Histoire Anecdotique Et Raisonnée Du Théâtre Italien, Depuis Son Rétablissement en France Jusqu'à L'année 1769, 6±ÇLacombe, 1769 |
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... tems vient après l'orage . X SECOND VAUDEVILLE . Pour voguer fûrement , L'amour eft ma bouffole , L'efpérance en eft l'aimant , Et ton c©«ur eft mon pole . Eh ! vogue , vogue donc , Sous l'amoureufe étoile , Mettons à la voile ; Dans ...
... tems vient après l'orage . X SECOND VAUDEVILLE . Pour voguer fûrement , L'amour eft ma bouffole , L'efpérance en eft l'aimant , Et ton c©«ur eft mon pole . Eh ! vogue , vogue donc , Sous l'amoureufe étoile , Mettons à la voile ; Dans ...
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... tems eft trop fort , Des écueils je m'écarte ; Mais pour m'éloigner du Port , Je fais trop bien ma carte ; Eh ! vogue , & c . X On ne craint rien en Mer , Au printems de notre âge ; Mais qui s'embarque en hyver , Doit s'attendre au ...
... tems eft trop fort , Des écueils je m'écarte ; Mais pour m'éloigner du Port , Je fais trop bien ma carte ; Eh ! vogue , & c . X On ne craint rien en Mer , Au printems de notre âge ; Mais qui s'embarque en hyver , Doit s'attendre au ...
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... tems en tems le chien du Berger fe leve , pour voir s'il ne s'en écarte pas ; des petites filles gardent des vaches dans une prairie qui eft au côté oppofé ; plufieurs Payfans montés fur des arbres cueillent des ce- rifes ...
... tems en tems le chien du Berger fe leve , pour voir s'il ne s'en écarte pas ; des petites filles gardent des vaches dans une prairie qui eft au côté oppofé ; plufieurs Payfans montés fur des arbres cueillent des ce- rifes ...
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... tems qu'il veut em- braffer fa Maîtreffe , de façon qu'en se mettant entr'eux deux , il reçoit un bai- fer de l'un & de l'autre . Il veut cor- riger fon fils , la petite Bergere l'arrête ; il s'attendrit pour elle , renvoye fon fils ...
... tems qu'il veut em- braffer fa Maîtreffe , de façon qu'en se mettant entr'eux deux , il reçoit un bai- fer de l'un & de l'autre . Il veut cor- riger fon fils , la petite Bergere l'arrête ; il s'attendrit pour elle , renvoye fon fils ...
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... tems . OCCIDE . AIR : Les c©«urs fe donnent troc pour troc . Votre esprit en vain s'est flatté De rendre une ardeur éternelle ; Les fermens faits à la Beauté , Ne doivent pas plus durer qu'elle . Occide fort & Grifmine le menace de le ...
... tems . OCCIDE . AIR : Les c©«urs fe donnent troc pour troc . Votre esprit en vain s'est flatté De rendre une ardeur éternelle ; Les fermens faits à la Beauté , Ne doivent pas plus durer qu'elle . Occide fort & Grifmine le menace de le ...
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Acaris affez Agéfie aime ainfi ALCANDRE Alcidac Amans Amant amour apprend Ariette Arlequin auffi Babet BASTIENNE c'eft C'eſt Calcante caufe chante CHANVILLE charmes Chevalier chofe Clarice Colas Colin Colinette Comédie Complaifant Comte de Cerdagne confent Crifippe danfe demande difant Divertiffement écou enfuite eſt faifant Fanfale fans Favart favoir fcène fe retire fecond acte femme fens fent feul fille Fleurette foit fon Maître fon pere font foupire fous fouvent fuccès fuis fuite fuivi fujet goût grace Gringole J'ai Jeannette l'amour l'efprit laiffe Laurette Loix Lorfque Lubin Lucas Lycurgue Madame Maîtreffe Meffieurs Modefte Monfieur Mufique n'eft n'eſt Nerine Nife Ninette Occide Olibrius Oronte paffe Pandolfe paraît Parodie Pfiché Philoxipe Piece plaifir plaifirs plufieurs Policrite préfente preffe raifon Ratapatapan Raton refte répond repréfente repréſentations Rofette Roxelane s'eft Scapin ſcène Simas talens tems Théâtre Italien théâtre repréſente Thérefe Tircis Tracolin Valet Vaudevilles veut vient Zéphir Zerbine
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220 ÆäÀÌÁö - J'ai vu trotter aussi de gentilles poupées, Qui portent des petits collets. Ab! que de plaidants personnages! Crainte de déranger l'ordre de leurs visages Ils parlent tous comme des flageolets. Tu , tu , tu , tu. Dans nos villages , Nous n'avons jamais vu de ces colifichets. Et puis j'ai vu de graves freluquets Qui prenaient un air d'importance; Et de jolis vieillards coquets Qui semblaient marcher en cadence.
459 ÆäÀÌÁö - Ce bouquet est la douce image De ton éclat, de ta fraîcheur. Pour donner encor plus de grâce Aux fleurs dont pour toi j'ai fait choix , Contre ton sein que je les place : Ces deux roses en feront trois. ANNETTE. Ah ! Lubia , je te remercie ; Avec ce bouquet-là je me croirai jolie.
441 ÆäÀÌÁö - Eh ! comment voulez-vous, monsieur, qu'on vous corrige ? SOLIMAN. Me corriger ? De quoi donc, s'il vous plaît ? ROXELANE. De quoi ? de quoi ? Ces sultans me font rire : Ils pensent que sur eux nous n'avons rien à dire. Je prends à vous quelque intérêt; Croyez-moi, bannissons la gène.
451 ÆäÀÌÁö - Épouse d'un suîtan , une femme estimable , Qui fait asseoir la tendre humanité A côté de la majesté , Qui tend à l'infortune une main secourable, Adoucit la rigueur des lois...
458 ÆäÀÌÁö - Toutes ces maisons magnifiques, Qu'à la ville on trouve partout , Ne valent pas nos toits rustiques. Ces feuillages nouveaux sont bien plus de mon goût. Que ces planchers pleins de dorure Où l'on ne voit le bonheur qu'en peinture.
339 ÆäÀÌÁö - ne voit que des gens fort riches & du » plus haut étage : fans doute , ce fonc » eux avec qui elle peut mettre fon mérite » dans le plus beau jour. C'eft un tableau » fini qui a befoin d'être vu par des con
457 ÆäÀÌÁö - Annette , à l'âge de quinze ans , Est une image du printemps; C'est l'aurore d'un beau matin , Qui ne veut naître Et ne paraître Que pour Lubin. Son teint bruni par le soleil Est plus piquant et plus vermeil ; Blancheur de lis est sur son sein : Mouchoir le couvre, Et ne s'entr'ouvre Que pour Lubin. Sa bouche appelle le baiser, Son regard dit qu'on peut oser; Mais tout autre oserait en vain : C'est une rose Qui n'est éclose Que pour Lubin.
216 ÆäÀÌÁö - Par l'heureux preftige d'un fard , Qui des ans applanit les traces. Des couleurs du plaifir on ranime fon teint.
443 ÆäÀÌÁö - Délia ? DÉLIA. Qu'on doit devant son maître Rester toujours dans la soumission , Le silence , l'attention. La nature a borné notre être : Pour un amant le ciel nous a fait naître; Qu'il soit sujet ou souverain, Il a les mêmes droits ; enfin nous devons être Par l'arrêt de notre destin Esclaves.
382 ÆäÀÌÁö - Thomas, qui en devient amoureufe, & comme il n'ya point de chambre vuide dans le Château, elle propofe de faire coucher cette Florette , qui a pris le nom de Finet, dans la chambre de Colin. Cette propofition ne plaît point au Concierge ; niais eft fort du goût de fon fils.