La prise des Annonciades. Épître sur la Révolution. Prospectus d'un Journal en vaudevillesImprimé à Wolfenbuttel, chez la veuve Bindseil et fils, 1796 - 199ÆäÀÌÁö |
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... Barentin de l'asile où on le sup- posait caché . Quatre cent hommes de la Garde Nationale lui furent confiés ; et dès que la nuit fut venue , il fit investir et forcer le Couvent , dans lequel , après une visite aussi scrupuleuse qu ...
... Barentin de l'asile où on le sup- posait caché . Quatre cent hommes de la Garde Nationale lui furent confiés ; et dès que la nuit fut venue , il fit investir et forcer le Couvent , dans lequel , après une visite aussi scrupuleuse qu ...
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... 'ombré , tout à coup , s'est offert à ma vue » Un homme gros et court , que d'un coup d'©«il certain ; J'ai reconnu d'abord pour Monsieur Barentin . 60 ,, Un ,, Un chapeau rabattu couvrait sa large face . ,, CHANT H. 745.
... 'ombré , tout à coup , s'est offert à ma vue » Un homme gros et court , que d'un coup d'©«il certain ; J'ai reconnu d'abord pour Monsieur Barentin . 60 ,, Un ,, Un chapeau rabattu couvrait sa large face . ,, CHANT H. 745.
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... Barentin ,, Dispose de Paris , et commande au destin . ,, Il dit ; et ses regards réveillant leurs courages , Un rayon d'espérance anime leurs visages . Bailly même revient de son saisissement . Braves amis , dit - il , procédons ...
... Barentin ,, Dispose de Paris , et commande au destin . ,, Il dit ; et ses regards réveillant leurs courages , Un rayon d'espérance anime leurs visages . Bailly même revient de son saisissement . Braves amis , dit - il , procédons ...
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... Barentin , que l'on dut immoler , ,, Au devant de sa perte avait osé voler ; „ Si ce Visir , obscur , dont le nom seul m'outrage , „ D'un régime proscrit osait tenter l'usage ; ,, Enfin si cette Cour , que j'epargne à regret ...
... Barentin , que l'on dut immoler , ,, Au devant de sa perte avait osé voler ; „ Si ce Visir , obscur , dont le nom seul m'outrage , „ D'un régime proscrit osait tenter l'usage ; ,, Enfin si cette Cour , que j'epargne à regret ...
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... Barentin . ( Vers 55. ) " Dans le fond du Marais , non loin de ce faubourg , Où le Patriotisme a fixé son séjour . " 3 Le Couvent des Annonciades était situé dans le Quartier de Paris qu'on nomme le Ma- rais , et dans la Rue Culture Ste ...
... Barentin . ( Vers 55. ) " Dans le fond du Marais , non loin de ce faubourg , Où le Patriotisme a fixé son séjour . " 3 Le Couvent des Annonciades était situé dans le Quartier de Paris qu'on nomme le Ma- rais , et dans la Rue Culture Ste ...
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Abbesse amour Aoust Assemblée Nationale assez aujourdhuy avaient avons Bailly Barentin Barnave Bastille bataille de Bouvines bras C'était CHANT Charles de Lameth charmes chateau Chimène Citoyen c©«ur Comité des Recherches connaitre connû Corny Coté courage Courtille crime crû Députés dit-il Duc d'Orléans Duport Enfin Factieux fameux Fayette fidèle FIN DES NOTES Garde Nationale Goupil gout grace guerriers Guillotin Hélas Henriade Héros heureux homme jamais Jean le Blanc jour JOURNAL EN VAUDEVILLES L'Abbesse l'air l'Amour l'Assemblée Nationale l'Hotel laisse longtems Louis Louis XVI main Maire maitre maitresse Mathieu Mathieu de Montmorency ment Messieurs Mirabeau Motion NOTES ET VARIANTES obscur paraitre parlant Parodie parû Patriotisme penser Péthion Peuple Philippe de Dreux plaisirs pluspart plustôt Poëme des Annonciades Premier Couplet Président Reubell Révolution ridicule rivaux Robespierre role Royal Séance secret seul soldats sureté talents Target tems teur trembler trône voix yeux zèle
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69 ÆäÀÌÁö - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple...
126 ÆäÀÌÁö - Des assassins trop lents il veut hâter les coups : Aux pieds de ce Héros il les voit trembler tous. A cet objet touchant lui seul est inflexible ; Lui seul, à la pitié toujours inaccessible, Aurait cru faire un crime, et trahir Médicis, Si du moindre remords il se sentait surpris.
125 ÆäÀÌÁö - Le héros malheureux, sans armes, sans défense, Voyant qu'il faut périr et périr sans vengeance, Voulut mourir du moins comme il avait vécu, Avec toute sa gloire et toute sa vertu.
93 ÆäÀÌÁö - N'écoutons plus ce penser suborneur Qui ne sert qu'à ma peine : Allons, mon bras, sauvons du moins l'honneur, Puisqu'après tout il faut perdre Chimène. Oui, mon esprit s'était déçu : Je dois tout à mon père avant qu'à ma maîtresse ; Que je meure au combat, ou meure de tristesse, Je rendrai mon sang pur, comme je l'ai reçu. Je m'accuse déjà de trop de négligence. Courons à la vengeance, Et, tout honteux d'avoir tant balancé, Ne soyons plus en peine (Puisqu'aujourd'hui mon père est...
125 ÆäÀÌÁö - Les meurtriers surpris sont saisis de respect ; Une force inconnue a suspendu leur rage. " Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs, Que le sort des combats respecta quarante ans. Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne ; J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous.
196 ÆäÀÌÁö - Paris est au roi. Monsieur Guillotin Ce grand médecin, Que l'amour du prochain Occupe sans fin, Un papier en main, S'avance soudain, Prend la parole enfin, Et d'un air bénin : Air de l'Amoureux de quinze ans.
124 ÆäÀÌÁö - C'était à la faveur des ombres de la nuit. De ce mois malheureux l'inégale courière Semblait cacher d'effroi sa tremblante lumière. Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. Soudain de mille cris le bruit épouvantable Vient arracher ses sens à ce calme agréable • II se lève, il regarde, il voit de tous côtés Courir des assassins à pas précipités : II voit briller par-tout les flambeaux et les armes, Son palais embrasé, tout un peuple...
125 ÆäÀÌÁö - A cet air vénérable, à cet auguste aspect, Les meurtriers surpris sont saisis de respect; Une force inconnue a suspendu leur rage. « Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans; Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne.
197 ÆäÀÌÁö - A la façon de Barbari, mon ami C'est un mécanisme nouveau, D'un effet admirable, Je l'ai tiré de mon cerveau Sans me donner au diable. Un décollé de ma façon, La faridondaine, La faridondon, Me dira : Monsieur, grand merci, Biribi.
88 ÆäÀÌÁö - Percé jusques au fond du c©«ur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.