Geschichte der Poesie und Beredsamkeit seit dem Ende des dreizehnten Jahrhunderts: FranceJ.F. Röwer, 1807 |
µµ¼ º»¹®¿¡¼
88°³ÀÇ °á°ú Áß 1 - 5°³
4 ÆäÀÌÁö
... Nation mit ihs ren eigenen Augen sah , hatte das Licht der wieders erwachenden Geistescultur , von Italien aus , allen Låns dern unsers Welttheils geleuchtet . Aber keiner Ras tion , die sich mehr , oder weniger , dieses Lichtes er ...
... Nation mit ihs ren eigenen Augen sah , hatte das Licht der wieders erwachenden Geistescultur , von Italien aus , allen Låns dern unsers Welttheils geleuchtet . Aber keiner Ras tion , die sich mehr , oder weniger , dieses Lichtes er ...
5 ÆäÀÌÁö
... Nation standen nun Einem Herrn wenn er nur die Zügel , an die er sie zu halten , und durch seine Autorität die 1 , als die schwache Seite des französischen arakters zu benu©¬en verstand , um , auch ohne u seyn , etwas Gro©¬es zu wagen ...
... Nation standen nun Einem Herrn wenn er nur die Zügel , an die er sie zu halten , und durch seine Autorität die 1 , als die schwache Seite des französischen arakters zu benu©¬en verstand , um , auch ohne u seyn , etwas Gro©¬es zu wagen ...
6 ÆäÀÌÁö
... Nation , und wirkte mächtig auf die französische Litteratur , die schon vorher in Sprache und Ton den Hof zum Muster zu nehmen gewöhnt war . Uber am Hofe Ludwigs , der sich selbst und seiner Nation als der Gro©¬e erschien , fonnte man ...
... Nation , und wirkte mächtig auf die französische Litteratur , die schon vorher in Sprache und Ton den Hof zum Muster zu nehmen gewöhnt war . Uber am Hofe Ludwigs , der sich selbst und seiner Nation als der Gro©¬e erschien , fonnte man ...
7 ÆäÀÌÁö
... Nation ihn bewundern Mazarin war viel zu sehr Italiener , wenig liberaler Mensch , um sich für Itte der französischen Litteratur ernstlich zu Das einzige Verdienst , wenn man es so das er sich um diese Litteratur erworbe , n nn , da©¬ er ...
... Nation ihn bewundern Mazarin war viel zu sehr Italiener , wenig liberaler Mensch , um sich für Itte der französischen Litteratur ernstlich zu Das einzige Verdienst , wenn man es so das er sich um diese Litteratur erworbe , n nn , da©¬ er ...
8 ÆäÀÌÁö
... Nation selbst verwöhnt hätte , alles , was von ihr ausging , nachahmungswerth zu finden . Da©¬ sich sonst die französische Poesie mehr nach einer fremden , zum Beyspiel nach der italienischen , gebilder haben würde , ist gleichwohl sehr ...
... Nation selbst verwöhnt hätte , alles , was von ihr ausging , nachahmungswerth zu finden . Da©¬ sich sonst die französische Poesie mehr nach einer fremden , zum Beyspiel nach der italienischen , gebilder haben würde , ist gleichwohl sehr ...
±âŸ ÃâÆǺ» - ¸ðµÎ º¸±â
ÀÚÁÖ ³ª¿À´Â ´Ü¾î ¹× ±¸¹®
achtzehnten Akademie alten bekannt besonders Boileau Boileau's Bossuet Charakter Chaulieu chen Corneille damals Delicatesse de©¬wegen Dichtungsarten didaktischen dramatischen eben einige eleganten epischen Epistel Episteln ersten Erzählungen fast feinen finden Fontaine Fontenelle Frankreich frans zösischen franzöſiſchen französischen Dichter französischen Litteratur französischen Poesie ganzen Gedichte Geist geistreichen Genie Geschichte Geschmack gro©¬en Grunds䩬en guten Heroide historischen Hofe Horaz Jahrhundert Ludwig's XIV Jean Jacques Rousseau Jesuiten komischen konnte Kritik Kunst lich lie©¬ litterarischen Lustspiele lyrischen Madrigale Manier Mann Moliere moralischen mu©¬ Nachahmung Nahmen Nation Nationalgeschmack Natur neueren Oeuvres Oper Paris Phantasie Philosophen Poesie Poesie und Beredsamkeit Poetik poetisches Gefühl Prose Publicum qu'il Quinault Racine Redek rhetorische Rochefoucauld Romane Rousseau Schauspiele schen schrieb Schriften Schriftsteller ſein ſeine seyn ſich ſie Sprache starb im Jahre Styl Talente Theater Theil tragischen Trauerspiele trop Verdienst vers Versen versificirte Verstand viel Voltaire vortreffliche vorzüglich wahren Wahrheit Welt wenig Werke wollte Zeitalter
Àαâ Àο뱸
312 ÆäÀÌÁö - Du lieu où vous êtes à l'Opéra, vous ne voyez pas le théâtre tout à fait comme il est; on a disposé les décorations et les machines pour faire de loin un effet agréable, et on cache à votre vue ces roues et ces contrepoids qui font tous les mouvements. Aussi ne vous embarrassez-vous guère de deviner comment tout cela joue. Il n'ya peut-être que quelque machiniste caché dans le parterre, qui s'inquiète d'un vol qui lui aura paru extraordinaire. et qui veut absolument démêler comment...
133 ÆäÀÌÁö - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque. Ce poète orgueilleux, trébuché de si haut, Rendit plus retenus Desportes et Bertaut.
298 ÆäÀÌÁö - Vous verrez dans une seule vie toutes les extrémités des choses humaines: la félicité sans bornes, aussi bien que les misères; une longue et paisible jouissance d'une des plus nobles couronnes de l'univers; tout ce que peuvent donner de plus glorieux la naissance et la grandeur accumulées sur...
299 ÆäÀÌÁö - CharlesGustave parut à la Pologne surprise et trahie comme un lion qui tient sa proie dans ses ongles, tout prêt à la mettre en pièces. Qu'est devenue cette redoutable cavalerie qu'on voit fondre sur l'ennemi avec la vitesse d'un aigle? Où sont ces âmes guerrières, ces marteaux d'armes tant vantés, et ces arcs qu'on ne vit jamais tendus en vain?
86 ÆäÀÌÁö - Un plein repos favorise nos v©«ux : Chantons, chantons la Paix, qui nous rend tous heureux. Charmante Paix, délices de la terre, Fille du ciel, et mère des plaisirs, Tu reviens combler nos désirs; Tu bannis la terreur et les tristes soupirs, Malheureux enfants de la guerre.
281 ÆäÀÌÁö - Ainsi les tableaux, vus de trop loin et de trop près ; et il n'ya qu'un point indivisible qui soit le véritable lieu : les autres sont trop près, trop loin, trop haut ou trop bas. La perspective l'assigne dans l'art de la peinture. Mais dans la vérité et dans la morale, qui l'assignera * ? 3.
88 ÆäÀÌÁö - ... fit voir sur la scène la raison, mais la raison accompagnée de toute la pompe, de tous les ornements dont notre langue est capable, accorda heureusement la vraisemblance et le merveilleux, et laissa bien loin derrière...
295 ÆäÀÌÁö - Égyptiens, les prêtres et les soldats avaient des marques d'honneur particulières : mais tous les métiers, jusqu'aux moindres, étaient en estime; et on ne croyait pas pouvoir sans crime mépriser les citoyens dont les travaux, quels qu'ils fussent, contribuaient au bien public. Par ce moyen tous les arts venaient à leur perfection : l'honneur qui les nourrit s'y mêlait partout : on faisait mieux ce qu'on avait toujours vu faire, et à quoi on s'était uniquement exercé dès son enfance.
295 ÆäÀÌÁö - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les c©«urs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
312 ÆäÀÌÁö - ... condition n'est pas, ce me semble, trop à envier. Sur cela, je me figure toujours que la nature est un grand spectacle, qui ressemble à celui de l'Opéra. Du lieu où vous êtes à l'Opéra, vous ne voyez pas le théâtre...