XI. Doctrine. Trinité. XII. Incarnation. Grace. 1. III. DISCOURS. Nondation des Barbares. II. Chúte des études. III. Menaces & promesses temporelles. V. Pélerinages. VI. Superftitions. VII. Etat de l'Orient. VIII. Clercs chaffeurs & guerriers. XII. Corruption des mœurs. XVI. Pénitences. XVIII. Dépofition des rois. XIX. Succeffion d'évêques. XXI. Ecoles & fucceffion de docteurs. XXII. Monafteres. XXIII. Cérémonies. XXIV. Propagation de la foi. XXV. Apologie de ces cinq fiécles. I. IV. DISCOURS, iC Hangemens dans la discipline. Conciles. III. Jugemens des évêques. VI. Extenfion de l'autorité du pape. VIII. Moins de changement en Orient. IX. Puissance temporelle de l'églife. X. Incovéniens de cette puiffance. XII. Subventions pécuniaires. XIII. Qu'il faut dire la vérité toute entiere. XV. Leur méthode. XVI. Leur ftile. XVII. Canoniftes. XVIII. Plan des meilleures études. I. II. VI. DISCOURS. Rigine des Croisades. III. Fautes dans l'exécution. IV. Motifs de ces entreprises. VII. Décimes & autres impofitions. X. Ordres militaires. XI. Chûte de la pénitence. XII. Croisades du Nort. XIII. Avantages temporels des Croisades. I. J VII. DISCOURS, Urifdiction effentielle à l'églife. II. Arbitrages des évêques. IV. Protection des princes. V. Conciles nationaux. VI. Droit nouveau. VII. Extenfion de la jurifdiction du pape. X. Avarice & chicane. XI. Peines temporelles. XII. Haines des laïques contre le clergé. XIV. Plaintes de Pierre de Cugnieres. II. VIII. DISCOURS. Rigine des religieux. Moines d'Egypte. III.Ordre de Clugni. IV. Ordre de Citeaux. VI. Etudes des moines. VII. Multiplication d'Ordres religieux. IX. Pauvreté évangélique. X. Relâchemens des religieux mendians. XIV. Affoibliffement de la morale chrétienne. Fin des Sommaires des Difcours. PREMIER ! PREMIER DISCOURS SERVANT DE PRÉFACE A L'HISTOIRE ECCLESIASTIQUE. I. E fajet de l'hiftoire eccléfiaftique eft de représenter la fuite du Chri- Nature de ftianifme, depuis fon établiffe- l'histoire ecment. Car la véritable religion acléfiastique. cet avantage que l'origine en eft certaine, & la tradition fuivie jufques à nous, fans aucune interruption. Son origine eft certaine, puifqu'il eft conftant par le témoignage même des infidéles que J. C. eft venu au monde il y a plus de dix-fept cens ans. Nous avons entre les mains fon hiftoire écrite par fes difciples témoins oculaires : nous avons les prophéties qui l'avoient promis fi longtems auparavant: & nous en fçavons les dates & les teurs, à remonter jufques à Moïfe, dont les livres font les plus anciens qui foient au monde. Il n'en eft pas de même des fables fur lefquelles étoit fondée la religion des Grecs & des au A au-' |