L'enfant, 19±Ç

¾ÕÇ¥Áö
Plon, Nourrit, 1896
 

¼±ÅÃµÈ ÆäÀÌÁö

ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®

Àαâ Àο뱸

154 ÆäÀÌÁö - Dur et colère jusqu'aux derniers emportements et jusque contre les choses inanimées ; impétueux avec fureur, incapable de souffrir la moindre résistance, même des heures et des éléments, sans entrer dans des...
154 ÆäÀÌÁö - Ce prince, héritier nécessaire, puis présomptif, de la couronne, naquit terrible, et sa première jeunesse fit trembler. Dur et colère jusqu'aux derniers emportements, et jusque contre les choses inanimées; impétueux avec fureur, incapable de...
220 ÆäÀÌÁö - J'interroge ma s©«ur; elle ne savait rien. Le lendemain à huit heures du matin on m'envoie chercher. Je descends : mon père m'attendait dans son cabinet. « Monsieur le chevalier, me dit-il, il faut renoncer à vos folies. Votre frère a obtenu pour vous un brevet de souslieutenant au régiment de Navarre. Vous allez partir pour Rennes, et de là pour Cambrai. Voilà cent louis; ménagezles.
221 ÆäÀÌÁö - Il commençait d'être attaqué d'une paralysie; elle le conduisit au tombeau; son bras gauche avait un mouvement convulsif qu'il était obligé de contenir avec sa main droite. Ce fut en retenant ainsi son bras et après m'avoir remis sa vieille épée, que sans me donner le temps de me reconnaître, il me conduisit au cabriolet qui m'attendait dans la Cour Verte. Il m'y fit monter devant lui. Le postillon partit, tandis que je saluais des yeux ma mère et ma s©«ur qui fondaient en larmes sur le...
156 ÆäÀÌÁö - ... comporter, humble et austère pour soi. Tout appliqué à ses devoirs et les comprenant immenses, il ne pensa plus qu'à allier les devoirs de fils et de sujet avec ceux auxquels il se voyait destiné.
279 ÆäÀÌÁö - Il y en a eu de peintes par de bons peintres, entre autres par M. Boucher, un des plus fameux de l'Académie, et se vendoient cher.
217 ÆäÀÌÁö - Il se fit des amis du premier ordre qui le prônèrent : les dames à la mode, à qui il ne déplaisoit pas (car il étoit jeune, vigoureux, enjoué et poli autant qu'on le peut être), le prirent sous leur protection ; quelques-unes eurent soin de l'habiller, d'autres lui donnèrent de l'argent : il joua, il fut heureux. L'abondance régnoit parmi les courtisans, les financiers aimoient le jeu passionnément, etjouoient en dupes : il n'en fallut pas davantage pour qu'un Gascon aussi délié que...
148 ÆäÀÌÁö - Dieu lui avait donné assez pour être un bon roi, et peutêtre même un assez grand roi. Tout le mal lui vint d'ailleurs. Sa première éducation fut tellement abandonnée, que personne n'osait approcher de son appartement.
82 ÆäÀÌÁö - Ce fut une. affaire qui me donna bien de la peine. Elle logea chez une de mes amies, laquelle s'employa de bon c©«ur pour elle. Elle me prioit aussi d'y faire ce que je pourrois. Je voyois son enfant extrêmement menue; mais elle estoit appropriée à son advantage, de sorte que la har paroit le fagot. Quand l'on m'en parloit, je ne pouvois respondre gayement, à cause que sa nourriture ne m'agréoit guères.
272 ÆäÀÌÁö - ... par le moyen d'une petite détente cachée dans la bordure : on avait aussitôt un tableau ordinaire et fixe; et si on retouchait la petite boule, tout reprenait où il avait fini.

µµ¼­ ¹®ÇåÁ¤º¸