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,, cun; il fe retira à la Cour de M. le Duc de Parme, qui lui accorda l'Intendance de fa Mai,, fon, mais la mort de ce Prince a produit fon ,, retour, finon au Théâtre, du moins en Fran,, ce nous avons fait mention ailleurs de fa fem ,, me Flaminia & de fon fils. Licoris. par un Anonime. Lidere. Comédie de Hardy.

Ligdamon & Lydias, ou la Reffemblance. T C. in 8°. 1631. C'eft la premiere piéce de Théâtre de M. Scudery, qui dans fa Préface pour demander grace pour ce coup d'effai, fe donne pour ce qu'on appelle un homme au poil & à la plume.,, J'ai ,, paffé, dit-il, plus d'années parmi les armes que d'heures dans mon cabinet & beaucoup plus ufé de meches en arquebufe qu'en chandelle, de,, forte que je fçai mieux ranger les Soldats que les paroles, & mieux quarrer les bataillons que ,, les periodes. «Sans cette Préface auroit-on crû que M. Scudery eût été un si brave Capitaine en fa jeuneffe.

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Lifandre & Callifte, Tragi-Comedie de M. du Ryer
in 8°. 1632.

La Lifimene. par de Cofte en 1632. la Lifimene. de
Rotrou.

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La Lifimene, ou l'Hureufe tromperie. T C. de M.
l'Abbé de Boifrobert 1633.

Lifimene, ou la Jeune Bergere. Paftorale de Claude
Boyer en 1672.

Les Loix d'amour. C. par M. de Souhait en 1599.
Le Lot fuppofé. C. en trois Actes de Vers, par M.
du Frefny au Théâtre François.

La Lotterie. C. du fieur d'Ancour en trente-deux
Scenes de Profe, joüée au mois de Juilllet 1697.
Ce qui donna occasion à cette petite Comédie,

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fut la Lotterie du fieur Fagnani Marchand brochanteur,laquelle quoique toute composée de lots ou billets noirs, fut cependant plus lucrative pour celui qui la fit que pour ceux qui y mirent. La Lotterie de Scapin. C. en trois A&tes très longs en Profe. Cette piéce fe trouve dans une nouvelle allegorique intitulée Moliere aux Champs Elizées, imprimée à Lyon en 1694. avec une lettre de Cardan écrite des Champs Elizées.

Zubin, ou le Sot vangé. petite Comedie du fieur Poiffon l'ancien, elle eft en Vers de quatre pieds en 1661.

Lucelle. TC. en Profe Françoise en trois Actes, par Loys le Jars Secretaire du Roy en fa Chambre, imprimée à Paris en 1580.

Lucidan, ou le Heraut d' Armes. par Scudery. Lucrece, ou l' Adultere punie. T, de Hardy en 1628. il y trois autres Tragedies de Lucrece; la premiere de M. Chevrau en 1637. la feconde de M. Ryer en 1638. & la derniere eft intitulée la Mort de Lucrece. par un Anonime.

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Lucrere. T. de Nicolas Filleul 1566.,, Cet Auteur ,,a de plus compofé une Tragedie d'Achilles & la Comédie des Ombres & d'autres poëfies entr'autres les Nayades en quatre églogles; il a ,, auffi donné plufieurs poëfies Latines fous le nom de Nicolaus Fillellius Quercetanus. Il étoit de Rouen & vivoit vers les années 1565. & 1580. Le Lutin amoureux. C. en trois Actes joüée au Théâtre Italien en 1722. Cette même piéce fous le titre de Spinette Lutin amoureux avoit été joüée en 1697. fur l'ancien Théâtre Italien.

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Lyncée. T. de M. l'Abbé Abeille représentée en 1678. fur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne. Voyez Hypermenestre.

Lyon Marchand. 1541. par Barthelemy Anceau.

M.

La Machabée, ce fujet tiré de l'Ecriture Sainte a été traité en deux Tragedies par Jean Virey fieur du Gravier en 1596. l'une fous le titre, la Machabée, ou Martyre des fept freres. & l'autre sous celui de la Victoire des Machabées fur Antiochus. Les Machabées. T. de M. de la Motte, représentée pendant le Carême de l'année 1721. l'Auteur n'ayant pas jugé à propos de fe découvrir dans les premieres représentations; le merite de cette piéce mit en cervelle les critiques, & plufieurs connoiffeurs s'imaginerent qu'au moins les trois premiers Actes ne pouvoient être que de feu M. Racine.

Une chofe extraordinaire qu'on vit dans l'execution de cette piéce, fut le rolle d'un enfant, qui fut rempli & bien executé par le vieil Baron en tocquet & en manches pendantes, quoique ce Comédien eût alors foixante dix ans. Sur la fin de la même année, c'est-à-dire, au mois de Decembre, il fut donné une autre Tragedie des Machabée, ou Antiochus. de la compofition de M. l'Abbé Nadal. Madame Artus. C. en cinq Actes du fieur d'Ancour, c'eft la feule pièce qu'il ait compofé en Vers Alexandrins. Plufieurs perfonnes connuës étoient caracterisées dans cette Comédie 1708. Madame Fobin. Voyez la Devinereffe. Mademoiselle de Sçai au Bord... C. fatyrique par P. Corneille de Bleffebois en 1676. qui a auli donné Eugenie & la Corneille. Madonte, T. par M. Dauvray 1631.

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La Magie fans magie. C. de M. Lambert joüée à
l'Hôtel de Bourgogne en 1660.
Le Magnifique. Voyez l'Italie galante.
Maguelone. T. de Sylvius en 1673.

Mahomet fecond Empereur des Turcs. T. de M. de Chateaubrun en 1714.

La Maison de campagne. C. du fieur d'Ancour en trente-trois Actes de Profe jouée au mois d'Août 1688.

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Le Malade imaginaire. C. de Moliere en trois Aceş de Profe mêlés de danse & de Mufique, dont les airs étoient de M. Charpentier. Elle fut reprefentée pour la premiere fois fur le Théâtre du Palais Royal le dix Fevrier 1673. on prétend que le troifiéme intermede qui eft la céremonie burlefque de la reception d'un Médecin en Latin Macaronique, n'étoit pas de Moliere, mais d'un Médecin de fes amis nommé M. Mauvillain.,, Cette Comédie eft la derniere de cet illuftre Auteur, ,, qui dans une de ses représentations fut fuffoqué d'un crachement de fang dont il mourut quel», ques heures après le 17. Fevrier 1673. âgé felon les uns de cinquante-un ans fix mois & fe,, lon d'autres de cinquante-trois ans: comme la vie de M. Moliere par M. de Grimarest est imprimée à la tête de fes œuvres, nous nous con,, tenterons d'observer que fon vrai nom étoit Jean Baptifte Pocquelin, & qu'il étoit fils d'un Tapiffier valet de chambre du Roy, & de rap,, porter les vingt-neuf piéces imprimées en fon Théâtre fuivant leur ordre chronologique. l'E5, tourdy. le Dépit amoureux. les Précieuses ridicules. le Cocu imaginaire. l'Ecole des maris. l'Ecole des femmes. la Critique de cette pièce. la Princeffe d'Elide. le Mariage forcé. l'Amour Medecin.

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Medecin, le Misantrope. le Medecin malgré lui, le Sicilien. Amphitrion. Avare. George-Dandin, le Tartufe, le Pourceaugnac le Bourgeois Gentilhomme, les Fourberies de Scapin. Pfiché, les Femmes fçavantes. Dom Garcie de Navarre. ,, le Feftin de Pierre. PImpromptu de Versailles. Melicerte, les Amans Magnifiques. la Comteffe ,, d'Efcarbagnas. &le Malade Imaginaire.. La mort de Moliere apporta du changement ,, aux Théâtres; la Salle du Palais Royal que fa ,, Troupe occupoit depuis l'année 1661. fut accordée à M. Lully pour y repréfenter fes Ope,, ra, & les Comédiens du Roy de la Troupe

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de Moliere ayant fait fupprimer le Théâtre du ,, Marais, s'accommoderent au mois de Juillet de la même année 1673. du Théâtre de la rue Mazarine vis-à-vis celle de Guenegaud, qui ,, auparavant fervoit aux repréfentations des Ope,, ra. Sept ans après, c'est-à-dire, en 1680. il fut fait encore un autre changement aux Théâ,, tres, par la réunion de la Troupe Françoife de l'Hôtel de Bourgogne à cette Troupe du ,, Roy de la rue Mazarine, & les deux Troupes ,, réunies continuerent leurs représentations fur ce Théâtre de la rue Mazarine, mais s'y trou,, vant trop ferrés, & manquant de la plus grande ,, partie des lieux qui leur étoient néceffaires ; ils

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acheterent le jeu de Paulme de l'Etoile & quel,, ques maifons voisines en la rue des Foffez Saint Germain, où ils ont fait bâtir un Théâtre & se tous les accompagnemens dont ils peuvent avoir besoin, ils vinrent l'occuper en l'année 1688. & y ont continué leurs représentations jusqu'à ,, ce jour.

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La Malade fans maladie. C. de M. Dufreny en cinq

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