TABLE POESIES PASTORALES. Cleopatre à Augufte. 291 Autres Etrennes. Ibid. Le Tems & l'Amour, Fable. Sur un clair de lune. Sur un Billet, où une perfonne n'avoit écrit que les pre- La Macreufe, fur ce qu'on traitoit de Macreufe, un hom- ibid. Sur ce qu'on avoit traité un fujet tendrement, au lieu de le Sur ce qu'on avoit mis dans une Eglogue quatre vers qu'il fallut ôter parce qu'ils étoient trop pompeux. Lettre à une Demoiselle de Suede, dont j'avois vû un très- 33 A MADAME LA DAUPHINE. EGLO GUE. D Ans un Bois qu'arrofe la Seine, Fe marchois fans tenir une route cer taine, Et rêvois prefque fans objet; Un beau jour, un ruisseau, les fleurs de nos Prairiess, Suffifent pour caufer nos douces rêveries, Quelquefois nous rêvons avec plus de fujet. F'entendis quelques voix que je crus reconnoître; C'étoient Life & Cloris, qui toutes deux font naître De nos Hameaux les plus tendres amours. F'écoutai fans vouloir paroître, Trabifon qui fe fait toûjours Aux Belles dont on veut furprendre les difcours. Non, difoit Cloris, j'en fuis fure, D'une Divinité les marques naturelles Eclatent dans cet air qui touche & qui furprend: A Lifes Tu ne peux à fa vûë avoir été frapée Avoir un air fi facile & fi doux ? Alors je me préfente aux yeux des deux Bergeres, Que des témoins cachez font ravis d'écouter; Je ne dois pas, leur dis-je, avoir beaucoup de gloire, Ce ne peut être que VICTOIRE. Je fuis, je l'avouerai, du fentiment de Life; Com |