Mémoires posthumes du comte de D... B... avant son retour à Dieu, fondé sur l'expérience des vanités humainesP. Ribou, 1735 |
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38 ÆäÀÌÁö
... personne ne me déplût . Je voyois tranquilement Ce- line , & je l'affurois à tout moment de mon amour & de ma fidelité : fa paffion pour moi étoit tendre & réciproque ; nous ne pouvions plus vivre l'un fans l'autre , & nous nous ...
... personne ne me déplût . Je voyois tranquilement Ce- line , & je l'affurois à tout moment de mon amour & de ma fidelité : fa paffion pour moi étoit tendre & réciproque ; nous ne pouvions plus vivre l'un fans l'autre , & nous nous ...
158 ÆäÀÌÁö
... personne vive & emportée , c'étoit une fille modefte & ofant à peine lever fes regards . Cet abord acheva de me rendre le plus amoureux des hommes ; je crus voir Celine , mais Celine cruelle & fe refusant à ma tendreffe . Cette retenue ...
... personne vive & emportée , c'étoit une fille modefte & ofant à peine lever fes regards . Cet abord acheva de me rendre le plus amoureux des hommes ; je crus voir Celine , mais Celine cruelle & fe refusant à ma tendreffe . Cette retenue ...
23 ÆäÀÌÁö
... personne , je m'éloignai de cet endroit fatal . Lorfque je fus hors des avenues du Château , je pris fans choix le premier che- min qui s'offrit fous mes pas . Je marchai deux heures fans déterminer ni le but de mon voyage , ni l ...
... personne , je m'éloignai de cet endroit fatal . Lorfque je fus hors des avenues du Château , je pris fans choix le premier che- min qui s'offrit fous mes pas . Je marchai deux heures fans déterminer ni le but de mon voyage , ni l ...
54 ÆäÀÌÁö
... personne ne put me faire fçavoir de fes nouvelles . Je commençai à reffentir de l'inquiétude , & me flattant que depuis que j'étois fortis de chez la Préfidente , que la jalousie ou la colore l'y auroit amenée , j'y retournai ; Madame ...
... personne ne put me faire fçavoir de fes nouvelles . Je commençai à reffentir de l'inquiétude , & me flattant que depuis que j'étois fortis de chez la Préfidente , que la jalousie ou la colore l'y auroit amenée , j'y retournai ; Madame ...
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affez affurances aimable ainfi amour auffi avanture avez avoient avois avoit c'eft c'eſt Carlin caufe ceffe Celine cher chofes Ciel c©«ur Comte Comte de D conferver connoiffance connoître cruel Dampierre deffein defirs déja devoit Dieu difcours eſt étoient étoit faifant faifoit faintes falloit falut fang fans doute fatal fçavoir feconde fecours fecret femblables fembloit femme fentimens fentir feroit fervir feul filence foible foibleffe foins foit fommeil fouffrir foup foupçons fous fouvent fuis fuite fuivi fujet funeftes furpris furpriſe grace Helas homme Ifmene j'ai j'allois j'avois j'en j'étois joïe jour l'efprit laiffer Lettre long-tems lorfque m'avoit Madame Marquis Meliane Monfieur n'eft occafion paffé paffion penfer Pere perfonne plaifir pleurs plufieurs poffible pouvoit prefente preffa Préfident premiere Prifonnier Prince Princeffe Princeſſe puiffe raifons reffentiment refte repris-je s'écria s'étoit ſes tems tendreffe tion tranfport trouble vouloit vûë
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xix ÆäÀÌÁö - Cependant je ne me ferois pas refolu à le mettre au jour , fans une lettre que j'ai reçue de mon Inconnu , ne voulant pas faire imprimer un Ouvrage imparfait. Il me marque qu'il m'enverra dans peu la féconde Partie.
xv ÆäÀÌÁö - J'en fis feui les frais , étant trop prévenu qu'il pût faire ma fortune , pour m'aflbcier avec aucun de mes Confrères. Au bout de dix ans je mis mon Ouvrage en vente > tout le monde en fut effrayé , &: pas une âme ne voulut s'hazarder d'en faire la lecture.
xvi ÆäÀÌÁö - ... que je lui fis du dérangement de ma fortune. Avant mon départ il me remit trente Louis, pour m'aider ( difoit-ilj à faire quelque chofe.