de régner.
103 ÆäÀÌÁö - Les Cieux inexorables Me sont si rigoureux, Que les plus misérables Se comparant à moi se trouveraient heureux.