Joseph: tragédie, tirée de l'Ecriture SainteE. Ganeau, 1711 - 75ÆäÀÌÁö |
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ii ÆäÀÌÁö
... étoit poffible que ces Perfonnages le trouvassent ensem- ble ; s'il étoit bien vrai- femblable qu'ils cuffent pû être tous à la fois en ce lieu ; s'ils pouvoient avoir la liberté de s'y parler ; quelle raifon un tel Acteur avoit de ...
... étoit poffible que ces Perfonnages le trouvassent ensem- ble ; s'il étoit bien vrai- femblable qu'ils cuffent pû être tous à la fois en ce lieu ; s'ils pouvoient avoir la liberté de s'y parler ; quelle raifon un tel Acteur avoit de ...
iii ÆäÀÌÁö
... étoit le plus fimple qui eût jamais été mis fur la Scéne ; que cette Piece n'avoit que quatre Acteurs , qu'il n'y avoit point de Femmes , & qu'à proprement parler , ce n'étoit autre chofe qu'un Homme qui fe plaignoit pendant cinq Actes ...
... étoit le plus fimple qui eût jamais été mis fur la Scéne ; que cette Piece n'avoit que quatre Acteurs , qu'il n'y avoit point de Femmes , & qu'à proprement parler , ce n'étoit autre chofe qu'un Homme qui fe plaignoit pendant cinq Actes ...
viii ÆäÀÌÁö
... étoit honteux de pleurer comme un enfant . L'Au- teur doit fe fouvenir avec complaifance des judi- cieufes réflexions que ce grand Prince fit fur tout l'Ouvrage . Combien il admira l'art du Théatre l'enchaînement naturel des Scénes , la ...
... étoit honteux de pleurer comme un enfant . L'Au- teur doit fe fouvenir avec complaifance des judi- cieufes réflexions que ce grand Prince fit fur tout l'Ouvrage . Combien il admira l'art du Théatre l'enchaînement naturel des Scénes , la ...
10 ÆäÀÌÁö
... étoit son esperance ; Il commit à ma foi le foin de fon enfance Je gardois près de lui ce gage bien aimé , Enfant qu'avec amour le Ciel avoit formé ! Trifte objet de l'envie ! Oui , fes freres perfides Ont peut - être conçû des fureurs ...
... étoit son esperance ; Il commit à ma foi le foin de fon enfance Je gardois près de lui ce gage bien aimé , Enfant qu'avec amour le Ciel avoit formé ! Trifte objet de l'envie ! Oui , fes freres perfides Ont peut - être conçû des fureurs ...
11 ÆäÀÌÁö
... étoit trop legitime . Tous ces tendres transports que Jacob me marquoit , Cette extrême bonté dont il me diftinguoit , Jointe au preffentiment de ces fecrets mysteres Qui me devoient un jour élever fur mes Freres , Quand des fonges ...
... étoit trop legitime . Tous ces tendres transports que Jacob me marquoit , Cette extrême bonté dont il me diftinguoit , Jointe au preffentiment de ces fecrets mysteres Qui me devoient un jour élever fur mes Freres , Quand des fonges ...
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affez ainfi Allez ALTESSE SERENISSIME auffi avez avoit AZANETH bonheur c'eft C'eſt caufe ceffe charme cher Benjamin cher Hely Ciel Cinna c©«ur comble Confeil conferver conformément aux Reglemens connoître crime cruels daigne defirs Dieu difcours douleurs doux Duc du Maine Efclave efprit eſt étoit Expofant facrez fainte Providence fang fans fauver fçavez feconde fecours fecrets Feftin fenti fentimens feroit fervir feul fimplicité foins foit fonges font fouhaits foulager fous Freres fuis fujet fupplice fur fon GENEST gloire grace Hebreux helas heureuſe heureux Hiftoire Imprimeurs j'ai Jacob jeune Benjamin JOSEPH Jourdain jours joye JUDA jufte l'Egypte laiffe lieux Loix MADAME Maître malheureux Memphis miferes momens n'avoit n'eft parcequ'il paroît penfer Pere Peuples PHARAON plaifir plûtôt Prefentes premiere puiffant reconnoiffance reffembler reffent refte RUBEN s'il SCENE Seigneur Sereniffime SIMEON Sophocle Sophoneas tems tendreffe THERMUTIS THIAMIS toûjours Tragedie tranfporté trifte trifteffe trouble verité yeux
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viii ÆäÀÌÁö - LaiiTez-moi, difoit-il , le loifir de » pleurer : il faut que je me remette , je » ne fuis plus en état d'écouter.
5 ÆäÀÌÁö - H fert fans cefTe un Dieu différent de nos Dieux. ' Toujours de ce grand Dieu racontant les merveilles , II enchante mon c©«ur, il charme mes oreilles , Mon ame, qu'il attache, y trouve mille appas, Et reflênt des douceurs qu'elle ne conçoit pas ! THERMUTIS.
iv ÆäÀÌÁö - Cette traduction imparfaite , informe , faite fur le champ ,& fi fort au-deffous des beautez de l'original , tranfporta d'admiration tout l'Auditoire. Vous n'avez pas oublié , Madame , que tout y. pleura du commencement jufqu'à la fin , & que je fus obligé de m'interrompre plus d'une fois , pour donner tems aux applaudiflemcns.
viii ÆäÀÌÁö - Prince nous fit remarquer. Ce » feroit , Madame , une Poétique , peut» être plus utile que plufieurs volumes » faits par les Maîtres de l'Art. Que ne » nous dit-il point fur les narrations inté...
20 ÆäÀÌÁö - Souvent le peuple voit élever à fes yeux Des colofles d'orgueil, des monftres odieux, Dont la fière grandeur, les titres magnifiques , Sont triflement formés des misères publiques.