la Dérive nulle , ibid. yp. Les effets du Gouvernail, qui avoiem paru smprenans, font cependant bien naturels, J2. CHAPITRE V, De la Rame & de la Pagaïe. Du calcul & du paralléle des deux. De la position la plus avantageuse de la Rame sur le Batteau, 60. ~D len ne parott plus simple, & rien n est plus difficile à déterminer > que les effets de la Rame, . f 4. 61. Parmi les Problèmes, que les effets de . la Rame présentent, il en est deux im* port ans à* résoudre x $5* 62. II faut déterminer la force de íhomme dans îaclion de la Rame ^ 56 6$. La Rame doit être considerée comme un Levier du second genre, ibid. 6$. Calcul de la force de íhomme dans 'faction de la Rame, ibid.. 6$. Cette for ce, qù on atrouvee,rì est qu> apparente; /'/ est nécessaire $en soustraire. , • - la réaction t pour avoir la véritable, 5 7. 66. Quoique la Réaâlion, dans P action de t homme , soit manifejle, il s'est trouvé des personnes qui ont eu de la peine à là concevoir t j8. 67. Legeres réflexions pour les convaincre soutenues par un Axiome de Mécanique , ibid. 68. Les Sauvages de t Amerique méridionale se servent d'une espece de Rame, qu'on nomme Pagaïe , yp. 6p. Maniere de se servir de la Pagaïe, ibid. 70. Opinion de quelques Savans, fur la façon de naviguer avec la Pagaie , 60. 71. Calcul de la force de la Pagaïe , 6 t. 72. Plusieurs personnes pensent, que la réaâlion, dans íaâlion de la Pagaïe, est nulle, , . '62. 73. On prouve, qu'il efl une réaction, ibid. 74.. J7 semble, que la réaâlion n efl que la moitié de F effet de t homme, 63. 7 y. La Pagaïe n efl mue , que par une force égale à la moitié de l effort absolu de t'homme, 64. y 6. La façon de ramer des Sauvages est inférieure à la nôtre, 6$. 77. Projet pour augmenter f effort de la Rame, ibid. 78. Experience pour ramerfans réaftion,66. 7Pi Maniere de ramer par là seule réaction , 6f. 80. Dans le calcul dé ïa Rame y oh á regardé son point d'appui dans f eau , comme fixe y quoiqu tlsoit mobile, 68: 81. Examen de cette supposition, ibid. 82; Préparation pour comparer la rame qui a un point d'appui mobile, avec une qui a un point d appui fixe > 69: 83. Calcul, pour faire ce parallèle , ibid. 84. Verité reconnue par ce calcul j 70; 8 y; Conséquence de cette verité , 71; 85. Principe fondamental à la Mécanique, d ou F on déduit, que la rame peut être prise pour un Levier du second genre qui a un point d appui fixe > 72; 87. Quelles font les raisons, qui ont empêché de fixer la grandeur de ta Pale eù égard à la longueur de la Rame , & sangle quelle doit faire avec le Batte au i 73; 88. On détermine la position la plus avantageuse de la Rame fur le Batteau, 74; 8p. Outre les difficultés, qu'on a taché de lever, pour joumettre les effets de la Rame à des loix, il en eft encore aufquel/es il eft impossible d avoir égard; 7J; po. Ce qu'on se propose d examiner dans les Chapitres fuivans t 77i CHAPITRE VI. De la vitesse du Vaisseau selon les différens Airs dt*. Vent & se:lon les différentes Dérives. Examen 6 t réfutation des méthodes qu'on a em iployées par développer ces dernieres :Nouvelle méthodes pour y supplé er. pu 7 'Objet de ce Chapitre est dt i connoître la vitejse du Vaisseau selo. h les différens airs de sent & selon les differentes Dérives, 78. p 2» Raisons j qui ont obligé M. . Bernoulli à ne donner à fa Théorie, que le titre d*Essai j ibid. p 3. Pour connoître la víteffe < ìu Vaiffea» selon les différentes Dérives , il eft inutile d'avoir égard à une courbe, il faut avoir, égard à une surface, 79. 94» Elégante méthode de M \ Bouguer , pour déterminer cette dernier e vitesse, 80. p y. Objeílion à cette méthode; ibid. p 5. On peut lever en partie , tette objeùlton par tusage de t'analyse dcDt íscartes, ibid. p7. Quelle eft la voie, qui parott la plus naturelle & la plus courte pour connoître cette vitesse, dom il est ici fa it mention, 81» p 8» Cette voie a de grandes difficultés, ibiá» pp. On ne f eut déterminer la vîtejse du Vaijseau selon les Dérives , fans connottre auparavant celle par rapport aux angles du Vent fur les Voiles, 84. ïo o. Les vîtejse s du Vaisseau , selon les différens Airs de Vent > font comme les sinus des angles dincidence du Vent fur les Voiles, ibid. 101. Fondement de la connoijfance de la i vitesse du VaiJJeau selon les différentes . Dérives, 8 5". 102. Examen de ce fondement, ibid. 105. Réjttltat de cet examen , 87. 104. La connoijfance des vîtejjes selon les Dérives , qui paroijsoit une question im. portante ,fe réduit à un objet bien simple , 88. 105-. Recherche de M!t Bernoulli ( Jacques ) & BernoulliJean ) de la Ligne , de la for ce mouvante : Méthode de ce dernier, 8p. 106. Cette > méthode ne peut avoir lieu dans la pratiqu,. rcomme il feroit à souhaiter, p 1. 107. Nouvei Ue méthode pour connaître cette Ligne > P 2. 108. Les |