De l'éducation: suivi des conseils aux jeunes filles, d'un théâtre pour les jeunes personnes, et de quelques essais de morale, 2±ÇBaudouin frères, 1824 - 453ÆäÀÌÁö |
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amies arpens bonheur bonté Bouleau calomnie canton de Gisors Cécile chapelle charité charme château chère enfant chère Louise chevalier choses c©«ur comte comtesse conduite curé dame Dervilliers devoirs Dieu doit donner douce douceur duchesse du Maine Écouen éducation élève enfans famille fermier fils fortune frère gens goût habitudes Henriette heureux hommes honnête j'ai jamais Jeannette jeune personne jeune vicomte jeunes filles jeunesse jolie jour Jules l'abbé l'aumônier l'éducation laisser linge long-temps LOUISE LUCIE Madame Campan madame de Maintenon madame de Pontourant mademoiselle Dufour maison maîtres maîtresse malheurs mari marquise de Lambert Marthe et moi ment mère Froment misère mmmm mmmmm monde parens paresse passer pauvre père petites pieuse place plaire plaisir plaisirs politesse Pontoise première propreté reçu respect riches Saint-Cyr sentimens service seul sinier société s©«ur soins SOPHIE sort souvent SUZANNE talens Thérèse tion trouve usages Versailles vertueux vices village Ville-d'Avray voiture yeux
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10 ÆäÀÌÁö - La chapelle est simple, mais fort jolie; au milieu du ch©«ur, sous une dalle de marbre, repose la fondatrice. Madame de Cambis, l'une des religieuses (qui sont au nombre d'environ quarante), est belle comme une madone.
252 ÆäÀÌÁö - J'en ai sans doute, et, pour cette raison, Je veux, madame, une femme indulgente, Dont la beauté douce...
74 ÆäÀÌÁö - Le roman, n'étant jamais pris sur le vrai, allume l'imagination, affaiblit la pudeur, met le désordre dans le c©«ur; et, pour peu qu'une jeune personne ait de la disposition à la tendresse, hâte et précipite son penchant. Il ne faut point augmenter le charme ni l'illusion de l'amour; plus il est adouci, plus il est modeste, et plus il est dangereux. Je ne voudrais point les défendre; toutes défenses blessent la liberté et augmentent le désir.
286 ÆäÀÌÁö - II. i3 par terre , etc. La moindre gouvernante sait de nos jours , sur ces notions de politesse, tout ce qu'il faut enseigner à l'enfance. Quant à la politesse qui tient à la bienveillance , à la bonté du c©«ur, elle est le fruit d'une éducation soignée et réfléchie ; elle est de tous les pays et de tous les temps. Il est pourtant nécessaire de connaître et de pratiquer la première ; mais on ne fera le charme de la société qu'en étant pénétré des principes et de l'utilité de la...
285 ÆäÀÌÁö - La politesse est à l'esprit Ce que la grâce est au visage : De la bonté du c©«ur elle est la douce image ; Et c'est la bonté qu'on chérit.
10 ÆäÀÌÁö - Les personnes qui sont à leur tête ont, pour marque distinct! ve, des n©«uds de diverses couleurs. Leurs cheveux sont frisés et poudrés. Elles ont pour coiffure une espèce de bonnet rond , avec des fraises blanches et de grandes collerettes ; enfin leur costume est très élégant.
20 ÆäÀÌÁö - Kllcs s'assemblaient dans les maisons les unes des autres presque tous les jours, sans y être sous la garde, ni même en présence d'une mère ou d'une tante. Au milieu d'une foule de jeunes gens de toutes les nations de l'Europe, elles étaient confiées à leur seule prudence.
274 ÆäÀÌÁö - ... plaisirs les fait disparaître. Avant que de les avoir goûtés, vous pouvez vous en passer; au lieu que la possession vous a rendu nécessaire ce qui était superflu: vous êtes plus mal à votre aise que vous n'étiez devant; en les possédant, vous vous y accoutumez; et en les perdant, ils vous laissent du vide et du besoin.
273 ÆäÀÌÁö - Les plaisirs du monde sont trompeurs; ils promettent plus qu'ils ne donnent; ils nous inquiètent dans leur recherche, ne nous satisfont point dans leur possession, et nous désespèrent dans leur perte.
9 ÆäÀÌÁö - Strawberry; elle y consentit volontiers. Toutes les portes s'ouvrirent devant nous ; la première chose que je désirais voir, était l'appartement de madame de Maintenon. Il se compose, au rez-de-chaussée, de deux petites pièces, d'une bibliothèque et d'une très-petite chambre à coucher, la même dans laquelle le czar la vit et où elle mourut ; on a ôté le lit, et la chambre est maintenant tapissée de mauvais portraits de la famille royale. Ou ne peut s'empêcher de remarquer la simplicité...