CRITIQUE S SUR LA POESIE ET SUR LA PEINTURE. Par M. l'Abbé DU BOS, l'un des Quarante, & SEPTIEME EDITION. SECONDE PARTIE. Ut Pictura Poëfis. Hor. de Art. Poëte A PARIS, M. DCC. LXX. AVEC APPROBATION ET PRIVILEGE DU ROI DES MATIERE S. SECONDE PARTIE. 14 Se&t. 1. DU génie en général, page 1. Sect. 2. Du génie qui fait les Peintres & les Poëtes, Sect. 3. Que l'impulfion du génie détermine à être Peintre ou Poëte ceux qui Pont apporté en naissant, Sect. 4. Objection contre la propofition précédente, & réponse à l'objection, 36 Sect. 5.Des études & des progrès des Peintres & des Poëtes, 25 45 61 70 Sect. 6. Des Artifans fans génie, Sect. 7. Que les génies font limités Sect. 8. Des Plagiaires; en quoi ils different de ceux qui mettent leurs études à profit, Sect. 9. Des obftacles qui retardent le progrès des jeunes Artifans, 8F 97 Sect. 10. Du tems où les hommes de genie parviennent au mérite dont ils font capables, 115 Sect. 11. Des ouvrages convenables aux gens de génie, & des Artifans qui con trefont la maniere des autres, 127 que les caufes morales ont aux progrès Sect. 13. Qu'il eft probable que les caufes phyfiques ont auffi leur part aux progrès furprenans des Arts & des Lettres, 154 Premiere Réflexion. Qu'il eft des pays & des tems où les Lettres & les Arts ne Seconde Réflexion. Que les Arts parvien- nent à leur élévation par un progrès fu- bit, & que les effets des caufes morales ne les fçauroient foutenir fur le point de perfection où ils femblent s'être élevés Troifiéme Reflexion. Que les grandsPein- tres furent toujours les contemporains des grands Poëtes leurs compatriotes. Qu'il paroît qu'il ferépande alors fur les |