Les sonneurs de sonnets: 1540-1866Bachelin-Deflorenne et eie, 1885 - 157ÆäÀÌÁö |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
7°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
19 ÆäÀÌÁö
... admiration pour lui , en citant quelques - uns de ses divins sonnets , que j'ai entrepris cette Etude sur ses frères en Apollon , ses rivaux de gloire , qu'il dépasse de toute la hauteur de sa tête enramée de lauriers . Notre génération ...
... admiration pour lui , en citant quelques - uns de ses divins sonnets , que j'ai entrepris cette Etude sur ses frères en Apollon , ses rivaux de gloire , qu'il dépasse de toute la hauteur de sa tête enramée de lauriers . Notre génération ...
31 ÆäÀÌÁö
... admiration réfractaire à ce Messie poétique chanté par Despréaux . A mes risques et périls je déclare n'avoir jamais pu me faire à aucune de ses odes , pas même à l'ode sur la mort de Henri IV , pas même à l'ode à son ami Duperrier ...
... admiration réfractaire à ce Messie poétique chanté par Despréaux . A mes risques et périls je déclare n'avoir jamais pu me faire à aucune de ses odes , pas même à l'ode sur la mort de Henri IV , pas même à l'ode à son ami Duperrier ...
58 ÆäÀÌÁö
... admirable , non pas à cause de sa forme générale , mais rien qu'à cause des deux vers qui la terminent , c'est le sonnet suivant de Théophile de Viau : Courtisans qui passez vos iours dans les delices , Qui n'esloignez iamais la demeure ...
... admirable , non pas à cause de sa forme générale , mais rien qu'à cause des deux vers qui la terminent , c'est le sonnet suivant de Théophile de Viau : Courtisans qui passez vos iours dans les delices , Qui n'esloignez iamais la demeure ...
69 ÆäÀÌÁö
... admirable cette meil- leure , qui est de Voiture : je ne veux pas vous faire prendre en horreur le sonnet . Avant Voiture , Méziriac << un des plus savants hommes » du siècle avait dit : -- Vous levant si matin vous troublez tout le ...
... admirable cette meil- leure , qui est de Voiture : je ne veux pas vous faire prendre en horreur le sonnet . Avant Voiture , Méziriac << un des plus savants hommes » du siècle avait dit : -- Vous levant si matin vous troublez tout le ...
83 ÆäÀÌÁö
... admiration pour Voiture , que M. Cousin a appelé un peu imprudemment le Voltaire de l'Hôtel de Rambouillet ; qu'une médiocre admiration aussi pour Benserade , et je n'ai parlé longue- ment de leurs sonnets que parce qu'il était ...
... admiration pour Voiture , que M. Cousin a appelé un peu imprudemment le Voltaire de l'Hôtel de Rambouillet ; qu'une médiocre admiration aussi pour Benserade , et je n'ai parlé longue- ment de leurs sonnets que parce qu'il était ...
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
admiration adorable ¨¡gidius aimable aime amant âme amour Balzac beauté beaux esprits Bellay belle Provençale Benserade Bouche ceste chante Charles Asselineau charmante cher chose ciel cieux citer Clément Marot c©«ur Delatouche Desbarreaux Desportes Dieu Dieux dire divin sonnet Doguine doux duchesse estoit eût Félix Arvers femme fleurs François de Maynard galant Gilles Ménage gloire Guillaume Colletet homme j'ai J'aime j'en Jean Bertaut Jean Dorat Jobelins Joséphin Soulary jour l'amour l'auteur lauriers littéraire Longueville Louise Labé m'en main maîtresse Malherbe Maynard mesme mieux Molière monde mort Murger Muse n'ai parfum parler passé pensée Philippe Desportes Philis plaisir pleure poëme poésie poëte poëte lyonnais qu'un quoy raison Regnard Remy Belleau rien Ronsard roses Saint-Évremond Sainte-Beuve sais Scalion de Virbluneau sentiment sera seul sieur de Porchères soleil sonnet d'Arvers sonnet d'Uranie Sonnets humouristiques sonneurs de sonnets Théophile Uranie Uranins Vallière veux vieux Voiture XVIIe siècle yeux
Àαâ Àο뱸
29 ÆäÀÌÁö - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
120 ÆäÀÌÁö - Respecte dans la bête un esprit agissant: Chaque fleur est une âme à la Nature éclose; ' Un mystère d'amour dans le métal repose ; « Tout est sensible ! » Et tout sur ton être est puissant. Crains, dans le mur aveugle, un regard qui t'épie : A la matière même un verbe est attaché... Ne la...
85 ÆäÀÌÁö - L'espoir, il est vrai, nous soulage, Et nous berce un temps notre ennui ; Mais, Philis, le triste avantage, Lorsque rien ne marche après lui ! PHILINTE.
127 ÆäÀÌÁö - S'ils pouvaient au servage incliner leur fierté. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s'endormir dans un rêve sans fin ; Leurs reins féconds sont pleins d'étincelles magiques, Et des parcelles d'or, ainsi qu'un sable fin, Étoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
127 ÆäÀÌÁö - CHATS. Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.
126 ÆäÀÌÁö - Mon âme a son secret, ma vie a son mystère, Un amour éternel en un moment conçu : Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire, Et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su. Hélas! j'aurai passé près d'elle inaperçu, Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire; Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, N'osant rien demander et n'avant rien reçu.
76 ÆäÀÌÁö - L'absence ni le temps ne m'en sauraient guérir, Et je ne vois plus rien qui me pût secourir, Ni qui sût rappeler ma liberté bannie. Dès longtemps je connais sa rigueur infinie; Mais pensant aux beautés, pour qui je dois périr, Je bénis mon martyre, et content de mourir, Je n'ose murmurer contre sa tyrannie. Quelquefois ma raison par de faibles discours M'invite à la révolte et me promet secours...
96 ÆäÀÌÁö - Dieu, tes jugements sont remplis d'équité, Toujours tu prends plaisir à nous être propice, Mais j'ai tant fait de mal que jamais ta bonté Ne me pardonnera sans blesser ta justice.
13 ÆäÀÌÁö - D'eux maint ruisseau coule et mainte fontaine, De mes deux yeux sortent pleurs à loisir; De forts souspirs ne me puis dessaisir, Et de grands vents leur cime est toute pleine. Mille troupeaux s'y promènent et paissent; Autant d'amours se couvent et renaissent Dedans mon c©«ur...
60 ÆäÀÌÁö - Qui, bâillants au soleil, se grattent sous l'aisselle; Mettre, au lieu de bonnet, la coiffe d'un chapeau ; Prendre pour se couvrir, la frise d'un manteau, Dont le dessus servit à nous doubler la panse ; Puis souffrir cent brocards d'un vieux hoste irrité, Qui peut fournir à peine à la moindre dépense ; C'est ce qu'engendre enfin la prodigalité.